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COMORES : Le visa Balladur, source de soumission des enfants aux travaux dangereux

COMORES : Le visa Balladur, source de soumission des enfants aux travaux dangereux
Le visa Balladur est considéré comme principale cause du travail de l'enfant dans toutes ses formes. De nombreuses interprétations laissent comprendre que bon nombre des enfants exploités dans les grandes villes des Comores sont des orphelins à l'immigration clandestine d'Anjouan Mayotte. 
Le gouverneur d'Anjouan, Anissi Chamsidine a estimé que le visa Balladur est l'une des principales causes du travail des enfants aux Comores. «Le visa Balladur a fait de sa manche Anjouan—Mayotte le plus grand cimetière du monde avec des milliers de morts dont bon nombre des parents des enfants qu'on retrouve dans les rues de Moroni et de Mutsamudu», a-t-il dit lors de la célébration de la journée  internationale de lutte contre le travail des enfants hier à Mutsamudu.
A défaut de statistiques précises, Chrisian Ntsay,  représentant de l'Organisation Internationale du travail (OIT) basée à Antananarivo, a  exprimé en quelques milliers le nombre des enfants comoriens de 5 à 17 ans qui sont économiquement actifs.
COMORES : Le visa Balladur, source de soumission des enfants aux travaux dangereux
Selon lui, nombreux d'entre eux sont exploités en milieu rural. «A Anjouan, 14% des enfants sont exposés aux travaux dangereux en milieu rural » a-t-il souligné. Le maire de Mutsamudu Ali Saïd Chahalane a annoncé, à cette occasion, que la circulation nocturne des enfants non assistés par leurs parents sera interdite à Anjouan à partir du premier juillet.
Le travail des enfants, rappelons-le, est devenu de plus en plus fréquent dans nos villes, Beaucoup d'enfants, sont dans les rues comme des petits vendeurs, dans les ménages comme des domestiques et dans les villes, victimes de l'exploitation sexuelle et politiques.
 
BEN DHOIHIR C.
Source : Albalad Comores n° 538 du vendredi 24 juin 2011
Tags : Mayotte, Comores, Balladur
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#Posté le vendredi 24 juin 2011 10:20

Modifié le vendredi 24 juin 2011 10:38

COMORES / MAYOTTE : Manifestation devant le CRA Percer la « verrue »

COMORES / MAYOTTE : Manifestation devant le CRA Percer la « verrue »
Par Axel Lebruman
 
Une quarantaine de personnes selon la police et une vingtaine selon les organisateurs (oui, c'est dans le bon ordre) se sont réunies devant le Centre de rétention administrative hier à Pamandzi, pour dénoncer son fonctionnement et même son existence. 
« Nous voulons dénoncer la situation des personnes dont la situation administrative devrait être régularisée », annonce Flavienne Lubac, coordinatrice de Médecins du Monde à Mayotte. C'est un ras-le-bol qu'a voulu exprimer la poignée de manifestants, simples citoyens ou militants associatifs. 
Tour à tour les représentants de la RESFIM (Réseau éducation sans frontière île de Mayotte), de la Cimade, de Médecins du Monde sont venus témoigner au mégaphone de situations auxquelles chacun a été confronté. Les conditions de rétention, les manquements de l'accès au droit ont fait l'objet de nombreuses critiques. 
Michel Rhin, président du RESFIM a déploré les retard successifs de la construction d'un nouveau CRA, prévue aujourd'hui à l'horizon 2014 avec une capacité de 140 places. 
D'autres manifestants, sympathisants de No Pasaran, réseau antifasciste et anti capitaliste, réclame la fermeture pure et simple du CRA, qui « n'a pas d'existence légale ici ». 
Entre-temps un voisin est venu à  son tour dénoncer... le rassemblement. «Il faut faire quelque chose à Anjouan, ça sert à rien de défendre les étrangers ici », a-t-il lancé aux militants. Le préfet n'a pas souhaité réagir à la manifestation, estimant que la communication sur le sujet avait déjà été faite. Quant aux associations et citoyens, un rendez-vous régulier devant le CRA pour continuer à s'indigner. 
 
Source : Albalad Mayotte du 23 juin 2011
 
 
COMORES / MAYOTTE : Manifestation devant le CRA Percer la « verrue »Commentaire de l'Equipe wongo
Les organisateurs ont pu voir (sur place) une fillette d'environ huit-ans qui était venue au CRA (avec sa maman en situation régulière) chercher son deuxième père (son père biologique est décédé) qui se trouvait à l'intérieur du CRA (s'il n'est pas déjà expulsé hier par Comores Aviation, il sera dans le bateau Maria Galanta aujourd'hui).
La fille en pleurs, disait qu'elle ne voulait pas encore perdre son deuxième père, qui va risquer sa vie en tentant de revenir à Mayotte par Kwassa. Mais ce qui a ému tous ceux qui étaient là, c'est quand la fille a dit que « les lois sont faites pour détruire ma vie »
Pourtant, les signataires de « l'accord équilibré » de l'ambassade de France à Moroni, avaient pourtant rassuré que les familles ne seront plus séparées, et que la France s'engage à ce que les préoccupations exprimées par la partie comorienne soient prises en considération.
Tags : Mayotte, cra
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#Posté le vendredi 24 juin 2011 03:14

