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Union Africaine / Discours de S.E.M Ahmed Abdallah Sambi au Caire

 Union Africaine  / Discours de S.E.M Ahmed Abdallah Sambi au Caire
 
Discours prononcé par l'ancien président de l'Union des Comores S.EM. Ahmed Abdallah Mohamed Sambi à l'occasion de la deuxième retraite de l'Union Africaine  sur la paix et la sécurité qui se tient au Caire en Egypte du 4 au 5 septembre 2011.
 
Excellences;
Honorable assistance;
 
Comme c'est la première fois que je prends la parole, permettez-moi de  joindre ma voix à celles des distingués intervenants qui m'ont précédé pour exprimer mes chaleureux remerciements et ma profonde gratitude à l'Union Africaine et aux hautes autorités de ce pays frère, pour la chaleureuse hospitalité dont nous bénéficions, ma délégation et moi-même, depuis notre arrivée dans ce beau pays frère.
 
Je vous remercie, ensuite, pour m'avoir donné la parole afin que je puisse apporter ma modeste contribution à ce débat qui revêt pour moi une très grande importance.
 
Je salue la pertinence des thèmes qui constituent notre ordre du jour, notamment celui intitulé « Leadership et responsabilité» sur lequel j'ai le plaisir d'intervenir.
 
Je suis en effet heureux de pouvoir partager ici mon expérience d'ancien Chef d'Etat qui a eu la chance de diriger mon pays, l'Union des Comores, six ans durant.
 
Pour rappel, j'ai été élu en 2006, à plus de 60% par le suffrage universel, dans le cadre d'élections libres, démocratique et transparentes dont les résultats ont été reconnus non seulement à l'intérieur du pays mais également par la communauté internationale.
 
J'ai également eu la chance d'être le Premier Président de mon pays à avoir connu une passation de pouvoirs pacifique, les précédents Présidents ayant accédé au pouvoir à l'issue de coups d'Etat ou à la suite de la disparition de leurs prédécesseurs.
 
Cette légitimité a été pour moi un grand atout pour poursuivre les objectifs et les valeurs définis et maintenir le cap proposé lors de la campagne électorale car malgré une légitimité incontestée et une popularité reconnue, mon mandat a débuté dans un climat particulièrement délicat.
 
En effet, à mon arrivée au pouvoir, le système fédéral de l'Union des Comores avait quatre présidents, un pour l'Etat central et un pour chacune des trois îles de l'Union, en plus des quatre gouvernements avec leurs pléthores de ministres et des quatre parlements. 
 
Cette situation engendrait des conflits permanents entre l'Union et les îles et paralysait le fonctionnement régulier des institutions de l'Etat, avec une crise institutionnelle caractérisée notamment par une pléthore d'institutions insulaires et nationales particulièrement budgétivore couronnée par un conflit de compétences entre les îles autonomes et l'Union et enfin d'une conjoncture économique difficile exacerbée par la suspension de l'accompagnement des institutions financières internationales.
 
Inutile de souligner ici, la difficulté pour un nouveau dirigeant de gérer un pays, qui de surcroît ne dispose que d'un budget annuel ne dépassant pas les 60 millions d'euros, dans de telles conditions.
 
Mais dans ce domaine également, la légitimité et le soutien de la population ont été pour moi un atout précieux. Elle m'a ainsi donné toute la latitude dont j'avais besoin, pour engager des réformes en profondeur de la Constitution.
 
Ainsi, quand j'ai estimé indispensable de réviser certains articles de la constitution, harmoniser les institutions et relancer leur bon fonctionnement, j'ai sollicité et obtenu l'appui des électeurs et des électrices de mon pays.
 
C'est ainsi qu'à la suite d'un référendum largement gagné en 2009, le pays est aujourd'hui harmonieusement dirigé, au niveau central, par un seul Président, avec une seule équipe gouvernementale et un parlement fédéral et, au niveau des îles, par des Gouverneurs, entourés de Commissaires avec une un Conseil pour chaque île.
 
J'ai surtout pu apprécier l'atout de la légitimité et du soutien populaire, lorsqu'il a fallu recourir à la force pour libérer l'île d'Anjouan, des mains d'une rébellion qui, durant plusieurs  années, a placé les institutions de l'île hors-la-loi  et tenté de faire sécession.
En effet, j'avais hérité en mai 2006, quand je fus investi à la Magistrature suprême de mon pays, d'une crise  séparatiste qui durait depuis plus de 7ans.
 
