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Mayotte : "Ça dérape, les gens ont faim"

Mayotte : "Ça dérape, les gens ont faim"
Lors d'une manifestation contre la vie chère à Mayotte © AFP
 
Par Amélie Gautier
 
TEMOIGNAGES - Depuis plus de trois semaines, l'île, devenue le 101e département français en avril dernier, est agitée par de graves troubles sociaux suite au mouvement contre la vie chère. Des habitants racontent.
Depuis le début du mouvement fin septembre, le statu-quo perdure. Les négociations patinent, les esprits s'échauffent et la situation est ultra-tendue. Et de prendre une tournure dramatique cette semaine avec la mort d'un manifestant mercredi apparemment d'un malaise cardiaque, après une échauffourée entre protestataires et policiers dans le centre de Mamoudzou, le chef-lieu.
 
7 euros le camembert
 
"Ça dérape car les gens ont faim", explique Mohamadi, professeur-stagiaire de 31 ans. "Ça fait trois semaines que les magasins sont fermés", complète Emmanuelle, une infirmière de 30 ans, qui habite Mayotte depuis 13 mois. Parfois, les 'douka', les petits épiciers ouvrent une heure avant de devoir baisser le rideau sous ordre des syndicats qui veulent maintenir la pression. "Cette semaine, poursuit la jeune femme, un supermarché a rouvert. C'était la cohue. A la sortie, des groupes ont pillé certains clients qui sortaient du magasin le sac plein". "Ça devient vraiment difficile, s'alarme Pierre, qui vit, lui dans un village à 50 km au sud de Mamoudzou. On vit sur nos réserves mais là on vient de s'attaquer à notre dernière boîte de lait en poudre pour nos enfants de deux et quatre ans..." Une autre évoque aussi les médicaments qui viennent à manquer.
 
Tous les témoignages recueillis par TF1 News soulignent leur solidarité au mouvement car la vie, disent-ils est "extrêmement chère" à Mayotte. Le prix du paquet de pâtes ? 3 euros. Celui du pot de Nutella ? 6 euros. Le camembert ? 7 euros. Nombreux sont ceux également à exprimer leur vive inquiétude autour de la dégradation de la situation sur l'île. Cette angoisse provient essentiellement des métropolitains. "Mayotte est en état de guerre civile", juge Emmanuelle. "Des bandes de jeunes âgés de 6 à 25 ans et qui n'ont rien à voir avec le mouvement installent des barrages et nous demandent de l'argent pour passer, caillassent la police, brûlent les voitures, relate Monique. Du coup, on sort uniquement pour se rendre au travail".
 
Certains évoquent aussi une haine du blanc, le "M'zungu, qui ressurgit. "Certains manifestants disent que les blancs qui resteraient à Mayotte allaient le payer, s'alarme Emmanuelle. Quand on entend ça, on a peur." "On entend à la radio certains dire qu'ils vont aller prendre l'argent où il se trouve c'est-à-dire chez les blancs", relate Pierre. Mais pour lui, ces menaces proviennent d'une minorité qui tombe dans la facilité à cause de la colère. Tous déplorent enfin le peu d'attention accordée par la métropole. "Le mouvement a commencé depuis plus de trois semaines, déplore avec amertume
 
Source : lci.tf1.fr
Tags : comores
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#Posté le vendredi 21 octobre 2011 13:01

Coopération / L'Italie annule la dette des Comores

Coopération / L’Italie annule la dette des Comores
Le nouvel ambassadeur d'Italie aux Comores, Pierluigi Velardi, a signé, hier, avec le vice-président comorien en charge des Finances, Mohamed Ali soilihi, un accord portant sur l'apurement de la dette de l'Union des Comores auprès de l'Italie de 837.342 milles euro.