Modifié le vendredi 24 juin 2011 03:38

COMORES / MAYOTTE : Les Kwassas viennent au secours des barges

COMORES / MAYOTTE : Les Kwassas viennent au secours des barges
DANS SA VOLONTÉ de participer à la lutte contre l'immigration clandestine, l'ancienne majorité s'était prononcée en faveur de la gratuité des traversées par la barge des camions de la PAF et de la gendarmerie mobile. Mais suite à la découverte du déficit, et de l'obligation faite par la Chambre territoriale des comptes d'augmenter les recettes du STM, les élus étaient revenus sur leur décision : dorénavant, les services de l'Etat allaient payer comme tout le monde. Au grand dam de la préfecture : lorsqu'un “panier à salade” de la Police aux frontières traverse, le STM comptabilise la totalité des passagers. Autrement dit, l'Etat doit payer un ticket pour l'ensemble des personnes en situation irrégulière transportées dans les camions bleus en direction du Centre de rétention. Plus le ticket du camion lui-même, la facture finale se monterait pour l'année 2010 à environ 250.000 euros ! Et voilà comment, par ricochets, la lutte contre l'immigration clandestine participe à l'apurement des comptes du STM.
 
Source : Upanga n°44 du 15 juin 2011 (rubrique : Indiscrets)
Tags : Mayotte
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#Posté le jeudi 23 juin 2011 15:56

COMORES : A Mayotte, départementalisation à la pelleteuse

COMORES : A Mayotte, départementalisation à la pelleteuse
Les Mahorais expulsés du littoral
 
Département d'outre-mer depuis le 31 mars 2011, Mayotte accélère la mise en conformité de ses pratiques administratives avec celles de la métropole. Cependant, dans le domaine foncier, cette départementalisation heurte des droits coutumiers, et de nombreux habitants sont menacés d'expulsion.
 
Par Rémi Carayol


Nichée au sommet d'une falaise, une somptueuse maison domine la baie de Mamoudzou, le chef-lieu de Mayotte. Sur la barge qui relie Grande Terre à Petite Terre, les deux îles habitées du tout nouveau département français, un homme désigne la villa à son voisin : « Tu as vu cette baraque ? C'est celle de l'une des plus grandes fortunes du coin. »
La propriétaire de la demeure se nomme Ida Nel. Elle est venue d'Afrique du Sud dans les années 1980, lorsque le secteur privé était embryonnaire. La grande distribution, l'automobile et l'immobilier ont fait sa richesse. Aujourd'hui, elle préside la chambre de commerce et d'industrie et possède une bonne partie de la seule zone industrielle de l'île. Sa demeure se situe en bord de mer, dans une zone non constructible mais sur un terrain que la commerçante s'est procuré lorsque l'administration était peu regardante. Depuis quelques années, elle est devenue le symbole de ce que certains décrivent comme « l'autre visage de la colonisation ».
Alors que Mayotte est officiellement devenue le 101e département français le 31 mars 2011, la colère gronde. « Nous, les gens d'ici, on nous chasse de nos terres. Et les étrangers arrivés depuis peu, personne ne vient les embêter. Est-ce normal ? », peste Mme Faouzia Cordjee, présidente de l'association Oudailia Haqui za M'mahore (« Défendre l'intérêt légitime des Mahorais »). L'un de ses militants, M. Abdou Subra, peut en témoigner : sa mère est en sursis. Elle pourrait être expulsée de sa maison et perdre les mille huit cents mètres carrés qu'elle a hérités de son arrière-grand-mère.
En effet, la marche vers la départementalisation s'est accompagnée d'une mise en conformité progressive du droit local avec les normes métropolitaines. Il y a quelques mois, la préfecture a donc fait savoir à la famille qu'elle n'était... plus chez elle. L'autorisation d'occupation temporaire (AOT) qu'elle avait obtenue en 1998 (quand la régularisation foncière a débuté à Mayotte dans la perspective de la départementalisation) n'a pas été renouvelée : (...)
 
(Retrouvez la version intégrale de cet article dans Le Monde diplomatique de juin 2011 actuellement en kiosques.)
 
Source : monde-diplomatique.fr
Tags : Mayotte
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#Posté le mercredi 22 juin 2011 14:32

MAYOTTE / CRA : Les pansements de la verrue

MAYOTTE / CRA : Les pansements de la verrue
La préfecture s'indigne de la qualification de “verrue de la République” attribuée par un syndicat de police au Cra de Mayotte. Pourtant...
 