J'ai pu également mesurer l'importance de cette légitimité quand, dans ce cadre, l'Union Africaine, la Ligue des Etats Arabes, l'Organisation Internationale de la Francophonie, ont clairement apporté leur soutien infaillible au débarquement militaire décidé pour mettre fin à cette rébellion.
 
C'est avec l'aval de ces organisations, que des pays amis, notamment la Tanzanie, le Soudan, le Maroc, la Libye et la France ont apporté chacun sa contribution, morale, financière, logistique ou militaire pour la réussite de l'opération et du débarquement militaire qui ont permis de mettre fin à cette rébellion, sans effusion de sang et  restaurer, enfin,  l'unité du pays.
 
Conjuguée ave cette la légitimité, cette stabilité politique retrouvée, nous a permis d'initier les reformes économiques nécessaires et, notamment, procéder au remboursement d'une grande partie de notre dette extérieure, ce qui nous a permis au pays, de bénéficier à nouveau de la confiance des institutions financières internationales.
 
En plus d'avoir été un grand facteur de la crédibilité du pays vis-à-vis de l'extérieur, cette légitimité m'a donné une large marge de man½uvre pour appliquer une politique d'ouverture en direction du monde arabe notamment, auquel appartient également l'Union des Comores.
 
Cette politique a été salvatrice car aujourd'hui, de nombreux investissements proviennent des pays arabes, notamment ceux du Golfe, qui financent d'important projet d'infrastructures et apportent, avec d'autres partenaires, notamment la France et la Chine, d'importantes et multiples aides, ce dont le pays a grandement besoin pour son développement économique et social.
 
Les Comores, à l'instar des autres pays africains disposent d'immenses potentiels économiques dont la mise à profit, nécessitent une prise de conscience des dirigeants et des peuples d'Afrique, de l'importance de s'approprier la culture de la démocratie, à savoir la quête du pouvoir par les urnes et non par la force, car les coups d'état à répétition et les rebellions ont fait beaucoup de tort à nos pays.
 
Nous devons également garantir le respect de nos lois en vigueur, car le manque de respect de ces lois, non seulement éloigne les investisseurs potentiels mais reste, encore de nos jours, une source de conflits et un obstacle à la paix qui reste une condition sine qua none à l'épanouissement de nos pays.
 
Toutefois, en dépit de la volonté politique de leurs dirigeants, de nombreux pays africains ne peuvent connaître la prospérité sans un accompagnement soutenu de la communauté internationale, dans la relance du développement socio-économique, notamment à travers le renforcement des capacités et l'attrait des investissements, un accompagnement qui doit se faire dans le cadre d'un partenariat    gagnant-gagnant.
 
Bien évidemment, une implication effective de la société civile dans la gestion de l'Etat constitue aussi un atout majeur dans la bonne gouvernance de nos pays, notamment dans la relance du développement communautaire et  la consolidation de la culture démocratique.
 
D'un autre point de vue, le leadership politique suppose aussi la capacité à s'entourer des meilleurs collaborateurs et à mettre en place des relais, à déléguer les pouvoirs et contrôler l'action ou l'inaction des collaborateurs.
 
En ce qui me concerne, j'avais fait le choix des hommes et des femmes que j'estimais animés du même sens des responsabilités que moi et qui, je le pensais, partageaient ma vision de la société comorienne et l'ambition que je nourrissais pour notre pays.
 
Avec le recul, j'ai pu constater que c'est sur ces points que reposaient principalement mes points faibles et ceux de bien de dirigeants africains.
 
J'ai découvert que, souvent, la confiance donnée aux hommes, est mal placée. Je me suis ainsi trouvé pour ma part, handicapé dans mon action par des erreurs d'appréciation, dans certains choix au niveau des équipes dirigeantes.
 
Même si ici elle est partagée, la responsabilité du dirigeant est engagée car il a en effet le devoir non seulement de choisir des collaborateurs animés par la même volonté et partagent les mêmes aspirations que lui et d'impulser leur action, mais également celui de sanctionner l'inaction de l'entourage; faute de quoi, les efforts déployés pour le développement, la paix, la stabilité et la bonne gouvernance n'auront pas les effets positifs escomptés.
 
