"Ce qui s'est passé dans la suite de l'hôtel ne comporte ni violence, ni contrainte, ni aucun acte délictueux : c'est le procureur qui le dit".
Face à Claire Chazal, DSK a évoqué une "relation inapropriée", mais surtout "une faute morale". "Une faute morale" pour ma femme, mes amis, les Français qui avaient placé en moi une espérance de changement".
Concernant la procédure au civil qui est toujours ouverte aux Etats-Unis, il a indiqué qu'il n'avait "pas l'intention de négocier". "La procédure prendra le temps qu'il faudra", a-t-il tonné.
DSK s'est ensuite confié sur sa détention dans la prison de Rikers Island : "J'ai eu peur, très peur. Et l'impression d'être humilié".
"Avez-vous pensé à un piège tendu au Sofitel de New York ?", a demandé Claire Chazal. "Un piège c'est possible, un complot nous verrons...", a-t-il dit
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