EN TERMES de communication, la préfecture de Mayotte a tendance à ne pas faire dans la dentelle. Intervenant sur des sujets qui ne la regardent pas (lire Upanga n°34), réinventant l'histoire lorsque cela parait nécessaire (Upanga n°29 et ci- dessous), elle vient de prouver qu'elle n'hésiterait pas non plus à nier les évidences les plus flagrantes si l'occasion lui en était donnée.
Ainsi, lorsqu'un syndicat de police s'est ému, dans les colonnes du Journal de l'île  de la Réunion (JIR), des conditions de rétention du centre de Pamandzi, la préfecture a cru bon d'envoyer à l'ensemble des médias un communiqué pour nier formellement les accusations formulées par l'Unité-SGP-Police.
Thierry Flahaut, le secrétaire départemental du syndicat à la Réunion a pu visiter le site le 19 mai, en compagnie de Nicolas Comte, son secrétaire national. Le constat des deux hommes est le même: stupeur et tremblements. “ Quand ils en parlaient ils n'en revenaient pas”, rapporte Nicolas Goinard, le journaliste qui a relayé l'information dans les colonnes du JIR.
Evidemment, les deux hommes en sont ressortis tellement chamboulés que les mots sont durs à entendre pour l'administration: “Avant, la verrue de la République, c'était Juliette-Dodu (une prison réunionnaise qui n'est plus utilisée depuis 2008 en raison de sa vétusté, ndlr). Maintenant, on peut dire que c'est le centre de rétention administrative (CRA) de Mayotte” a expliqué Flahaut, qui décrit l'endroit comme “une espèce de hangar où la température atteint 40°C. Sans clim.” Et de poursuivre : “Ce n'est pas digne pour les gens qui y sont retenus. (...) Avec ce CRA, on est vraiment très loin de la métropole. On parle de la reconstruction d'un centre. Mais, ce n'est pas envisagé avant quelques années alors même que Mayotte est le champion de France du nombre d'expulsions”. Ces remarques ont-elles poussé la préfecture à battre sa coulpe ? Que nenni! Bien au contraire.
 
Des précédents en matière de communication

Il faut dire qu'en la matière, elle a de qui tenir. En février, lorsque la Cour des Comptes s'était penchée sur le centre, elle avait également pointé certains graves manquements au droit. Elle s'était par exemple indignée du fait que le CRA “accueille des familles et donc des mineurs, bien qu'aucun centre d'Outre-mer n'y soit formellement habilité”. Réponse du ministère de l'Intérieur: Les majeurs en voie d'expulsion “peuvent - à titre humanitaire et dans l'intérêt des enfants - être accompagnés des enfants avec lesquels ils sont arrivés à Mayotte”. Et voilà comment Brice Hortefeux, alors ministre de l'Intérieur, expliquait le trop plein de mineurs du CRA par l'humanisme tout aussi débordant de l'Etat.
Dans le même genre, la Cour des Comptes s'est indignée du manque d'accès aux droits des personnes retenues. “L'office français sur l'immigration et l'intégration (OFII) n'y a aucune représentation et son action en matière de récupération de bagages ou de clôture de comptes pré vue par la réglementation n'y est pas assurée. La Cimade y intervient, dans un cadre non officiel, par des visites de bénévoles aux personnes retenues. Ces insuffisances sont préoccupantes dans un contexte juridique dérogatoire qui, de fait, prive les personnes retenues d'une partie des droits reconnus en métropole et ailleurs outre-mer”.
Les associations travaillant sur place ne par viennent à intervenir que sporadiquement pour faire valoir les droits des personnes en voie d'expulsion. En cause : le nombre de cas sans cesse croissant et la rapidité des expulsions.
“ Quand on apprend qu'une personne va être injustement expulsée, il faut qu'on ait déjà son dossier sous la main. Sinon, le temps de rassembler les pièces, elle est déjà à Anjouan ou sur le bateau” explique un militant. Pas de quoi ébranler l'Etat, qui répond, non sans malice, que tout est fait pour “améliorer le fonctionnement, notamment par une baisse du temps de rétention pour les étrangers en situation irrégulière (moyenne de 17h en 2010 et de 14h pour les cinq premiers mois de 2011)”.
En lisant les propos de l'Unité SGP-Police, la préfecture a visiblement fait des bonds. Comment ça, “la verrue de la République” ? Une multitude de travaux ont pourtant été réalisés ces derniers mois
Dans son communiqué, la préfecture dresse la liste de toutes les rénovations. Et quand on dit toutes, c'est vraiment toutes, du coup de peinture au “changement de sens de trois portes” en passant par “la suppression des marches isolées à l'intérieur du CRA”. D'autres sont plus conséquentes, mais laissent imaginer le pire : la préfecture signale ainsi qu'en 2010, “des extincteurs, des heurtoirs de signalement incendie, une vidéo surveillance et un balisage des issues de secours ont été mis en place.” Avant, il n'y avait donc rien? “Je pense qu'il y avait déjà des extincteurs” tente le préfet. Grâce à cette mise aux normes, le Cra a reçu un avis favorable de la commission de sécurité pour héberger cent quarante personnes. L'investissement n'était pas perdu!
 
Réfection de la clôture extérieure...