Je vous remercie
 
publié par : http://wongo.skyrock.com
 

  Discours prononcé par l'ancien président de l'Union des Comores S.EM. Ahmed Abdallah Mohamed Sambi à l'occasion de la deuxième retraite de l'Union Africaine  sur la paix et la sécurité qui se tient au Caire en Egypte du 4 au 5 septembre 2011.   Excellences; Honorable assistance;   Comme c'est la première fois que je prends la parole, permettez-moi de  joindre ma voix à celles des distingués intervenants qui m'ont précédé pour exprimer mes chaleureux remerciements et ma...

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Tags : sambi, comores
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#Posté le lundi 05 septembre 2011 10:21

Modifié le lundi 05 septembre 2011 12:53

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trawalammagi, Posté le mardi 06 septembre 2011 22:18

En tout cas Cauwel, vas copier sur le hyper- paresseux africains et quand, on admire ce vent de dévellopement qui soufflent en Asie et il me semble que les jeunes fooballeurs sont toujours impressionner par les stars du foot et les équipes stars qui donnent des meilleurs résultats et c#est comme ca qu'il faut savoir copier les choses et prenez toujours des vaux rien sportifs waganzidjas, pour qu'ils ridiculisent avec les jeux de la COI et il y en a même qui nous couillonnent que ce sont des jé-viens, peut être que ce monde taggent les mûrs de la Courneuve et de la Canne-bièrre. Trawa le bio le belge anjouanais.


CAUWEL, Posté le mardi 06 septembre 2011 16:18

Bien essayé mais moi je me laisse pas piéger aussi facilement ,je serais négationniste tant mieux pour toi .je prends en considération après analyse de l'info.Vérifier toujours la source pour ne pas dire des bétises aux autres. Le reste c'est de la logique pure et simple, et va voir ce que l'autre a fait de bon pour prendre le modèl a fin de l'amériorer à ta façon . Cela ne veut pas dire qu'il faut suivre l'autre comme un mouton alors personne ne veut te couillonner t'as un ceveau pour réfléchir et voir les choses en face.


wongo, Posté le mardi 06 septembre 2011 15:02

Trawalammagi a écrit : "Ils ne savent faire que ça : les coups de feu , les Kalach , les machettes ,c#est ça leur seul truc
Faut pas s'étonner s'ils meurent par milliers en voulant fuir anjouan
Il ne leur reste qu'à hisser le drapeau français , anjouan français !
Trawa le bio le belge anjouanais
"

" Ils ne savent faire que ça : les coups de feu , les Kalach , les machettes ,c#est ça leur seul truc
Faut pas s'étonner s'ils meurent par milliers en voulant fuir anjouan
Il ne leur reste qu'à hisser le drapeau français , anjouan français !
Trawa le bio le belge anjouanais"

Ce n'est pas le style du vrai Trawalammagi. En tout cas Trawa a bcp de succès. Tout le monde veut être Trawalammagi


Trawalammagi, Posté le mardi 06 septembre 2011 14:27

Ils ne savent faire que ça : les coups de feu , les Kalach , les machettes ,c#est ça leur seul truc
Faut pas s'étonner s'ils meurent par milliers en voulant fuir anjouan
Il ne leur reste qu'à hisser le drapeau français , anjouan français !
Trawa le bio le belge anjouanais


trawalammagi, Posté le mardi 06 septembre 2011 14:19

A Cauwel, tu serais sûrement un négationiste et tu me fais penser à ces éleves qui obtiennent des mauvaises notes notes ou résultats et qui disent qu'ils sont les avants derniers ou bein , celui qui est derrière ma rangé a obtenu une note encore inférieur que moi et ce sont toujours les pays africains qui cherchent à justifier leurs sous-développement, en disant qu'il y a d'autres pays qui sont sous-développés qu'eux et ce n'est pas que nous autres dans les autres insulaires veulent et nous voulons copier des pays comme Maurice et autres et ca fait déjà 36 ans que vos mille et une politiciens de Ngazidja et de leurs partis nous ont couillonné comme toi Cauwel et la conquète d'une croissance est une réalité et non une imagination et s'il faut copier des bonnes choses qui marchent à Mayotte, alors pourquoi pas ? Et demain encore, un autre va encore crier pour cacher la savane. Trawa le bio le belge anjouanais.