Il s'agit, suivant le document paraphé hier, de l'effacement de 100% de la dette des Comores relatif aux contrats conclus avant le 20 juin 1999 et contractée auprès de «SACE Spa-Services d'assurance du commerce extérieur  italien». Il est, aussi, indiqué que 100% des intérêts de retard sur le remboursement, qui étaient calculés au taux de 3,812% par an, seront également annulés.
Le document souligne, en revanche, que la dette contractée à partir des accords financiers conclus après le 20 juin 1999 n'est pas concernée par cet accord.
En contrepartie, selon le document, le gouvernement comorien se serait engagé notamment  à poursuivre ses efforts pour le respect des droits humains et l'élaboration d'une stratégie nationale de réduction de la pauvreté.
Mohamed Ali Soilihi s'est félicité de cet accord intervenu au moment où le pays cherche à atteindre le point décision du programme en cours avec le Fonds monétaire international(FMI). «Ce geste est l'expression l'amitié et des bonnes relations qui existe entre l'Union des Comores et l'Italie», avoue l'argentier de l'Etat.
«Ce geste entre dans le cadre de la nouvelle politique de mon pays en Afrique pour soutenir les pays amis», a soutenu pour sa part le diplomate italien.
 
M.MOINDJIE
Source : albaladcomores
 
Coopération / L’Italie annule la dette des ComoresContrepartie
 
1°) Avec l'Italie
Le gouvernement comorien se serait engagé notamment  à poursuivre ses efforts pour le respect des droits humains
 
2°) Avec la France
Le gouvernement comorien se serait engagé à maintenir le silence sur le viol des droits humains à Mayotte.
(Pour rappel, la France a décidé d'annuler le total des échéances dus sur la période du 1er juillet 2010 au 30 juin 2012» soit un montant estimé à 861.213 euros)
 
 


Tags : comores
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#Posté le vendredi 21 octobre 2011 09:32

Modifié le vendredi 21 octobre 2011 09:54

COMORES / Magouille électorale : L'aveu du vice-président Fouad Mohadji

COMORES  / Magouille électorale : L’aveu du vice-président Fouad Mohadji
Selon le journal Al-watwan N° 1840 du vendredi 21 octobre 2011 (page 4), interrogé sur la hausse du prix de pétrole, le vice-président en charge du ministère de la Production, de l'Environnement, de l'Energie, de l'Industrie et de l'Artisanat, Fouad Mohadj déclare : “Il faut savoir que les quatre dernières cargaisons de pétrole importées par Comor Hydrocarbures ont été vendues à perte. La population ne l'a pas su car nous ne lui en avions pas informé. Et nous ne pouvions pas suivre le cours mondial et revoir les prix à la hausse car nous étions en période pré-électorale”.
Comment avec un tel aveu peut-on croire ces nouvelles autorités, lorsqu'elles prônent la lutte contre la corruption ?
Il reste maintenant  à destituer le président Ikililou et ses vice-présidents et organiser d'autres élections.
 
Toza – Moroni
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#Posté le vendredi 21 octobre 2011 05:05

COMORES / Accueil chaleureux de SAMBI à ANJOUAN, ce mercredi 19 octobre 2011

Après plusieurs semaines à l'étranger, l'ex-président des Comores Son Excellence Ahmed Abdallah Mohamed Sambi a été accueilli ce mercredi 19 octobre par une foule nombreuse dans son île natale. " Mtru de wawé. Afao na fé" (mot à mot : la personne c'est vous. Celui qui meurt, qu'il meure!) a déclaré une vielle dame à l'entrée de la salle JAF de Mutsamudu en direction de SAMBI. Une déclaration qui démontre la sympathie que lui témoigne la population anjouanaise. 
 
COMORES / Accueil chaleureux de SAMBI à ANJOUAN, ce mercredi 19 octobre 2011

 
COMORES / Accueil chaleureux de SAMBI à ANJOUAN, ce mercredi 19 octobre 2011
 
COMORES / Accueil chaleureux de SAMBI à ANJOUAN, ce mercredi 19 octobre 2011

COMORES / Accueil chaleureux de SAMBI à ANJOUAN, ce mercredi 19 octobre 2011

 
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#Posté le mercredi 19 octobre 2011 10:42

Modifié le mercredi 19 octobre 2011 11:47

COMORES / Mayotte : mort d'un manifestant


COMORES / Mayotte : mort d'un manifestantUn manifestant est décédé ce matin, lors d'un affrontement avec les forces de l'ordre, dans le centre de Mamoudzou, chef-lieu de Mayotte. Selon le préfet, la mort serait liée à un malaise cardiaque.

On ne sait pas pour l'heure s'il s'agit du même manifestant grièvement blessé ce matin par un tir de grenade lacrymogène.

