Policiers et gendarmes peuvent commettre certaines infractions à la législation sur les stupéfiants, après y avoir été autorisés par le procureur de la République ou le juge d'instruction. Ainsi, l'infiltration consiste pour un policier ou un douanier à s'installer dans le rôle de trafiquant pour collecter des renseignements.
La livraison contrôlée permet aux enquêteurs d'intervenir activement dans la livraison, en achetant, en détenant ou en transportant des stupéfiants. Mais toute provocation à la vente leur est interdite. Est cependant autorisé le coup d'achat, soit le fait, pour un enquêteur, de solliciter d'un dealer une certaine quantité de stupéfiants.
«Nous nous opposons catégoriquement à ce dépaysement, puisque c'est une forme d'enterrement de ce dossier [...]. C'est une affaire mahoraise, commise à Mayotte. Cette affaire doit être examinée ici.»
Me Larifou avocat d'un indic
Source : Liberation.fr
marfou, Posté le mercredi 03 août 2011 15:21
courage maître larifou depuis toujours tu défend les comores ,tu as defendu ahmed abdallah au lieu que ces enfants on tiré leur plainte ,tu défendu djohar tout ça au nom du comores vive les enfants qui lutte pour les comores