CAUWEL, Posté le mardi 06 septembre 2011 08:06

SAMBI a bien fini son mandat! je vous dis tout simplement que c'est une politique qui vient du fin fond de la Russie de POUTINE QUI SE MET EN PLACE , il ne faut pas être dupe c'est tellement évident que même un bébé peut comprendre la stratégie.Par ailleurs on nous parle des coups de feux sporadiques sinon imaginaires! ce pays connait une période de stabilité pour dire que c'est pas vrai .Mais on oublie vite que BACAR n'est pas venu à Mayotte avec les mains vides,d'autres compagnies ont suivi derrière mais on nous ment toujours comme d'habitude.Ils sont à Mayotte avec leurs armes.On nous dit toujours que du mensonge, personne ne connait à ce jour la quantité des armes hors catégories présentes sur notre territoire. NOUS VOULONS QUE LA PAIX A MAYOTTE PAS LA GUERRE,Pour ceux qui pensent qu'en propageant de fausses nouvelles d'instabilités aux Comores leur fait du bien ,une sorte de manie cela touche également notre île car les touristes passent aussi chez nous .On nous dit également que les Comores sont pauvres ; c'est totalement faux ,il suffit d'aller voir les infrastructures sur place pour s’apercevoir que MAYOTTE est en retard ,tant au niveau des pilotes d'avions, ingénieurs ,enseignants hautement qualifiés et aéroports internationaux .Pour les médecins ,il faut toujours des traducteurs dans les hôpitaux de Mayotte, des postes restent non pourvus , nos étudiants reviennent après 5 ans d'études en moyenne avec un bébé pire ne sont pas diplômés alors que nous met en évidence les résultats du bac comme facteurs NÉGATIF des Comores .Les élèves n'ont pas bossé pour avoir le BAC ,bien ils l'ont pas c'est simple. ils sont partis en boite danser comment avoir le bac ? combien d'universités avons nous à Mayotte sinon (brulante est ma terre ) BACO SALAMI ? LES PAUVRES EN ONT PLEINS mais même si sa marche pas bien nos enfants vont en métro! TENIA ET COMPAGNI QUI INSULTENT LES AUTRES ,VOS DIPLOMES ON A BESOIN ICI A MAYOTTE.


Trawalammagi, Posté le mardi 06 septembre 2011 03:31

A Trawa le faux et puisque ca marche en Libye avec la CNT et sous la couverture de l'OTAN , alors pourquoi pas à Anjouan et la rébellion est maintenant légale non ? Toi Trawa le faux, vas lire les propos d'un avocat libyen chez Roinaka et tu comprendras que la CNT est bien une rébellion soutenu par 3 pays qui s'honnorent les communautés internationales et je te rappele que ces 3 coups n'ont pas tuer des gens à Anjouan , en revanche , des coups de feux à Ngazidja ont fin les jours de Combo et peut être que c'est à Ngazidja que les coups de feu sont mortels. Trawa le bio le belge anjouanais.


Trawalammagi, Posté le lundi 05 septembre 2011 22:43

Ils ne savent faire que ça : les coups de feu , les Kalach , les machettes ,c#est ça leur seul truc
Faut pas s'étonner s'ils meurent par milliers en voulant fuir anjouan
Trawa le bio le belge anjouanais


Trawalammagi, Posté le lundi 05 septembre 2011 16:05

A Ant-shit, Sambi a bien fini son mandat non ? Et il faut laisser la justice faire son boulôt avec la crimes commis par votre poirreau ex-gúenéral et ca ne sert à rien de faire agiter vos régions pour rien et il faut que ce criminle de guénéral avale lui aussi sa propre démocratie comore. Trawa le bio le belge anjouanaise.


trawalammagi, Posté le lundi 05 septembre 2011 15:24

Et dire que tout le monde se prend pour la Polo bio Trawa , ca fait vraiement rêver. Et pourquoi ces coups de feu vous préoccupent ? C#est pas encore à Ngazidja qu'un général assassiné son frère d'armes Combo non ? Et je vous signales que ces coups de feu à Anjouan n'on pas tuer et ce sont seulement les de feu à Ngazidja qui ont oté la vie de Combo et c'est comme ca que Trawa le bio s'exprime et non pas lacher une récitation pour cacher la forêt. Trawa le bio le belge anjouanais.