Deux cents manifestants avaient érigé un barrage place de la République et se sont opposés aux forces de l'ordre, alors que cette île françaie de l'Océan indien est en proie depuis plus de trois semaines à une grave crise sociale.
 
SOURCE : lefigaro.fr
 
 

Tags : comores, mayotte
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#Posté le mercredi 19 octobre 2011 06:39

COMORES : « Ce n'est pas une surprise M. le Gouverneur! »

COMORES : « Ce n'est pas une surprise M. le Gouverneur! »
Suite à l'interview ( Lire ici ) du gouverneur d'Anjouan. Anissi Chamsidine, publiée dans ces colonnes, nous publions la réaction que nous a fait parvenir, Saïd Mze Dafine, ancien ministre de Ngazidja. 

Nous l'avons beau dire et  vous avez fait semblant de ne pas y croire; ou plutôt l'envie  de noyer le poisson était si grande  que vous  avez noyé la pirogue avec. "La mesure avec laquelle tu pèses pour celui que tu hais, tu pèseras  forcément pour celui que tu aimes" Proverbe comorien. 
Les conflits de compétences entre l'Union et les iles ne sont pas des crises d'humeur de personnes, ce sont le fruit de mauvaises interprétations et de l'inapplication des lois qui régissent les institutions nationales, tant qu'un effort d 'approche cohérent n'est pas fait d'un côté mais surtout dans l'autre, la gestion des exécutifs des îles et  de l'Union génèreront ce malentendu en permanence. Certes, il faut une importante prise de hauteur de la part des autorités de l'Union pour accepter de laisser évoluer les îles autonomes dans ce qui rentre dans  leurs champs de compétences, mais cela ne viendra pas tout seul et de sitôt. Dans les  pratiques actuelles, le président de l'Union continuera à prendre la place du Préfet de région dans  les différentes actions et cérémonies publiques, puisque l'Etat n'arrive toujours pas à redéfinir et à se focaliser sur ses propres missions assignées par  la constitution et les lois y afférentes. 
J'avoue que je suis tout de même très inquiet du nombre et de l'intensité des conflits à gérer quand toutes les Communes seront implantées dans le pays, La confusion sera de taille entre le Président, le Gouverneur, le Préfet et le Maire, de telle sorte que le conseil des notables sera obligé d'intervenir pour départager ces divers exécutifs, si une  esquisse n'est pas faite et expérimentée au préalable. 
Je ne vais pas être grognon et dire aux Gouverneurs Anissi  Chamsidine et Mwigni Baraka, qu'ils ont beaucoup aidé à bien vider la coquille pour mieux s'y installer. C'est  au peuple qu'ils ont fait miroiter cette contre-vérité de les juger maintenant. A chaque fois  qu'une décision de L'Etat sera prise sans fondement juridique et institutionnel, mais juste pour pénaliser une personne ou une équipe, le retour de bâton sera toujours  rude pour les acteurs de ladite décision. C'est le cas de la révision constitutionnelle de mai 2009. Il est quand même dommage que la complicité écriée de part et d'autre n'arrive toujours pas à pacifier les camps dans  les actes. Les Gouverneurs continueront à s'étonner désagréablement de ce qui reste dans les îles, telle la personne qui a scié la branche  sur laquelle elle s'est assise. Ils auront toujours besoin de plus d'autonomie, de plus de budget, de plus de moyen, de plus d'autorité, de plus de coopération,  de plus de considération, de plus de sécurité, d'une grosse sirène même". Mais ce n'est quand même pas une surprise; vous avez enlevé tout cela à Moussa Toybou et à Mohamed Abdouloihabi.  
Comment voulez-vous les avoir maintenant messieurs les Gouverneurs ? 
 
Saïd DAFINE Ancien Ministre sous Abdouloihabi.
Source (sans la photo) : Albaladcomores n°614 du mercredi 19 octobre 2011
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#Posté le mercredi 19 octobre 2011 05:08