Que dire de ce qui avait fait la fierté d'Yves Jégo, alors ministre de l'Outre-mer, lorsqu'il avait visité ce centre après que le journal Libération l'a qualifié d'indigne de la République” sur sa une? Il s'agissait dc la création d'un réfectoire, avec, précise le communiqué, “utilisation d'assiettes et de couverts jetables”. L'investissement en fourchettes en plastique est apparemment suffisamment important pour être mentionné.
L'inventaire à la Prévert dressé par la Préfecture prend même des allures grotesques lorsqu'il est signalé que 2010 a aussi connu une “réfection de la clôture extérieure”. Sûr qu'avec une belle clôture extérieure, le séjour des personnes retenues doit s'en trouver moins pénible. Il paraît même qu'une fois retenues, elles ne veulent plus partir du centre...
“Le CRA présente des difficultés de part sa construction en 1994” reconnait quand même le préfet, qui indique que les appels d'offres pour la construction d'un nouveau centre seront lancés sous peu. Vingt-deux millions d'euros sont disponibles pour créer “un centre de rétention aux normes européennes”. Lorsqu'il sera construit, on pourra parler d'avancées. D'ici là, on préfère utiliser l'expression d'un militant qui se rend régulièrement au CRA, et qui qualifie les travaux de “cache-misère”.
 
NICOLAS BERARD
Source : Upanga n°44 du 15 juin 2011 (Mayotte)
 
Tags : Mayotte
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#Posté le mardi 21 juin 2011 14:54

COMORES : VERS UNE HAUTE TRAHISON AU SOMMET DE L'ETAT

COMORES : VERS UNE HAUTE TRAHISON AU SOMMET DE L’ETAT
COMMUNICATION DU GRITAC
(Groupe de Réflexion pour l'Intégrité Territoriale de l'Archipel des Comores)
 
Lorsque le 19 octobre 2010 le candidat aux présidentielles des Comores Ikililou Dhoinine déclare dans « Al'Watwan : « Ce n'est pas être anti-français, comme certains veulent le faire croire, que d'½uvrer pour le retour légitime de notre île. Si mes compatriotes m'accordent leur confiance, je prendrais dans les semaines qui vont suivre mon investiture des initiatives concrètes à ce sujet. Enfin je souscris entièrement au discours que le président de la République vient de prononcer à New York lors de la dernière session de l'assemblée générale des Nations Unies », nous nous sommes tous surpris à rêver et à penser qu'une fois élu, il va avec un certain panache, marquer la législature du premier Mohélien, président de l'Union des Comores, du sceau du courage, de l'honneur et de la morale, en s'engageant résolument, dans une logique de reconquête de notre souveraineté, de notre intégrité et de notre dignité.
A présent, le doute n'est plus permis, lorsqu'on écoute le discours programme prononcé le 1er juin 2011 à Mwali par le tout nouveau président Ikililou Dhoinine. Loin de prendre exemple sur le président Sambi, en appelant les instances internationales, à faire respecter les résolutions condamnant l'occupation illégale par la France de l'île comorienne de Mayotte, le président Ikililou Dhoinine se contente de susurrer platement : « J'ai déjà proposé, en plus de la nécessaire négociation avec la France, l'ancienne puissance coloniale qui administre l'ile de Mayotte, que le dialogue soit rétabli entre nous et nos frères mahorais. En effet, aucune solution à l'épineuse question de l'ile comorienne de Mayotte, n'est envisageable, sans l'implication de nos frères Mahorais. Les voies et les moyens seront recherchés pour trouver le cadre de ce dialogue, pour que nous puissions retrouver nos liens communs avec nos frères Mahorais ».
Tout cela ressemble à s'y méprendre à une résurgence du funeste et tristement célèbre GTHN (Groupe de Travail de Haut Niveau). Une parmi d'autres créatures maléfiques, à la disposition de la « Françafrique » (le réceptacle des différentes officines vouées au rôle occulte et inavouable des basses besognes du pays « des droits de l'Homme »), pour promouvoir ses man½uvres de déstabilisation et sa politique d'occupation de l'île comorienne de Mayotte, à laquelle le nouveau pouvoir comorien vient de faire allégeance à travers ce discours programme. Quand on pense que ce curieux dialogue auquel le président Ikililou appelle de ses v½ux, a été interrompu sine die, par le président Sambi, pour marquer la réprobation des Comores, face au passage en force de la départementalisation de Mayotte par la France, il est permis de douter de l'idée que se font les nouvelles autorités comoriennes sur la continuité de l'Etat, qu'elles prétendent pourtant vouloir respecter...
 