Anti-Shit, Posté le lundi 05 septembre 2011 14:46

Les comoriens ont eu raison de chasser ce sambi et à la justice de faire le reste


Trawalammagi, Posté le lundi 05 septembre 2011 13:29

Le meilleur discours de ce sambi c'est quand dans un HLM au nord de Marseille il affirmait qu'il allait développer les Comores et les anjouanais n'auraient pas besoin de prendre des kwassas pour fuir la misère....!
Trawa le bio l'anjouanais


Trawalammagi, Posté le lundi 05 septembre 2011 13:14

D’origine inconnue, ces coups de feu soulèvent des interrogations, car depuis quelques semaines, voire des mois, des anciens éléments des FGA (Force de gendarmerie d'Anjouan), ex-bras armé de Mohamed Bacar, disent ne pas comprendre les critères de sélection concernant l’insertion au sein des différents corps de l’armée comorienne des anciens FGA. Des missives et des courriers anonymes ont circulé et un officier de la brigade de la gendarmerie de Mutsamudu, qui a préféré garder l’anonymat, nous a confié jeudi soir qu’il « n’est pas écarté que des éléments des FGA soient impliqués dans cette histoire. Ils ont clairement affiché la couleur. » Avant d’ajouter que des « mesures ont été prises pour identifier le ou les auteurs de ces coups de feu, sans perturber la quiétude de la population civile ». C’est pour cette raison que des patrouilles nocturnes et des points de contrôles routiers ont été mise en place dès mardi.

Quatre personnes ont été interpelées au bénéfice de l’enquête puis relâchées vendredi. « Ce sont des riverains qui se trouvaient au mauvais endroit et au mauvais moment. Il fallait les entendre. Mais l’enquête se poursuit. Nous n’écartons aucune hypothèse. »

Les riverains interrogés affirment avoir entendu une des trois salves d’armes à Marsatra mardi, vers 1h30 mais sans conséquences. A noter que ces tirs provenaient d’une zone très fréquentée, un débit de boissons alcooliques informel y ayant pignon sur rue.

Cependant, « les deux autres tirs nourris qui ont succédé au premier à environ une heure d’interval, démontrent que l’acte n’est pas le fait du hasard. C’est un travail d’un ou plusieurs professionnels, des gens qui se déplaçaient pour éviter d’être identifiés ou suivis. Les douilles de gros calibres retrouvés à Marsatra en témoignent. Mais pourquoi et que revendiquent le ou les auteurs ? Cela reste du domaine du mystère» s’interroge Aboullatuf, un riverain.

Il est vrai que la proximité des faits avec la localité de Barakani, fief de Mohamed Bacar, l’ex-chef rebelle d’Anjouan en exil au Benin, peut bien supposer une implication de ses fidèles qui croient toujours à un retour probable aux affaires de leur chef.

Toutefois, une source crédible nous a informé vendredi matin que parmi les interpellés, il y aurait une personne qui a témoigné avoir entendu un véhicule qui rôdait dans les lieux avant et après les coups de feu de Marsatra. Ce qui peut privilégier la thèse d’une action qui visait à faire porter le chapeau aux partisans de l’ex-chef rebelle.

A Barakani, les rares personnes qui ont accepté donner leur opinion sur l’affaire, disent n’avoir jamais entendu de coups de feu, ni de mouvements inhabituels, mais ces événements se sont produits dans des heures tardives de la nuit, à la veille du jour de l’Aïd El Fitr.

Tous ces éléments remettent en action la mission des experts militaires et civils qui s’occupent du programme d’insertion des anciens FGA et du ramassage des armes. Cette commission peine à fournir des résultats concrets depuis son institution en 2009.

Il se dit que depuis la mise en place de cette commission, pas plus d’une dizaine armes ont été rendues ou ramassées. Quant à l’insertion, c’est une autre paire de manche. Une thèse démentie par un gendarme qui affirme qu’un lot important d’armes aurait été ramassé « même si nous n’avons pas encore mis la mains sur la totalité de l’armement encore en circulation. A noter qu’il est évident que la plupart de ses armes qui échappent à notre contrôle sont devenues inutilisables faute d’entretien. » « Toutefois un arme de guerre reste toujours un arme de guerre et il ne doit pas être à la portée des civils ou être stoker dans un endroit en dehors des casernes militaires » a-t-il conclu.

A titre de rappel, sur les centaines d’ex-FGA qui servaient Mohamed Bacar, une soixantaine seulement a été intégrée dans l'armée nationale


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