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COMORES : VERS UNE HAUTE TRAHISON AU SOMMET DE L'ETAT

COMORES : VERS UNE HAUTE TRAHISON AU SOMMET DE L’ETAT
COMMUNICATION DU GRITAC
(Groupe de Réflexion pour l'Intégrité Territoriale de l'Archipel des Comores)
 
Lorsque le 19 octobre 2010 le candidat aux présidentielles des Comores Ikililou Dhoinine déclare dans « Al'Watwan : « Ce n'est pas être anti-français, comme certains veulent le faire croire, que d'½uvrer pour le retour légitime de notre île. Si mes compatriotes m'accordent leur confiance, je prendrais dans les semaines qui vont suivre mon investiture des initiatives concrètes à ce sujet. Enfin je souscris entièrement au discours que le président de la République vient de prononcer à New York lors de la dernière session de l'assemblée générale des Nations Unies », nous nous sommes tous surpris à rêver et à penser qu'une fois élu, il va avec un certain panache, marquer la législature du premier Mohélien, président de l'Union des Comores, du sceau du courage, de l'honneur et de la morale, en s'engageant résolument, dans une logique de reconquête de notre souveraineté, de notre intégrité et de notre dignité.
A présent, le doute n'est plus permis, lorsqu'on écoute le discours programme prononcé le 1er juin 2011 à Mwali par le tout nouveau président Ikililou Dhoinine. Loin de prendre exemple sur le président Sambi, en appelant les instances internationales, à faire respecter les résolutions condamnant l'occupation illégale par la France de l'île comorienne de Mayotte, le président Ikililou Dhoinine se contente de susurrer platement : « J'ai déjà proposé, en plus de la nécessaire négociation avec la France, l'ancienne puissance coloniale qui administre l'ile de Mayotte, que le dialogue soit rétabli entre nous et nos frères mahorais. En effet, aucune solution à l'épineuse question de l'ile comorienne de Mayotte, n'est envisageable, sans l'implication de nos frères Mahorais. Les voies et les moyens seront recherchés pour trouver le cadre de ce dialogue, pour que nous puissions retrouver nos liens communs avec nos frères Mahorais ».
Tout cela ressemble à s'y méprendre à une résurgence du funeste et tristement célèbre GTHN (Groupe de Travail de Haut Niveau). Une parmi d'autres créatures maléfiques, à la disposition de la « Françafrique » (le réceptacle des différentes officines vouées au rôle occulte et inavouable des basses besognes du pays « des droits de l'Homme »), pour promouvoir ses man½uvres de déstabilisation et sa politique d'occupation de l'île comorienne de Mayotte, à laquelle le nouveau pouvoir comorien vient de faire allégeance à travers ce discours programme. Quand on pense que ce curieux dialogue auquel le président Ikililou appelle de ses v½ux, a été interrompu sine die, par le président Sambi, pour marquer la réprobation des Comores, face au passage en force de la départementalisation de Mayotte par la France, il est permis de douter de l'idée que se font les nouvelles autorités comoriennes sur la continuité de l'Etat, qu'elles prétendent pourtant vouloir respecter...
 