Modifié le mercredi 19 octobre 2011 06:14

La France annule une partie de la dette des Comores

La France annule une partie de la dette des Comores
Le club de Paris a réduit « de près de 80% le service de la dette de l'Union des Comores» et se prépare à faire autant que possible pour accompagner le pays à atteindre le point de décision du programme en cours avec le Fonds monétaire international (FMI).
Le vice président en charge des Finances Mohamed Ali Soilihi et   l'ambassadeur de France à Moroni Philipe Lacoste  ont formalisé hier  cette décision au cours d'une cérémonie de  signature en présence du directeur général de l'AFD-Comores.
«Les créanciers ont accepté une réduction supplémentaire automatique de 50% du service de la dette à compter de la date à laquelle le pays franchira le point de décision de l'Initiative pays pauvres très endetté (IPPTE)», indique un document remis à la presse à cette occasion.
«Une partie de la dette est annulée, une autre partie a été rééchelonnée, nous sommes heureux de cette implication permanente de la France», s'est réjoui M. Ali Soilihi. « Il s'agit d'une étape, nous comptons poursuivre notre accompagnement au profit de l'Union des Comores», a dit pour sa part, l'ambassadeur Lacoste.
«A titre exceptionnel, compte tenu de la faible capacité de paiement de l'union des Comores contrainte de plus par un contexte économique global difficile, les créanciers ont accepté de différer des créances privilégiées (...) de sorte que le total des paiements dû par l'Union des Comores entre le 1er juillet 2009 et le 30 juin 2012 soit réduit de 80%», précise encore le  document.
La France, première créancière du Club de Paris, a décidé d'annuler notamment «le total des échéances dus sur la période du 1er juillet 2010 au 30 juin 2012» soit un montant estimé à 861.213 euros, d'après toujours le document.
Une partie de cette dette a été contractée auprès de l'Agence française de développement (AFD) et a permis d'appuyer le secteur de l'eau et de l'électricité de 1997 à 2004. L'autre partie apportée par la Coface a permis de garantir certains contrats de nombreux projets datant des années 1980 dont celui portant création de la société comorienne de viande (SOCOVIA).
Le Club de Paris regroupe des créanciers occidentaux qui peuvent, dans bien des cas, réorganiser la dette en cas d'incapacités de paiement des pays débiteurs. Le Club peut aussi décider  de rééchelonner voir annuler ladite dette.
 
A.S.Kemba
 
source : albaladcomores

_____________________________________________________
 
Commentaire Wongo :
 
Le vice président en charge des Finances Mohamed Ali Soilihi est bien placé pour savoir que ce n'est pas ce cadeau empoisonné qui sortira les Comores dans cette misère entretenue qui "oblige" les autorités comoriennes à garder un silence des cimetières sur les crimes et les violences dont sont victimes nos frères de Mayotte comme en ce moment. Pour cela nous vous (re)proposons un extrait de l'article du journal Albalad du 10 mai 2011. Lisez plutôt : 
 
Mohamed Ali Soilihi plaide pour un climat apaisé entre les îles de l'archipel

Aussi longtemps que le visa Balladur nourrira les tensions entre les îles de l'archipel, elles ne pourront pas avoir la sérénité nécessaire pour s'atteler au développement. Tel est le point de vue défendu par le vice-président élu, Mohamed Ali Soilih dans sa première grande interview politique depuis l'élection présidentielle. « Je pense qu'il y a eu beaucoup d'erreur dans l'histoire du côté de la France. Peut-être même du côté comorien, mais, tant que nous ne trouverons pas de solution, il n'y aura pas la stabilité et la sérénité indispensables pour le développement des Comores et aussi un climat de bon voisinage entre les îles de l'archipel de Comores », a-t-il dit en répondant aux questions de Radio France Internationale(Rfi) dimanche.
« Nous n'avons pas perdu espoir qu'un jour un les Comoriens puissent se retrouver ensemble et bâtir une nation ensemble », a-t-il poursuivi. 
 

Tags : comores, mayotte
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#Posté le mardi 18 octobre 2011 19:31

Modifié le mardi 18 octobre 2011 20:06

COMORES : La nouvelle vie du girofle à Anjouan

Après tant d'années de mévente, le girofle se vend bien cette année. La récolte a permis à plusieurs citoyens anjouanais de renouer avec une  activité économique après plusieurs années de désespoir. Mais c'est aussi l'une des principales causes de conflits familiaux et régionaux actuellement dans l'île.

