COMORES / Huile d'ylang : un chercheur pointe du doigt les méthodes de distillation

maki, Posté le samedi 27 août 2011 08:54

C'est bien de chercher et de trouver,mais faut prendre garde à ne pas divulguer des résultats pouvant compromettre le marché de l'huile essentiel en faveur des Comores. Aucun pays aussi honnête qu'il soit ne se permettrait ce genre d'analyse, non accompagné de solutions concrètes aux problèmes posés.

Mr le chercheur,maintenant tu sait peut être que la vétusté des équipement de production de l'huile est un problème,tu aurais du accompagner tes résultats avec le gouv. de IKI qui 't'aurait peut être proposer des équipement modernes pour justifier des recherches.... Mais la tu tues le marché des huiles d'Ylang en faveur des comoriens.

Trawalammagi, Posté le samedi 27 août 2011 06:50

A combo, notre chercheur de la CNDRS comorien a fait ses recherches pour les comoriens et on ne peut jamais obliger une entreprise à modernier et il le fait lorsque la concurrence est très rude et que les autres entreprises cherchent à moderniser pour améliorer la productivité ou bien rentabiliser son entreprise avec les économies d'échelle et peut être que notre chercheur fait l'amalgamme entre productivité et qualité et peut être que l#Indonnesie etl#Ouganda arrivent a doubler leur production et grâce aux technologies modernes et c'est toujours le travail fait main qui honnore cette qualité et partout où on lit les esseces d'ylan-ylang, ce sont toujours les essences comoriens qui se taille la part de la qualité. Il faudrait que notre chercheur nous dit les dégrés de essences pour les Comores, l'Ouganda et l#Indonnésie et ces technologies qui ont amélioré la qualité des essences en Ylang-ylang en Indonnesie et en Ouganda. C'est vrai que nos chercheurs n'osent jamais affronter les questions du public après leurs recherches , mais se contentent de nous alerter sur des recherches qui sont toujours flous et pourquoi Mayotte la France,on ne force pas le gazoil pour préparer ces essences ? Il faut dire à ce chercheur de compléter ses recherches et de repondre aussi nos questions sur cette notion de qualité qu'il amalgamme avec la productivité. Trawa le bio le belge. Héyyy Trawa le faux, maintenant c'est plutôt le belge ou le mkoni.

combo, Posté le samedi 27 août 2011 00:46

J'ose espérer que les propriétaires des alambiques etc dans l'ile comorienne de Mayotte vont suivre les recherches de ce chercheur comorien pour améliorer la qualité et quantité de l'huile d’ylang-ylang en attendant le retour de l'ile comorienne de Mayotte dans son giron naturel

Trawalammagi, Posté le vendredi 26 août 2011 12:56

Et quelles sont ces technologies modernes. Dr Said Hassane ? Ce chercheur de la CNDRS a sûrement fait des recherches, mais n'ose pas avancer ces fameuses technologies modernes qui permettent à l'Indonésie et l'Ouganda de produire qualité et pourtant,parait-il, les choses qui sont préparées avec le feu du bois font toujours la différence et un Pizza cuit au feu du bois se l'arrache comme du mabawas à Mayotte. Peut être que notre chercheur à fini par comprendre que ces moyens technologiques modernes pour produire les essences d'Ylang-ylang ne sont pas donnés. Et lorsqu'on fait des recherches pour dire que c'est meilleurs avec les technologies modernes , on va jusqu'au bout non pour avancer aussi ces technolie modernes ? Ah oui et j'ai trouvé et l'Etat ne fait rien pour ces technolies modernes et est ce que c'est l#Etat qui produit avec ces alambiques archaiques et Le chercheur, c'est bien toi Said Hassane non ? Oufff, cette fois-ci un vrai chercheur hors histoire cherche à percer le point noir de l'Univers comorien, mais se heurte toujours au trou noir des technologies modernes. Trawa le bio le belge.