Lorsqu'il assène « aucune solution à l'épineuse question de l'ile comorienne de Mayotte, n'est envisageable, sans l'implication de nos frères Mahorais », le président Ikilou, nous ressort en filigrane, un principe éculé, vainement ressassé par les tenants de la départementalisation de Mayotte, « du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ». Un principe pourtant erroné, et qui n'en est pas moins détourné abusivement par les autorités françaises, jusqu'à chambouler durablement le destin d'une nation, incarnée par un peuple pacifique, qui n'aspire qu'à vivre paisiblement. Ce peuple qui a en partage les mêmes origines, la même langue, la même religion, la même culture... confirmés par la tradition orale et les textes les plus anciens.
En affirmant dans son discours programme du 1er juin 2011, qu' « aucune solution à l'épineuse question de l'ile comorienne de Mayotte, n'est envisageable, sans l'implication de nos frères Mahorais », le président Ikililou se trompe de combat, dans la mesure où « la solution à l'épineuse question de l'île comorienne de Mayotte » ne peut être envisagée sans la mise en question de l'occupation illégale par la France de l'île comorienne de Mayotte. Et les Maorais au même titre que tous les Comoriens des autres îles devraient être en principe, dans l'esprit du chef de l'Etat, logés à la même enseigne, conformément à l'Article 7 Titre II de la Constitution qui stipule : [...] « Les Comoriens ont les mêmes droits, les mêmes libertés et les mêmes obligations dans n'importe quelle partie de l'Union. Aucune autorité ne pourra adopter des mesures qui directement ou indirectement, entraveraient la liberté de circulation et d'établissement des personnes, ainsi que la libre circulation des biens sur tout le territoire de l'Union ». Il est donc du devoir de « l'arbitre et [...] modérateur du fonctionnement régulier des institutions », consacré par la Constitution, d'user des arguments on ne peut plus persuasifs, à sa disposition (le soutien des instances et de la communauté internationales, judicieusement mobilisées par le gouvernement précédent, les résolutions des instances internationales qui toutes condamnent l'occupation illégale de l'île comorienne de Mayotte, les nombreuses failles de la puissance occupante, dont celle de ne savoir quoi faire des « prétendus clandestins comoriens, pour peu qu'on veuille bien appliquer notre Constitution, en refusant notamment le déplacement de nos compatriotes à l'intérieur d'un même territoire, qualifié de « crime contre l'humanité » par l'article 7 du Statut de Rome de la CPI [Cour Pénal International], etc.), pour faire respecter la souveraineté, l'intégrité et l'unité des Comores qui sont constitutives de la stabilité indispensable à tout développement. Sortir le contentieux franco-comorien sur Mayotte, du huis-clos Comoro-maorais (une des régressions proposée par le président Ikililou), encore pire que celui (franco-comorien) qui a permis à la France de départementaliser l'île comorienne de Mayotte, au grand dam du gouvernement précédent.
 
En affirmant dans son discours programme du 1er juin 2011, qu' « aucune solution à l'épineuse question de l'ile comorienne de Mayotte, n'est envisageable, sans l'implication de nos frères Mahorais », le président Ikililou ne décerne pas seulement un quitus malvenu aux séparatistes maorais, il se met surtout délibérément, à la remorque de la politique française aux Comores, en passant par pertes et profits, l'Article 7-1 Titre II de la Constitution qui dit : « [...] Est nul de plein droit, tout acte ou toute autre mesure de nature à porter atteinte à l'Unité de la République ou à mettre en péril l'intégrité territoriale nationale, prise par une autorité d'une île autonome ou de l'Union ». Certes les Maorais sont nos frères, certes leur implication dans la recherche de solution à l'épineuse question de l'île comorienne de Mayotte est souhaitable. Mais de là à mettre en péril l'unité nationale et l'intégrité territoriale, pour s'attirer l'estime, les faveurs et la bienveillance des autorités françaises, il y a une ligne rouge que la Constitution comorienne interdit de franchir.
 
