Dans un communiqué daté du 27 mars, l'ambassade de France auprès de l'Union des Comores déclare qu'elle va désormais suspendre la délivrance de visas pour le territoire français à tous les types de passeports. Ce n'est donc plus seulement les dirigeants mais tous les citoyens comoriens qui se verront refuser le visa pour l'espace Schengen. Cette mesure a été prise en réponse à la décision unilatérale du gouvernement comorien de refouler les clandestins expulsés de Mayotte depuis le 18 mars dernier, utilisant le prétexte que leurs ressortissants doivent désormais avoir des papiers d'identité pour être accepté sur le territoire comorien. En voici l'intégralité :
"Depuis plusieurs jours, l'ambassade de France aux Comores a multiplié les entretiens et les réunions de travail avec les autorités comoriennes, jusqu'au plus haut niveau de l'Etat. Des propositions concrètes ont été faites par la partie française pour répondre aux préoccupations exprimées par la partie comorienne, tant en ce qui concerne les questions de sécurité et de contrôle des flux migratoires, que s'agissant des questions humanitaires. Un projet d'accord comportant des dispositions concrètes et rapides a été finalisé samedi 26 mars. Ce projet devait être signé le 27 mars. Malheureusement, le gouvernement comorien a, une fois encore, préféré reporter cette signature et remettre ainsi en question le résultat de ces discussions constructives. L'ambassade de France exprime sa vive préoccupation face à ce revirement, qui semble témoigner que sa volonté de trouver rapidement un compromis satisfaisant pour les deux parties n'est pas partagée.
Elle s'inquiète par ailleurs de l'absence manifeste de volonté des autorités comoriennes de mettre fin au flux massif des kwassas-kwassas qui partent quotidiennement d'Anjouan, chargés de passagers qui paient le prix fort pour risquer leur vie en mer. Chacun sait d'où partent ces barques, sur lesquelles prennent place jusqu'à 80 passagers. L'ambassade de France a appelé à plusieurs reprises, sans résultat aucun, l'attention des autorités comoriennes sur les risques de chavirement encourus par ces kwassas-kwassas.
Dans ces conditions, l'ambassade de France se voit malheureusement contrainte d'étendre, dès le lundi 28 mars, la suspension de la délivrance de visas pour le territoire français à tous les types de passeports, sans préjudice d'autres mesures qui pourraient être prises dans les prochains jours. Elle regrette l'attitude dilatoire du Gouvernement comorien, au moment même où un accord était en vue qui aurait permis de sortir d'une crise qui ne bénéficie à aucune des parties. Elle réaffirme sa volonté d'atteindre, au plus tôt, cet objectif par un dialogue véritablement sincère et responsable".
Source : Flash Info n° 2753 du mardi 29 mars 2011Elle s'inquiète par ailleurs de l'absence manifeste de volonté des autorités comoriennes de mettre fin au flux massif des kwassas-kwassas qui partent quotidiennement d'Anjouan, chargés de passagers qui paient le prix fort pour risquer leur vie en mer. Chacun sait d'où partent ces barques, sur lesquelles prennent place jusqu'à 80 passagers. L'ambassade de France a appelé à plusieurs reprises, sans résultat aucun, l'attention des autorités comoriennes sur les risques de chavirement encourus par ces kwassas-kwassas.
Dans ces conditions, l'ambassade de France se voit malheureusement contrainte d'étendre, dès le lundi 28 mars, la suspension de la délivrance de visas pour le territoire français à tous les types de passeports, sans préjudice d'autres mesures qui pourraient être prises dans les prochains jours. Elle regrette l'attitude dilatoire du Gouvernement comorien, au moment même où un accord était en vue qui aurait permis de sortir d'une crise qui ne bénéficie à aucune des parties. Elle réaffirme sa volonté d'atteindre, au plus tôt, cet objectif par un dialogue véritablement sincère et responsable".