COMORES : La nouvelle vie du girofle à Anjouan
Chabhane Combo s'est lancé dans la récolte du girofle et il doit confier ses activités commerciales à ses proches pour profiter de cette nouvelle «aubaine.» Le produit se vend plutôt bien cette année. Ce qui rappelle les temps heureux d'avant les années 80.
Comme beaucoup d'autres concitoyens de la ville de Sima, Combo considère la reprise de l'activité du girofle comme un don du ciel qu'il il ne veut surtout pas rater en vue de pouvoir lancer un projet qui lui tient à c½ur.
«Je remercie le bon Dieu. J'ai un projet familial qui date de longtemps mais il me manquait les moyens pour le réaliser. Aujourd'hui je vais pouvoir me lancer dans de nouvelles activités» s'est-il réjouit, souhaitant une stabilité de ce prix à plus quatre mille francs comoriens.
 
Réduction du chômage

La récolte saisonnière requiert plus de bras que d'habitude.
Il va demander l'intervention de personnes issues d'autres régions. La ville située sur  l'aile ouest de l'île ne dispose pas d'assez de main-d'½uvre pour effectuer le travail. «Je suis venu pour travailler afin de pouvoir me payer quelques vêtements neufs mais aussi ma fourniture scolaire. Le travail n'est pas trop contraignant. On part aux champs à l'aube pour revenir à treize heures», a expliqué un jeune de la région dite la «Cuvette ». Il se dit heureux de recevoir un tiers de sa récolte journalière.
 
Un travail qui nécessite une forte mobilisation

COMORES : La nouvelle vie du girofle à Anjouan
Dans l'après-midi, à l'arrivée des travailleurs, hommes et femmes, enfants et adultes, se mobilisent pour la tâche  la plus dure. Détacher les clous  de leurs branches. «Je le fais tous les jours avec ma femme et mes enfants», a dit Loukmane el-Hikma dit Papa.
Le lendemain, tôt le matin avant que les enfants ne partent à l'école, les familles se mettent déjà au travail pour le séchage. Des bâches sont étalées un peu partout, sur le béton ou au bord de la route où l'on y verse les clous pour le séchage. «Nous passons le temps ici pour veiller. Les animaux et les enfants peuvent nous contraindre à reprendre tout le travail» a-t-il expliqué.
 
La naissance des conflits

En ville comme dans les champs, les conflits se multiplient. Un enfant a été  gravement brûlé par son frère le mois dernier pour avoir volé trois kilos de girofle. Sur les trottoirs, l'on prête grande attention pour ne pas causer des dommages à autrui.
Dans les champs, le nombre de vols s'est accru. D'après Chabhane, beaucoup de familles peuvent y passer des nuits à chasser les voleurs. La population aurait espéré que les autorités prennent des dispositions pour sécuriser les gens.
 
Une activité qui rapporte à l'économie de l'île

COMORES : La nouvelle vie du girofle à Anjouan
A la direction des finances de Mutsamudu, l'on explique que la reprise de l'activité du girofle a un impact considérable sur l'économie de l'île. A en croire le directeur régional des finances, Faïssoil Mohamed, plus de sept milliards de sont entrés dans les caisses de l'Etat depuis l'instauration de la taxe de deux cent francs à chaque kilogramme de girofle.
Rappelons que cette taxe a été restaurée par le commissaire aux Finances en juillet dernier, ce qui avait contraint les producteurs à interrompre l'activité. Elle avait été annulée par le conseil de l'île mais les producteurs disent ne rien comprendre de sa reprise.
 
BEND HOIHIR CHABANE
 
Source : albaladcomores
Tags : comores
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#Posté le mardi 18 octobre 2011 07:24

Modifié le mardi 18 octobre 2011 07:42

COMORES : DECLARATION SUR LES LUTTES CONTRE LA VIE CHERE A MAYOTTE

COMORES : DECLARATION SUR LES LUTTES CONTRE LA VIE CHERE A MAYOTTE
Cela fait plus de quinze jours que les maorais s'insurgent contre les dures conditions d'existence qu'ils connaissent. Les manifestations sont devenues une « grève quasi générale qui rassemblent régulièrement plusieurs milliers de personnes » (Philippe Leymarie dans son article du 06/10/2010 « la révolution des mabawas »). Les affrontements entre les manifestants se multiplient et la brutalité des policiers éclate au grand jour. L'Etat français a lancé des blindés contre des manifestants pacifiques, usent et abusent de leurs flash-balls, ces armes supposées inoffensives qui tirées à bout portant n'en restent pas moins extrêmement dangereuses : un enfant de neuf ans a ainsi perdu un ½il obligeant l'Etat français à mettre un gendarme en examen. La situation s'est sensiblement aggravée, des élus maorais, contraints de se solidariser avec le mouvement de protestation se sont faits molestés. La grève a pris un tour politique avec la revendication du départ du Préfet français officiant à Mayotte et l'émergence de slogans anticolonialistes.
 