UNE NOUVELLE DIPLOMATIE AU SERVICE DE LA FRANCAFRIQUE
 
Alors que le président Ikililou, ne manifeste aucun scrupule à faire du contentieux franco-comorien un problème comoro-maorais, en remettant en selle les séparatistes maorais (aurait-il agit de même face aux séparatistes anjouanais du « président Bacar, en leur proposant un dialogue comoro-anjouanais ?), le président Sarkozy, quant à lui, se contente de lâcher le 18 janvier 2010, lors de son bref passage à Mayotte : « Tant que je serai président je ne laisserai à personne le droit de décider qui serait Français et qui ne le serait pas ». Il ne croit pas si bien dire. Car en effet, il ne revient à personne le droit de décider de la nationalité de qui que ce soit. Les Comoriens, qu'ils résident en France, à la Réunion, à Ngazidja, à Mwali, à Ndzuwani ou à Maore, sont nombreux à opter pour la nationalité de cette France humaniste et tolérante, nourrie de l'esprit des lumières. En revanche, personne, fût-il Maorais, encore moins français, n'a le droit de remettre en cause le triptyque « unité, intégrité et souveraineté » des Comores, quoi qu'en pense le président nouvellement élu aux Comores. On aurait tant aimé, retrouver dans le discours programme de ce dernier, les accents patriotiques de la déclaration du candidat Ikililou dans Al-Watwan du 19 octobre 2010 (cf plus haut). Il est vrai qu'entre temps, le président une fois élu, court se faire briefer en février, dans les officines de la « françafrique » à Paris, avec une piqure de rappel, en fin avril, de l'Ambassadeur de France aux Comores, M. Luc Hallade. Celui-là même qui prend un malin plaisir à rouler dans la farine, le gouvernement Sambi, en faisant passer un marché de dupes pour un « accord équilibré ». S'agissant du revirement spectaculaire des autorités comoriennes, à propos de l'accueil à réserver aux refoulés de Mayotte, sans pièce d'identité. Quoi qu'il en soit, l'appartenance pour l'éternité de la « terre comorienne de Mayotte » à son ensemble naturel, ne peut souffrir aucune ambiguïté, dans l'esprit de la résolution de l'ONU N°31/4 du 21/10/1975, qui « condamne énergiquement la présence française à Mayotte, qui constitue une violation de l'unité nationale, de l'intégrité territoriale et de la souveraineté de la république indépendante des Comores ».
 
Et lorsque le président Ikililou prétend : « Cette recherche de l'intégrité territoriale et de l'unité nationale, ne doit pas nous détourner des autres axes prioritaires de notre diplomatie, notamment la mobilisation des ressources pour le développement socio-économique de notre pays », nous nous permettons de lui rétorquer très respectueusement, « qu'aucune cause, aucun marché si mirifique soit-il, ne peuvent suppléer chez n'importe quel patriote (encore plus, si il en a la charge) de n'importe quel pays, à la souveraineté, à l'unité et à l'intégrité, qui ne peuvent, du reste, être ni cessibles, ni négociables ». Certes l'ancienne puissance colonisatrice garde toujours s'agissant des Comores, un pouvoir de nuisance, qui les maintient encore aujourd'hui, dans un état de sous-développement et d'instabilité chronique. Mais d'un autre côté, reconnaissons que la posture victimaire et misérabiliste des nouvelles autorités comoriennes à l'aune de la législature qui s'annonce, ne présage rien de bon : la récurrente politique d'assistanat et de mendicité se profilant déjà à l'horizon, si on en juge par les v½ux pieux et les habituels effets d'annonces en début de mandat, sans aucune consistance réelle, s'agissant de la politique à mener, en adéquation avec la réalité du pays.
 
Nous sommes nombreux à être persuadé, qu'il ne peut être question de paix, de stabilité et encore moins de prospérité aux Comores tant que subsistera le séparatisme maorais, induit et entretenu par l'occupation illégale par la France, de l'île comorienne de Mayotte. Soutenues par les instances et la Communauté internationales, et fort de leur bon droit, les Comores ne devraient ni raser les murs, ni adopter un profil bas, mais clamer haut et fort leur indignation, afin d'espérer rallier à leur cause, les démocrates épris de paix, de justice et de tolérance. Car dans cet imbroglio, c'est bien la France, berceau des droits de l'Homme, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, qui est dans l'illégalité, en violant ses nombreuses résolutions.
Ce climat de pessimisme, de démission, voire même, de compromission affiché par les nouvelles autorités comoriennes, face à la politique française du fait accompli, de chantage et de la loi du plus fort, qui n'a jamais fait mystère de son soutien aux serviles séparatistes maorais, a à n'en pas douter, des relents de capitulation plus près de la connivence et de la collaboration avec l'occupant français, que du patriotisme. Encore moins, d'un quelconque rapprochement avec « nos frères maorais »
 