Lorsqu'il assène « aucune solution à l'épineuse question de l'ile comorienne de Mayotte, n'est envisageable, sans l'implication de nos frères Mahorais », le président Ikilou, nous ressort en filigrane, un principe éculé, vainement ressassé par les tenants de la départementalisation de Mayotte, « du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ». Un principe pourtant erroné, et qui n'en est pas moins détourné abusivement par les autorités françaises, jusqu'à chambouler durablement le destin d'une nation, incarnée par un peuple pacifique, qui n'aspire qu'à vivre paisiblement. Ce peuple qui a en partage les mêmes origines, la même langue, la même religion, la même culture... confirmés par la tradition orale et les textes les plus anciens.
En affirmant dans son discours programme du 1er juin 2011, qu' « aucune solution à l'épineuse question de l'ile comorienne de Mayotte, n'est envisageable, sans l'implication de nos frères Mahorais », le président Ikililou se trompe de combat, dans la mesure où « la solution à l'épineuse question de l'île comorienne de Mayotte » ne peut être envisagée sans la mise en question de l'occupation illégale par la France de l'île comorienne de Mayotte. Et les Maorais au même titre que tous les Comoriens des autres îles devraient être en principe, dans l'esprit du chef de l'Etat, logés à la même enseigne, conformément à l'Article 7 Titre II de la Constitution qui stipule : [...] « Les Comoriens ont les mêmes droits, les mêmes libertés et les mêmes obligations dans n'importe quelle partie de l'Union. Aucune autorité ne pourra adopter des mesures qui directement ou indirectement, entraveraient la liberté de circulation et d'établissement des personnes, ainsi que la libre circulation des biens sur tout le territoire de l'Union ». Il est donc du devoir de « l'arbitre et [...] modérateur du fonctionnement régulier des institutions », consacré par la Constitution, d'user des arguments on ne peut plus persuasifs, à sa disposition (le soutien des instances et de la communauté internationales, judicieusement mobilisées par le gouvernement précédent, les résolutions des instances internationales qui toutes condamnent l'occupation illégale de l'île comorienne de Mayotte, les nombreuses failles de la puissance occupante, dont celle de ne savoir quoi faire des « prétendus clandestins comoriens, pour peu qu'on veuille bien appliquer notre Constitution, en refusant notamment le déplacement de nos compatriotes à l'intérieur d'un même territoire, qualifié de « crime contre l'humanité » par l'article 7 du Statut de Rome de la CPI [Cour Pénal International], etc.), pour faire respecter la souveraineté, l'intégrité et l'unité des Comores qui sont constitutives de la stabilité indispensable à tout développement. Sortir le contentieux franco-comorien sur Mayotte, du huis-clos Comoro-maorais (une des régressions proposée par le président Ikililou), encore pire que celui (franco-comorien) qui a permis à la France de départementaliser l'île comorienne de Mayotte, au grand dam du gouvernement précédent.
 
En affirmant dans son discours programme du 1er juin 2011, qu' « aucune solution à l'épineuse question de l'ile comorienne de Mayotte, n'est envisageable, sans l'implication de nos frères Mahorais », le président Ikililou ne décerne pas seulement un quitus malvenu aux séparatistes maorais, il se met surtout délibérément, à la remorque de la politique française aux Comores, en passant par pertes et profits, l'Article 7-1 Titre II de la Constitution qui dit : « [...] Est nul de plein droit, tout acte ou toute autre mesure de nature à porter atteinte à l'Unité de la République ou à mettre en péril l'intégrité territoriale nationale, prise par une autorité d'une île autonome ou de l'Union ». Certes les Maorais sont nos frères, certes leur implication dans la recherche de solution à l'épineuse question de l'île comorienne de Mayotte est souhaitable. Mais de là à mettre en péril l'unité nationale et l'intégrité territoriale, pour s'attirer l'estime, les faveurs et la bienveillance des autorités françaises, il y a une ligne rouge que la Constitution comorienne interdit de franchir.
 
UNE NOUVELLE DIPLOMATIE AU SERVICE DE LA FRANCAFRIQUE
 
Alors que le président Ikililou, ne manifeste aucun scrupule à faire du contentieux franco-comorien un problème comoro-maorais, en remettant en selle les séparatistes maorais (aurait-il agit de même face aux séparatistes anjouanais du « président Bacar, en leur proposant un dialogue comoro-anjouanais ?), le président Sarkozy, quant à lui, se contente de lâcher le 18 janvier 2010, lors de son bref passage à Mayotte : « Tant que je serai président je ne laisserai à personne le droit de décider qui serait Français et qui ne le serait pas ». Il ne croit pas si bien dire. Car en effet, il ne revient à personne le droit de décider de la nationalité de qui que ce soit. Les Comoriens, qu'ils résident en France, à la Réunion, à Ngazidja, à Mwali, à Ndzuwani ou à Maore, sont nombreux à opter pour la nationalité de cette France humaniste et tolérante, nourrie de l'esprit des lumières. En revanche, personne, fût-il Maorais, encore moins français, n'a le droit de remettre en cause le triptyque « unité, intégrité et souveraineté » des Comores, quoi qu'en pense le président nouvellement élu aux Comores. On aurait tant aimé, retrouver dans le discours programme de ce dernier, les accents patriotiques de la déclaration du candidat Ikililou dans Al-Watwan du 19 octobre 2010 (cf plus haut). Il est vrai qu'entre temps, le président une fois élu, court se faire briefer en février, dans les officines de la « françafrique » à Paris, avec une piqure de rappel, en fin avril, de l'Ambassadeur de France aux Comores, M. Luc Hallade. Celui-là même qui prend un malin plaisir à rouler dans la farine, le gouvernement Sambi, en faisant passer un marché de dupes pour un « accord équilibré ». S'agissant du revirement spectaculaire des autorités comoriennes, à propos de l'accueil à réserver aux refoulés de Mayotte, sans pièce d'identité. Quoi qu'il en soit, l'appartenance pour l'éternité de la « terre comorienne de Mayotte » à son ensemble naturel, ne peut souffrir aucune ambiguïté, dans l'esprit de la résolution de l'ONU N°31/4 du 21/10/1975, qui « condamne énergiquement la présence française à Mayotte, qui constitue une violation de l'unité nationale, de l'intégrité territoriale et de la souveraineté de la république indépendante des Comores ».
 
