
Selon mayotte-matin.fr ,
Mercredi (22 juin 2011 : Ndlr) à 15 heures au Centre de Rétention Administrative de Petite-Terre, un sit-in avec mégaphones est organisé. Il s'agit de protester pour les membres d'associations regroupés sous la bannière d'un mouvement citoyen, contre les conditions d'accueil au sein de la “verrue de la République”
Il faut dire que depuis la signature de l'accord équilibré (qui devait prendre fin, fin mai) entre l'Etat comorien et l'omniprésent ambassadeur de France à Moroni, la traque des sans-papiers français se fait de manière plus violente et sans pitié à Mayotte.
http://wongo.skyrock.com/
abou, Posté le mardi 28 juin 2011 14:20
à Mr Souef Mohamed El-Amine( ex-Ministre des relations extérieures au gouvernement Azali, de 1999 à 2005 ), le peuple Comorien a le droit de savoir sur la vente du goudron à Madagascar, offert par Kadafi et destiné pour les routes de l'ensemble des Comores. Les Comoriens ont la mémoire très courte.
La chanson, on la connait par cur. Les notes du violon sonnent fausses depuis 1975.
ET APRÈS ???
BLA BLA BLA, BLING BLING , LIBERTÉ ET VIVE LA CORRUPTION PUIS HAMDOULLAH.
Une union nommée chacun son tour.
Les nouveaux investis font toujours résonner les tonneaux vides, le temps de se positionner pour la compétition de pillage.
Les voleurs d'hier sont ministrable aujourd’hui et ceux d’aujourd’hui le seront sans problème demain.
La seule résolution possible de sortie de crise, serait de faire un choix pertinent.
1- Équité : transférer la capitale des Comores vers Mutsamudu.
2- La démocratie : confédérer ces iles et bannir un système obsolète ( l'union, un tiers d'un siècle déchu ).
3- Le confort : faire une location des Comores à la France pour un bail de 100 ans.
STOP AUX GOUVERNEMENTS SUCCESSIFS, PILLEURS DE DENIERS PUBLIQUE ET INCOMPÉTENTS
separatiste@live.fr <separatiste@live.fr>
La plaie du séparatisme est mal cicatrisée. Normal, le remède est mal administrée. Il n’ y a eu ni commission vérité et réconciliation comme c’est la mode aujourd’hui, ni procès. Et pour couronner tout, l’ex-président a unilatéralement gracié les ex-rebelles. Certains parmi ceux-ci ont intégré l’armée régulière sans aucune forme et y occupent, de surcroit, les postes les plus prestigieux.
Des nombreux militaires qui ont officié, des années durant, dans la haute sphère de la force de « la République d’Anjouan », la fameuse FGA, font aujourd’hui la pluie et le beau temps au sein de l’AND.
Et en prime de leur desertition pendant la longue période de sécession anjouanaise, M. Dossar, par solidarité pour ses congénères, s’est arrangé pour leur verser des arriérés de salaires en comptant dans leur ancienneté les années de rébellion.
Ce traitement de faveur réservé aux ex-rebelles anjouanais contraste avec le sort réservé aux militaires considérés rebelles et jugés comme tels depuis l’assassinat de Combo. Ces pauvres soldats n’ont fait que leur devoir, protéger la personne et l’honneur de leur supérieur, le général Salimou. Malheureusement, ils en ont fait pour leur frais : ils sont humiliés, bannis de leurs casernes, emprisonnés, dégradés et révoqués de leurs corps… tout ça , dira-t-on, pour acte de rébellion.
Pendant que ces pauvres brigadiers croupissentt en geôle, les ex-rebelles anjouanais paradent sur les rues de Moroni avec leurs apparats de commandants en chef.
Des gens comme Ibrahim Abdou, Halidi Charif, Taksine ou Zarouk n’ont jamais été inquiétés et savourent tranquillement leur nouvelle vie d’officiers de l’AND.
Quels sont en réalité les vrais rebelles