Après les efforts déployés ces derniers temps par le président Sambi et surtout par le dernier chef de la diplomatie comorienne, Maître Fahmi Said Ibrahim, pour rallumer et entretenir la flemme patriotique éteinte depuis belle lurette, est-il concevable et opportun, pour le président nouvellement élu, d'embrasser si promptement les thèses colonialistes du pays occupant une partie du territoire comorien. Et ce, jusqu'à faire le black-out dans son discours programme, sur tout ce qui pourrait indisposer la France ! Plus question du discours du président Sambi, prononcé lors de la dernière session de l'Assemblée générale des Nations Unies, condamnant l'occupation et la départementalisation de Mayotte par la France. Pas un mot sur le « visa Balladur » responsable depuis son instauration par la puissance occupante, de plus de 7000 morts comoriens « coupables », de vouloir fouler le sol de leur patrie. Pas un mot sur le calvaire vécu quotidiennement à Mayotte, par les Comoriens des autres îles, pourchassés, assassinés, emprisonnés et expulsés manu militari vers les autres îles sans aucune forme de procès. Pas un mot sur les résolutions des instances internationales condamnant l'occupation par la France de l'île comorienne de Mayotte. Pas un mot sur la départementalisation de Mayotte par la France qui oblige pourtant, l'ancien président Sambi à mettre fin aux rencontres stériles du GTHN (Groupe de Travail de Haut Niveau). Pas un mot sur le rejet par l'ancien président Sambi, du huis clos franco-comorien qui a tout d'un marché de dupes, pour recourir désormais à un arbitrage international. Arbitrage international, à jamais honni par le gouvernement français, imité hélas, depuis peu, par le président Ikililou, qui, dans son discours programme, s'abaisse, jusqu'à solliciter auprès de la puissance occupante, au-delà du huis clos scandaleux franco-comorien, un dialogue humiliant entre un état souverain et des séparatistes du même pays, sous l'égide de l'occupant français.
 
Après ça, nous craignons fort, qu'incessamment sous peu, il ne soit plus question, venant des nouvelles autorités comoriennes, que de l'abandon de la revendication de Mayotte, pour un développement séparé jusqu'à nouvel ordre et que de mesures sécuritaires conjointes franco-comoriennes susceptibles de corser davantage, l'application du « Visa Balladur mortifère », qui fait entrave à la libre circulation entre Mayotte et ses trois autres îles s½urs. Au niveau de la sémantique et au train où vont les choses, nous craignons que les nouvelles autorités comoriennes, en viennent à expurger dans leurs discours, Mayotte de l'Union des Comores et à faire en sorte, que des expressions telles que « expulsions de Mayotte des clandestins comoriens », « frontière entre Mayotte et les Comores » etc. aient désormais droit de cité aux Comores... Autant d'actes illicites et humiliants, qui contreviennent gravement d'une part, aux résolutions des instances internationales et à plusieurs dispositions de la Constitution comoriennes et d'autre part, au caractère insécable et inaliénable de l'Union des Comores, composée de Ngazidja (Grande Comore), Mwali (Mohéli), Ndzuwani (Anjouan) et Maore (Mayotte).
 
Il n'a pourtant échappé à personne, que lors de son investiture, le 26 mai 2011, le président Ikililou jure devant le saint coran de défendre, non la Constitution française, mais la Constitution comorienne, qui fait de lui dans son article 12-1 du pouvoir exécutif, du Titre III : Des institutions de l'Union , : « le garant de l'intangibilité des frontières, telles qu'internationalement reconnues, ainsi que la souveraineté de l'Union ». Le non-respect d'un seul article de cette constitution, dont il en est l'émanation, pourrait ici-bas, le déférer devant une haute cour de justice, pour haute trahison, en attendant le jugement de Dieu...
 