Et lorsque le président Ikililou prétend : « Cette recherche de l'intégrité territoriale et de l'unité nationale, ne doit pas nous détourner des autres axes prioritaires de notre diplomatie, notamment la mobilisation des ressources pour le développement socio-économique de notre pays », nous nous permettons de lui rétorquer très respectueusement, « qu'aucune cause, aucun marché si mirifique soit-il, ne peuvent suppléer chez n'importe quel patriote (encore plus, si il en a la charge) de n'importe quel pays, à la souveraineté, à l'unité et à l'intégrité, qui ne peuvent, du reste, être ni cessibles, ni négociables ». Certes l'ancienne puissance colonisatrice garde toujours s'agissant des Comores, un pouvoir de nuisance, qui les maintient encore aujourd'hui, dans un état de sous-développement et d'instabilité chronique. Mais d'un autre côté, reconnaissons que la posture victimaire et misérabiliste des nouvelles autorités comoriennes à l'aune de la législature qui s'annonce, ne présage rien de bon : la récurrente politique d'assistanat et de mendicité se profilant déjà à l'horizon, si on en juge par les v½ux pieux et les habituels effets d'annonces en début de mandat, sans aucune consistance réelle, s'agissant de la politique à mener, en adéquation avec la réalité du pays.
 
Nous sommes nombreux à être persuadé, qu'il ne peut être question de paix, de stabilité et encore moins de prospérité aux Comores tant que subsistera le séparatisme maorais, induit et entretenu par l'occupation illégale par la France, de l'île comorienne de Mayotte. Soutenues par les instances et la Communauté internationales, et fort de leur bon droit, les Comores ne devraient ni raser les murs, ni adopter un profil bas, mais clamer haut et fort leur indignation, afin d'espérer rallier à leur cause, les démocrates épris de paix, de justice et de tolérance. Car dans cet imbroglio, c'est bien la France, berceau des droits de l'Homme, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, qui est dans l'illégalité, en violant ses nombreuses résolutions.
Ce climat de pessimisme, de démission, voire même, de compromission affiché par les nouvelles autorités comoriennes, face à la politique française du fait accompli, de chantage et de la loi du plus fort, qui n'a jamais fait mystère de son soutien aux serviles séparatistes maorais, a à n'en pas douter, des relents de capitulation plus près de la connivence et de la collaboration avec l'occupant français, que du patriotisme. Encore moins, d'un quelconque rapprochement avec « nos frères maorais »
 
Après les efforts déployés ces derniers temps par le président Sambi et surtout par le dernier chef de la diplomatie comorienne, Maître Fahmi Said Ibrahim, pour rallumer et entretenir la flemme patriotique éteinte depuis belle lurette, est-il concevable et opportun, pour le président nouvellement élu, d'embrasser si promptement les thèses colonialistes du pays occupant une partie du territoire comorien. Et ce, jusqu'à faire le black-out dans son discours programme, sur tout ce qui pourrait indisposer la France ! Plus question du discours du président Sambi, prononcé lors de la dernière session de l'Assemblée générale des Nations Unies, condamnant l'occupation et la départementalisation de Mayotte par la France. Pas un mot sur le « visa Balladur » responsable depuis son instauration par la puissance occupante, de plus de 7000 morts comoriens « coupables », de vouloir fouler le sol de leur patrie. Pas un mot sur le calvaire vécu quotidiennement à Mayotte, par les Comoriens des autres îles, pourchassés, assassinés, emprisonnés et expulsés manu militari vers les autres îles sans aucune forme de procès. Pas un mot sur les résolutions des instances internationales condamnant l'occupation par la France de l'île comorienne de Mayotte. Pas un mot sur la départementalisation de Mayotte par la France qui oblige pourtant, l'ancien président Sambi à mettre fin aux rencontres stériles du GTHN (Groupe de Travail de Haut Niveau). Pas un mot sur le rejet par l'ancien président Sambi, du huis clos franco-comorien qui a tout d'un marché de dupes, pour recourir désormais à un arbitrage international. Arbitrage international, à jamais honni par le gouvernement français, imité hélas, depuis peu, par le président Ikililou, qui, dans son discours programme, s'abaisse, jusqu'à solliciter auprès de la puissance occupante, au-delà du huis clos scandaleux franco-comorien, un dialogue humiliant entre un état souverain et des séparatistes du même pays, sous l'égide de l'occupant français.
 
Après ça, nous craignons fort, qu'incessamment sous peu, il ne soit plus question, venant des nouvelles autorités comoriennes, que de l'abandon de la revendication de Mayotte, pour un développement séparé jusqu'à nouvel ordre et que de mesures sécuritaires conjointes franco-comoriennes susceptibles de corser davantage, l'application du « Visa Balladur mortifère », qui fait entrave à la libre circulation entre Mayotte et ses trois autres îles s½urs. Au niveau de la sémantique et au train où vont les choses, nous craignons que les nouvelles autorités comoriennes, en viennent à expurger dans leurs discours, Mayotte de l'Union des Comores et à faire en sorte, que des expressions telles que « expulsions de Mayotte des clandestins comoriens », « frontière entre Mayotte et les Comores » etc. aient désormais droit de cité aux Comores... Autant d'actes illicites et humiliants, qui contreviennent gravement d'une part, aux résolutions des instances internationales et à plusieurs dispositions de la Constitution comoriennes et d'autre part, au caractère insécable et inaliénable de l'Union des Comores, composée de Ngazidja (Grande Comore), Mwali (Mohéli), Ndzuwani (Anjouan) et Maore (Mayotte).
 
