Après le dialogue avec le gouvernorat de Ngazidja, l'intersyndicale de l'enseignement s'est mise à la disposition de la présidence de l'Union, pour trouver une solution à la rentrée scolaire, a-t-on appris samedi.
«Nous tentons de voir avec la présidence si l'on peut aboutir à une solution», a déclaré le syndicaliste Abdou El-Anziz. Ce dernier a dénoncé des «tentatives d'intimidation» et «des pressions» que subiraient des chefs d'établissements. Un responsable de collège dans la localité de Mohoro au sud de l'île aurait même été démis de ses fonctions «illégalement», selon lui.
Jusqu'alors les travaux de la commission de vérification des fichiers du corps enseignant n'ont pas repris. Ce que déplore le leader syndical qui a affirmé que les travaux effectués jusqu'ici ont permis de ramener l'incidence budgétaire de la nouvelle grille des enseignants de 444 millions à 220 millions.
Du côté de Ngazi Ngomé, on multiplie les rencontres avec les responsables régionaux et communaux après avoir tenter vainement de convaincre les professeurs et les élèves à prendre le chemin de l'école.
Le collectif des étudiants et élèves essaie, pour sa part, de sensibiliser l'ensemble des élèves du secteur public à manifester leur colère. Un appel a même été lancé à l'université des Comores, au cours d'un hitma, jeudi dernier, afin d'organiser une journée d'arrêt de cours cette semaine, et manifester ainsi leur solidarité aux camarades du primaire et du secondaire. «Depuis que nos aînés de l'université ont effectué leur rentrée, nous ne les voyons pas, on a l'impression qu'ils nous ont lâchés alors que nous étions ensembles dans le combat. Nous espérons que c'est une question de calendrier et qu'ils vont sacrifier une journée pour nous soutenir, de même que nos frères et s½urs de l'enseignement privé», a dit un membre du collectif des élèves de l'enseignement public.
A.A.Hamdi
Source : albaladcomores
Ali Mtrengweni , Posté le mercredi 23 novembre 2011 01:56
En vous lisant Monsieur Mourchid j'ai un sentiment de dégout et un envie de vomir pour les propos injurieux et les contre vérités que vous et vos amis vous plaisez à propager sur la toile en ce qui concerne la gouvernance Sambi.
je ne sais pas sur quelle planette vous viviez et où vous y êtes encore, mais je suis surpris de l'angelisme que vous collez au tyran Sambi que je connais mieux que vous pour avoir servi dans son Gouvernement et avoir subi ses agressions.
Je n'ai pas l'intention de te suivre dans ton élan de profération d'injures. Je souahiterais sinèrement que vous les anjouanais acceptez de nous laisser tranquille enfin.
Quand vous avez le pouvoir vous acceptez qu'Anjouan c'est les Comores et dès la fin du mandat vous reprenez votre attitude et vous reflexes de séparatisetes et de sectaristges. Sambi a été élu pour un mandat de 4 ans et il a gouverné 5 ans. quel drole de model. Il a gouverné le pays jusqu'à la fin de son mandat tt en restant habité par le reflexe insulaire et son dessin d'enrichissement personnel.
Effectivement qu'il a eu raison de faire main basse sur les élections présidentielles à Anjouan pour installer Iklilou afin d'assurer ses arrières.
Oui, le pays est en panne et en faillite. Je ne sais pas quels rapport de BM, du FMI et de BAD dont vous faites allusions. ceux qui sont à ma dispositions parlent d'eux sur la fragilité de notre économie et le désastre lié à la gestion de nos finances publiques. je vous informe que je travaille au Ministères des finances et de l'économie de l'Union.
Quand pendant 6 ans un pays ne prévoit pas dans son budget annuel un budget d'investissement, quand pendant 2 ans les fonctionnaires dont Sambi se palaisez à lyncher publiquement et pointer du doit comme la source de nos malheurs, sont payés sur des fonds provenant d'aides budgétaires pendant que les recettes budgétaires évaporent sans laisser de traces,; quand l'on constate que pour la première fois la CGH et Comores télécom sont au rouge, elles qui fiançaient les déficites budgétaires de l'Etat. Je ne sais pas d'où vous sortiez vous références économiques et vos chiffres pour osez dire que Sambi nous a laissé un pays en marche.
Pour terminer, je souhaiterais que vous conseillez à Sambi d'accepter qu'il est maintenant un simple citoyen comme vous et moi, qu'il n'est pas le Président de la République, qu'il arrête d'essayer d'intimider le Gouvernement Iklilou par la menace séparatiste? Qu'il arrête enfin d'inspecter les qq projets d'infrastructure en cours d'exécution, il est ridicule en faisant cela. La continuté de l'Etat veut que cette responsabilité échoit aux nouvelles autorités.
La tournante à tourné en faveur de l'île de Mohéli et ce grace aux efforts politiques de l'opposition.
Laissez les mohéliens gouverner SVP.
Ali Mtrengweni