On ne peut être d'accord avec le président Ikililou lorsqu'il fulmine : « Les générations futures ne nous pardonneront pas, si après plus de 36 ans d'indépendance, au cours desquels le fossé s'est élargi entre nous et nos frères Mahorais, nous ne parvenons pas à dépasser nos divergences pour le combler et assurer un commun harmonieux à nos enfants ». Nul doute, que les générations futures nous en voudraient, si nous ne faisons rien, alors que nous avons tous les moyens juridiques et politiques et diplomatiques, pour arrêter l'hécatombe provoquée par le « Visa Balladur mortifère», qui a endeuillé plus de 7000 familles comoriennes. Susciter une hypothétique divergence entre nous et nos frères Mahorais, c'est faire le jeu des autorités françaises, en feignant consciemment ou non, de voir le lourd tribut payé par les Comoriens des quatre îles, du fait de l'occupation illégale par la France, de l'île comorienne de Mayotte.
Les nouvelles autorités comoriennes se grandiraient en assurant la continuité de l'Etat, en examinant le contentieux franco-comorien, non dans un huis-clos stérile, franco-comorien et encore moins, comoro-maorais, mais lors d'une conférence d'état à état, sous arbitrage international. Et ce, avec une prise en compte de plus de trois décennies de cavalier seul de Mayotte aux côtés de l'ancienne puissance administrant. Cette dernière s'honorerait d'ailleurs, en travaillant en direction de rapports harmonieux dans le sens d'une vraie entente et d'une réelle réconciliation franche et sans ambiguïté entre Comoriens des quatre îles et non dans une logique d'exclusion, d'ostracisme, de confrontation et de haine.
 
Concluons notre propos par une parabole à plusieurs tiroirs « Lorsque le sage [la Communauté internationale, les instances internationales, les organisations des droits de l'Homme...] montre la lune [la France, puissance occupante de l'île comorienne de Mayotte], l'idiot [les gouvernements successifs comoriens crédules, à quelques exceptions près...], regarde le doigt [nos frères maorais] ».
 
Envoyé par soilihali
Publié par : http://wongo.skyrock.com/
Tags : Mayotte
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#Posté le lundi 20 juin 2011 22:30

Modifié le mardi 21 juin 2011 22:23

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niggaz25, Posté le mercredi 19 octobre 2011 11:41

Sambi ou ikililou ce sont tous les même des mandiants.


Trawalammagi, Posté le mercredi 22 juin 2011 11:07

A Mohamed Bacar, je ne sais pas si tu es un modja Nguéfo, mais c'est encore Anjouan qui a voté Ikililou et sans ces voix cet homme ne serait jamais président et e sont encore les coopérants anjouanais à Mohéli qui ont hissé cet homme Ikililou pour figurer parmis les 3 lauréats des primaires mohéliens. Et qu'est ce que ca rapporte un ministère dans une région puisque ce sont encore les citoyens qui mouillent leurs chémises pour assurer la survie de ce ministre pendant son mandat et y compris le président lui-même ? Il faut songer aux entreprises Mec et non aux pouvoirs postes politiques et c'est monsieur le monde qui entretienne ces ministres improductifs. Trawa le bio de Johanna.


Chams, Posté le mardi 21 juin 2011 23:26

Pourquoi les malgaches traitent les anjouanais de matramadzi ?


Mohamed Bacar, Posté le mardi 21 juin 2011 14:15

Merci Ikililou , il n'a reconduit aucun ministre du gouvernement de l'anjouanais- Sambi , qu'ils aillent creve


Trawalammagi, Posté le mardi 21 juin 2011 11:15

A Trawa le révolutionnaire a sûrement oublié que seules 3 iles formaient ce même peuple et au mépris de Ngazidja et c'est encore le colon qui nous a mis ensemble avec ces parasites waganzidjas qui ont maudit cet ensemble comorien formé par les 3 autres iles et peut être que Trawa le révolutionnaire ferait de chercher dans le passé, pourquoi les 3 autres iles avaient marginalisé Ngazidja et c'est encore Anjouan qui devait reclammer cette ile de Mayotte , parcequ'elle a connu Mayotte bien avant les immigrés francais. Trawa le bio del bella Johannos.