Il n'a pourtant échappé à personne, que lors de son investiture, le 26 mai 2011, le président Ikililou jure devant le saint coran de défendre, non la Constitution française, mais la Constitution comorienne, qui fait de lui dans son article 12-1 du pouvoir exécutif, du Titre III : Des institutions de l'Union , : « le garant de l'intangibilité des frontières, telles qu'internationalement reconnues, ainsi que la souveraineté de l'Union ». Le non-respect d'un seul article de cette constitution, dont il en est l'émanation, pourrait ici-bas, le déférer devant une haute cour de justice, pour haute trahison, en attendant le jugement de Dieu...
 
On ne peut être d'accord avec le président Ikililou lorsqu'il fulmine : « Les générations futures ne nous pardonneront pas, si après plus de 36 ans d'indépendance, au cours desquels le fossé s'est élargi entre nous et nos frères Mahorais, nous ne parvenons pas à dépasser nos divergences pour le combler et assurer un commun harmonieux à nos enfants ». Nul doute, que les générations futures nous en voudraient, si nous ne faisons rien, alors que nous avons tous les moyens juridiques et politiques et diplomatiques, pour arrêter l'hécatombe provoquée par le « Visa Balladur mortifère», qui a endeuillé plus de 7000 familles comoriennes. Susciter une hypothétique divergence entre nous et nos frères Mahorais, c'est faire le jeu des autorités françaises, en feignant consciemment ou non, de voir le lourd tribut payé par les Comoriens des quatre îles, du fait de l'occupation illégale par la France, de l'île comorienne de Mayotte.
Les nouvelles autorités comoriennes se grandiraient en assurant la continuité de l'Etat, en examinant le contentieux franco-comorien, non dans un huis-clos stérile, franco-comorien et encore moins, comoro-maorais, mais lors d'une conférence d'état à état, sous arbitrage international. Et ce, avec une prise en compte de plus de trois décennies de cavalier seul de Mayotte aux côtés de l'ancienne puissance administrant. Cette dernière s'honorerait d'ailleurs, en travaillant en direction de rapports harmonieux dans le sens d'une vraie entente et d'une réelle réconciliation franche et sans ambiguïté entre Comoriens des quatre îles et non dans une logique d'exclusion, d'ostracisme, de confrontation et de haine.
 
Concluons notre propos par une parabole à plusieurs tiroirs « Lorsque le sage [la Communauté internationale, les instances internationales, les organisations des droits de l'Homme...] montre la lune [la France, puissance occupante de l'île comorienne de Mayotte], l'idiot [les gouvernements successifs comoriens crédules, à quelques exceptions près...], regarde le doigt [nos frères maorais] ».
 
Envoyé par soilihali
Publié par : http://wongo.skyrock.com/
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#Posté le lundi 20 juin 2011 22:30

Modifié le mardi 21 juin 2011 22:23

COMORES / MAYOTTE : Aide au séjour à Labattoir


COMORES / MAYOTTE : Aide au séjour à Labattoir

Une jeune femme a été interpellée mercredi, suite à un contrôle d'identité en Petite-Terre. En situation irrégulière, la femme a indiqué aux gendarmes être logée dans un banga fourni gracieusement par un Français, avec eau et électricité offertes. Une enquête est en cours pour retrouver le propriétaire de l'habitation, qui risque une poursuite pour aide au séjour irrégulier.
 
Source : Flash Info n°2797 du vendredi 17 juin 2011
Tags : Mayotte
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#Posté le dimanche 19 juin 2011 14:52

Modifié le dimanche 19 juin 2011 15:25

MAYOTTE / PREFECTURE : La pièce manquante à son dossier, c'est son mari Mzungu





MAYOTTE / PREFECTURE : La pièce manquante à son dossier, c’est son mari Mzungu
C'est vous qui le dites
 
«Je vous écris pour vous faire part d'un événement que j'ai vécu aujourd'hui-même et qui m'a profondément choqué. Ma femme, de nationalité comorienne, avait une convocation à la préfecture afin de renouveler son titre de séjour. Après quelques heures d'attente, ce qui est habituelle, elle se retrouve face à une fonctionnaire d'une amabilité exemplaire (no comment) qui lui explique qu'il manque une pièce à son dossier et qu'elle doit refuser sa demande. La pièce, comme l'a si bien défini cette charmante fonctionnaire mahoraise, était moi-même (quel belle manière de définir un être humain). Là, mon épouse m'appelle et me dis que je dois être présent. J'arrive donc sur les lieux promptement pour lui prouver que j'existe, et là elle continue de dire qu'elle ne prendra pas le dossier, qu'il faut repasser la semaine prochaine. Je lui demande des explications, je n'ai pas reçu de convocation et mon nom ne figurait pas sur la liste des pièces à fournir. Aucune explication, si ce n'est un refus net de recevoir le dossier. J'insistais pourtant pour qu'elle le reçoive, et excédé par mes supplications, elle finit par lâcher un majestueux « Vous êtes mzungu, vous auriez dût vous marier avec une française, vous nous emmerdez à ramener ces... ». Alors quand j'entends que l'on s'indigne des propos du vice-recteur, c'est l'hôpital qui se moque de la charité... 
Habitants de Mayotte vous avez choisit d'être français, donc maintenant essayez de respecter les lois de la république française et n'oubliez pas vos origines... A bon entendeur...» 
Ludovic T. 
 