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Commentaire Wongo: Une contradiction criminogène
Dans le communiqué, l'ambassade de France « s'inquiète par ailleurs de l'absence manifeste de volonté des autorités comoriennes de mettre fin au flux massif des kwassas-kwassas qui partent quotidiennement d'Anjouan, chargés de passagers qui paient le prix fort pour risquer leur vie en mer », une déclaration qui « prouve » si besoin est, l'humanisme de l'ambassade de France qui a par ailleurs « appelé à plusieurs reprises, sans résultat aucun, l'attention des autorités comoriennes sur les risques de chavirement encourus par ces kwassas-kwassas.»
Et le communiqué enchaine de manière absurde « Dans ces conditions, l'ambassade de France se voit malheureusement contrainte d'étendre, dès le lundi 28 mars, la suspension de la délivrance de visas pour le territoire français à tous les types de passeports » rendant ainsi impossible l'obtention du visa Balladur appelé aussi visa de la mort car source de milliers des morts comoriens. La suspension de la délivrance de visas accroitra à coup sûr le nombre le flux des kwassas-kwassas donc le nombre de morts entre Anjouan et Mayotte.
Monsieur l'ambassadeur, une condition sine qua non d'arrêter les drames humains entre Anjouan et Mayotte, c'est de supprimer le visa Balladur. Votre façon de faire, durcit au maximum le visa de la mort. Arrêtez, son excellence de vous donner bonne conscience.
Ces kwassas (bateaux de fortune) sont nés en même temps que l'instauration du visa Balladur.
Si la France estime que les Comores violent le droit, qu'elle porte alors plainte devant les juridictions internationales au lieu de prendre en otage tout un peuple.
Et le communiqué enchaine de manière absurde « Dans ces conditions, l'ambassade de France se voit malheureusement contrainte d'étendre, dès le lundi 28 mars, la suspension de la délivrance de visas pour le territoire français à tous les types de passeports » rendant ainsi impossible l'obtention du visa Balladur appelé aussi visa de la mort car source de milliers des morts comoriens. La suspension de la délivrance de visas accroitra à coup sûr le nombre le flux des kwassas-kwassas donc le nombre de morts entre Anjouan et Mayotte.
Monsieur l'ambassadeur, une condition sine qua non d'arrêter les drames humains entre Anjouan et Mayotte, c'est de supprimer le visa Balladur. Votre façon de faire, durcit au maximum le visa de la mort. Arrêtez, son excellence de vous donner bonne conscience.
Ces kwassas (bateaux de fortune) sont nés en même temps que l'instauration du visa Balladur.
Si la France estime que les Comores violent le droit, qu'elle porte alors plainte devant les juridictions internationales au lieu de prendre en otage tout un peuple.
Il faut maintenant que les Comores refusent carrément d'accueillir les refoulés de Mayotte, conformément au droit comorien et international
http://wongo.skyrock.com/
trawalammagi, Posté le mardi 29 mars 2011 13:59
Toi Trawa le faux, tu n'as pas encore les 10 erreurs qui nous différencient et jettes encore un coup d' oeil . Voici ma signature ,=> Trawa le bío de Johanna et voici la tienne, => Trawa le bio de Johanna. Et je répete encore la même chose. Trawa le bío de Johanna. A Trawa le faux, les maorés disent que le préfet donne 10 euros par expulsion et quand à ces maorés , ils gardent les salaires de ces gens en échange des dénonciations et tu vois pas que c'est encore la préfecture de Mayotte et les maorés qui sont gagnants ? Et regardes bien encore Trawa le faux , comment j'écris mon trawa le bio. Trawa le bío de Johanna. Hahaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa! Toi trawa le faux, tu es nul en bilan et regardes comment la France métropôlitaine subventionne ces expulsions. Chaque année, l'Etat francais verse aux alentours de 6 milliards pour accompagner ces expulsions, le préfet lui donne 10 euros par expulsion et un maoré qui s'engage à dénoncer son salarié garde encore les salaires de son employé et voici ce que Mayotte gagne 6millitrsd + les salaires des dénoncitions, ca fait 6 millards + les salaires élegales récupérées - les 10x euros = et ca fait quoi ? Trawa le bío de Johanna.