Trawalammagi, Posté le mardi 21 juin 2011 11:08

A Trawalammagi le révolutionnaire, la falsification ne fait jamais la différence et c'est toujours la qualité et prochainement n'oubliis pas de signer en bas comme l'autre faux Trawa. Décidement, le pseudo trawa a de la valeur, mais dommôge que nous n'avons pas les mêmes styles et que nous n'avons pas les mêmes IP adresse et le trawa bio le vrai reste toujours ce dernier avec cette qualité qui fait la différence. Et si Mayotte choisit encore Anjouan pour échanger avec cette ile d'Anjouan, il me semble que ces deux iles y compris Mohéli ont déjà partagé un destin commun dans la passé et même si dívergence il y a entre les deux iles , il y aura toujours ces liens puisqure nous parlons ensemble le même langage et quand aux produits malagaches et même les autres iles achètent ces produits malgaches et tu es encore où pour avoir rédigé ce texte ? Et bien Trawalammagi le révolutionnaire, renseignes toi bien , mais plusieurs produits viennent de la Grande ile soeur.T'est pas coincé à la Courneuve pour raconter ta révolution ? Et de quelle révolution s'agit il, est ce la révolution solaire, communiste, francaise, le printemps arabe et je paris que tu penses toi aussi que Karl Marx a été communiste La révolution, tu parles. Trawa le bio del Johanna.


Abla, Posté le mardi 21 juin 2011 10:08

C la faute de sambi , qui a poussé les anjounais a voter ikililou un candidat qui ne meme pas elu chez lui c pas un homme honete si sambi avait laissé leur choix ça ira pas jusqu a là qui va payer c les anjouanais et sambi est tranquile chez lui c meme chose comme feux taki les anjouanais ont voté massivement pour lui finalement il a envoyé l armé pour tuer , il n a pas mit son pied à anjouan sa fin de sa vie tout le monde save que anjouan c le grand veto avec grande puissance d' etat comorien !!!!!


Salim, Posté le mardi 21 juin 2011 09:43

Ne pleurez pas. On vous avez averti : Le mohélien est quelqu'un de naïf. Je vous promet IKILILOU va se casser bientôt les dents. Il faut qu'il sache que la France n'a pas d'ami


Boito, Posté le mardi 21 juin 2011 09:28

Le réveil de HALLADE


Vava, Posté le mardi 21 juin 2011 08:02

Si Ikililou nous prend comme de naifs. Il aura des comptes à rendre chez DIEU


Saindou, Posté le mardi 21 juin 2011 08:00

Ce qui est triste c'est quand on voit ceux qui critiquaient Djabir avec de tels propos fermer leurs gueules sur les agissements IKILILOU-HALLADE. Allez ce soir demander aux refoulés de Mayotte ce qu'ils endurent à Mayotte


abdoulhak, Posté le mardi 21 juin 2011 06:50

Désolé de devoir vous dire que vous racontez des balivernes en faisant croire que Sambi oeuvrait sérieusement pour la réintégration de Mayotte. Les comoriens sont décidément naifs. Ce qu'a fait Sambi durant 5 ans de mandat c'est du cinéma, pas plus sur Mayotte que sur les autres dossiers. En vérité sa seule préoccupation était de rester le plus longtemps possible au pouvoir, même si le pays est perdant. Son ambition est de se faire plein les poches avec ses collaborateurs. Un jour ou l'autre, on saura preuves à l'appui le montant du magot détourné: argent du projet habitat, nationalité économique, Galawa, ressources intérieures, etc.
Sur Mayotte, Soilih nedoit pas oublier qu'au moment du référendum de départementalisation, Sambi et ses affidés organisaient alors à Moroni une révision de la constitution visant à prolonger son mandat. Histoire de faire oublier le référendum de Mayotte. Vous semblez oublier également que le discours flamboyant de l'ONU n'était que de la poudre aux yeux. Vous n'avez pas vu que le lendemain Son Ministre des affaires étrangères, Fahmi Said Ibrahim, a signé à Paris le fameux accord de coopération militaire avec la France?
Auatant d'éléments parmi d'autres qui illustrent l'hypocrisie de Sambi. Il est l'homme qui a facilité à la France le passage de Mayotte au statut de département.
Donc arrêtez de vanter on ne sait quels mérites de Sambi. Son bilan est nul, il se réduit à des discours flamboyants, à une haute trahison et à une gabegie sans précédent. Ce qui est malheureux est que son successeur, Ikililou, ne comprend pas ce qui s'est passé et n'arrête pas de lui envoyer des fleurs. Or, s'il joue la carte de la continuité, nul doute que la tournate Mohélienne s'avérera elle aussi décevante.
Abdoulhak