Source : Les Nouvelles de Mayotte N° 1542 du vendredi 17 juin 2011
(le titre est de l'équipe wongo)
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#Posté le dimanche 19 juin 2011 13:05

COMORES / FRANCE: Merci qui ?

COMORES / FRANCE: Merci qui ?
Nous vous proposons ci-dessous un article du journal gouvernemental Al-watwan, concernant une aide française de 200 millions de fc (soit plus d'un milliard d'ariary), destinée sûrement à acheter le silence de l'Etat comorien face au génocide mahorais et à prolonger « l'accord équilibré » qui devait prendre fin, fin mai (après l'investiture d'IKILILOU). Pendant ce temps-là avec plus de 26000 expulsions par an le propriétaire du Maria Galanta (une seule personne) empoche environ 10 fois plus, avec 26000 × 150 = 3900000 ¤.
Voilà comment le pays ami corrompt le père de l'anticorruption. L'article : 

«  Aide française de 200 millions de fc
Les Comores et la France vont procéder ce vendredi 17 juin à la signature d'une convention d'aide budgétaire d'un montant de 400.000 euros, soit environ 200 millions de francs comoriens. Selon un communiqué de l'ambassade de France, cette aide budgétaire, qui sera versée directement sur un compte spécial ouvert au Trésor par le ministère des Finances, permettra de financer sur une période de deux ans un plan d'action en expertise juridique. ''La mission de cette expertise, intervenant au niveau de la Présidence et du Secrétariat Général du Gouvernement, est d'appuyer l'initiation et la conduite d'un processus de réformes institutionnelles. Leur mise en ½uvre pourra, par la suite, être accompagnée par différents soutiens sectoriels'' dit-on dans ce communiqué. La même aide budgétaire permettra notamment de ''prendre en charge un conseil juridique pour le pilotage des réformes institutionnelles sous la forme de douze mois d'expertise sur une période de deux ans. Elle inclura également des moyens pour initier des études et des propositions d'actions, délivrées sous forme d'expertise internationale et/ou nationale''. »
 
Source : Al-watwan N° 1772 du vendredi 17 juin 2011
(Le titre est de wongo)

 
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#Posté le vendredi 17 juin 2011 16:08

Modifié le vendredi 17 juin 2011 16:23

COMORES / MAYOTTE : La stratégie mensongère d'IKI

COMORES / MAYOTTE : La stratégie mensongère d'IKI

Dr IKILILOU Dhoinine / En pleine campagne électorale : « ...  Ce n'est pas être anti-français, comme certains veulent le faire croire, que d'½uvrer pour le retour légitime de notre île. Si mes compatriotes m'accordent leur confiance, je prendrais dans les semaines qui vont suivre mon investiture des initiatives concrètes à ce sujet. Enfin je souscris entièrement   au discours que le président de la République (président Sambi : Ndlr) vient de prononcer à New York lors de la dernière session de l'assemblée générale des Nations Unies. » Pouvait-on lire dans le journal Al-watwan N° 1641 du mardi 19 octobre 2010 (page n°4)
Une position qui avait donné de l'espoir aux anjouanais maltraités et humiliés à Mayotte (une partie de leur territoire) par la police française. Ces anjouanais n'hésitaient pas à appeler leurs familles restées à Anjouan pour soutenir IKILILOU, candidat de la continuité sur la question de l'ile comorienne de Mayotte (le relais qui rassure).
Le 26 décembre 2010, ce sont les anjouanais qui ont donné le plus de voix à IKILILOU et en  guise de remerciement, le 1er avril 2011, les vice-présidents d'IKILILOU Nourdine Bourhane et Fouad Mohadji (en instance d'investiture) signent un accord équilibré provisoire (jusqu'à fin mai (i.e) après l'investiture) donnant autorisation à la France de reprendre les expulsions illégales des anjouanais de Mayotte.
Après son investiture, dans son discours programme le président IKILILOU mange sa promesse et déclare « qu'aucune solution à l'épineuse question de l'ile comorienne de Mayotte, n'est envisageable, sans l'implication de nos frères Mahorais ». Quelle est la place des mahorais dans l'ère Iki? Zéro ministre mahorais dans le gouvernement IKILILOU.
Baraka Inzouddine
http://wongo.skyrock.com/
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#Posté le jeudi 16 juin 2011 21:54

Modifié le mardi 11 décembre 2012 22:57

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