Le personnel de l'aéroport de Bandarsalam en est à son huitième mois sans salaires. Et ce, malgré les millions de francs qui transitent chaque mois dans le service. En effet, 70% des recettes aéroportuaires sont directement transférées à la direction générale à Moroni. Les 30% restants sont censées assurer le fonctionnement et l'entretien de l'aéroport, puis payer le personnel technique et administratif.
“Il faut savoir que, contrairement à ce qui est prévu dans les textes, nous ne recevons aucune aide de l'Etat“, a déclaré à Al-watwan Charaf Abdou Mbaraka, contrôleur aérien. Chef du service de la météorologie, Amina Saïd, ne comprend pas que les autorités nationales et insulaires puissent laisser les agents de l'aéroport dans “un tel état de dénuement“. Pour sa part, Kourachia Ahmed, contrôleur aérien, regrette qu'un service aussi vital que celui de l'aéroport soit “ignoré“ et son personnel “divisé entre Union et Mdjidjengo“. “Il est vraiment temps que la population et les autorités se penchent sur notre cas“, conclut-elle.
Le personnel de l'aéroport de Mohéli déplore enfin que son seul véhicule, qui servait à faire le tour de piste avant l'atterrissage des appareils, lui ait été confisqué et remise au coordinateur de l'Action du gouvernement de l'Union dans l'île.
Riziki
Source (sans la photo) : Al-watwan N° 1852 du mardi 15 novembre 2011
trawalammagi, Posté le mercredi 16 novembre 2011 10:22
Allez continues bantiti trendré et dépuis, les Comores sont en crise.Et où t'as vu des sauvages mohéliens dirriger un pays et les mohéliens étaient au moins à la hauteur pour dirriger Mjimvia ou Mabahoni, on allait croire ce pauvre Ikililou qui n'a pas toujours compris le phénomène de la mondialisation et avec cette chose globalisation , on ne bricole pas sinon, c'est la faillite comme la Grèce et ce bantiti Ntsoungou va sûrement vomir le pouvoir et une crise ne rime jamais avec Modja Ngombonéo et tu as vu les maorés avec leur rachirisme , qu'ils étaient obliogés de tendre ignoblement leur main aux anjouanais pour manger du riz ? Après tout , les sables mouvantes de Mohéli vont sûrement mettre à genoux Bantiti Ntsoungou.
Trawa le bio le beleg anjouanais.