Abla, Posté le mardi 21 juin 2011 04:33

Docteur IKILILOU a fait des etudes veterinaire pours les ânes de moheli il na rien a foutre de l ile de mayotte actuellement il a commencé a planter des bananiers et marango à baïti salam hihi moili tu es ou ?


trawalammagi, Posté le mardi 21 juin 2011 01:52

Cher revolutionnaire je vous rappelle que le droit est avec nous , personne dans ce monde ne dit pas le contraire mayotte est une terre comorienne comme la palestine appartient aux arabes et non au juif comme le sahara appartient aux marocains et non les espagnols ...etc. ce que tu devrais savoir cher revolutionnaire dans cette terre mahoraise il existe des personnes qui vivent et qui ne veulent pas vivre avec les trois îles politiquement .
Ces personnes sont à 95 % majoritaire: si monsieur le revolutionnaire tu veux tué cette population pour fabriquer une autre population bismalahi va faire la guerre si vous êtes capables.
Mais l'idée d'ikililou discuter avec cette population qui vive sur cette terre c'est une façon de garder notre culture qui est en voie de disparution dans cette île.
C'est une façon de dire aux autorités mahoraises de faire venir les produits anjouanais qui coûteraient moindre pour que la population mahoraise respire un peu car la vie à mayotte est très chere; même les expatriés veulent partir :
l'année prochaine ils manqueront plusieurs profs car ils ne veulent pas venir du faite de la chereté de cette île.
Les autorités mahoraises veulent aider les producteurs anjouanais au lieu d'aider les producteurs malgaches comme faisait DOUCHINA.
Si IKILILOU veut negocier avec les mahorais au lieu d'aller crier aux nations unis comme les autres peuples opprimés je trouve qu'il est pragmatique, vaut mieux gagner un peu que de perdre tout
Ce que je conseille à IKILILOU de chercher un pays qui a le droit de veto aux nations unis pour prendre en main notre problème car on a trouvé plein du petrole au large de la grande comore et beaucoup plus que l'arabie saoudite . Tous les puissances viendront chez nous bientôt et mayotte viendra mais si notre culture disparait à mayotte on les refusera car ils vont nous emmerder.
J'appelle l'UNESCO de venir investir à Mayotte pour que notre culture reste
J'appelle aux parents mahorais de ne pas se lasser à éduquer les enfants même les enfants errants il faut que les mahorais et mahoraises éduquent ces enfants errant car c'est une bombe atomique qu'on veut laisser le moment qu'ils partiront.
J'appelle à la France qui a fait les comores du faite qu'elle a constaté que ces peuples qui vivaient dans les quatre îles est un seul peuple qui a des valeurs communes et que cette race est riche en valeur de ne pas continuer à les diviser encore culturellement sa suffit politiquement. Car bientôt vous aurez besoin de ces quatrs îles


Mohamed Bacar, Posté le lundi 20 juin 2011 22:47

Merci Ikililou , il n'a reconduit aucun ministre du gouvernement de l'anjouanais- Sambi , qu'ils aillent creve


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