Le Comité Maore 

• Se solidarise pleinement avec les maorais en lutte pour l'amélioration de leurs conditions d'existence. 

• Observe que très peu de français de France prennent part au mouvement de protestation, ce qui traduit une réalité économique et sociale typiquement coloniale. Et il faut souligner que la séparation Mzungu – Baco crée une société bipolarisée rappelant à maints égards l'apartheid.

• Estime que la lutte contre la vie chère est au fond une vive protestation contre un droit commun français inapplicable à Mayotte. La France et ses affidés maorais ont vendu des illusions à des maorais qui ne percevaient pas bien dans quelle galère, ils allaient s'embarquer. Car, pour prendre un exemple, les lois françaises sur la propriété des terrains et des maisons familiales abouti à dépouiller les maorais au profit d'immigrés français.

• Affirme avec force que même si la situation des simples gens à Maore est meilleure que dans les autres îles du pays, les destinées du peuple de l'Archipel ne connaîtront un sort enviable que dans l'unité et la prospérité de tous.

• S'étonne de la trop faible couverture de la révolte des maorais par les médias nationaux, en premier lieu les médias d'Etat et invite à changer cet état de fait.

• Demande à ceux qui ont les rennes de l'Etat comorien à manifester une profonde et large solidarité envers nos compatriotes maorais.

• Rappelle avec insistance que l'orientation « UN ETAT DEUX ADMINISTRATIONS » offre un cadre raisonnable de négociation entre toutes les parties prenantes pour autant que la France rompe avec sa position extrémiste consistant à imposer par la force son fait accompli et concède à discuter du fond de la question de l'île comorienne de Mayotte

Le Comité Maore
Moroni le 13 octobre 2011
source (sans la photo) : blogidris




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#Posté le lundi 17 octobre 2011 10:46

Modifié le lundi 17 octobre 2011 11:02

COMORES : Quand Mutsa coule ses betons...

COMORES : Quand Mutsa coule ses betons... COMORES : Quand Mutsa coule ses betons...
Celui qui, depuis neuf ou dix mois, n'a pas foulé le sol de Mutsamudu, et qui arrive par le port, ou vient de l'aéroport de Wani, constatera des changements. Bien sûr, il y a de plus en plus de véhicules et de ces motos importées de Chine surnommées “masaluva ya shama” (littéralement : châles d'association, tellement elles se ressemblent les unes aux autres). Et, conséquemment, ces bouchons infernaux la matinée, à certains points de ces voies étroites et parsemées de nids-de-poules. Mais ce n'est pas de cela qu'il s'agit ici ; c'est d'autre chose, plutôt réconfortante : des chantiers d'intérêt public un peu partout, certains au stade foetal, d'autres en cours et d'autres qui attendent d'être inaugurés. 
Le visiteur sera d'abord surpris par l'aspect rocambolesque d'un bâtiment érigé dans l'enceinte même du port, derrière le petit quai, et qui ressemble à s'y méconnaître à un navire. Fierté du directeur sortant de l'Autorité portuaire de l'île (Saïdomar Azhar), ce chef-d'oeuvre architectural pas encore inauguré jouera le rôle d'une gare portuaire, où les passagers pourront attendre confortablement leurs bateaux. Chose qui, jusqu'ici, n'a pas été imaginée dans aucun des ports de l'archipel. 
87 millions 
 
Après le dépaysement devant la maison en forme de navire, une légère levée du regard vers les hauteurs, au sud, nous emmène droit à une autre surprise : la colline de Bandra'nkowa, surplombant la ville, est désormais tout à fait accessible par escalier. Un long escalier (celui qui descend le versant Est, presque achevé, compterait quatre cent marches), bon à dégourdir des jambes de plomb : l'ascension en altitude par le biais de ces marches peut vous emmener jusqu'à une centaine de mètres, au sommet de Bandra'nkowa. 
COMORES : Quand Mutsa coule ses betons...
L'on prête (certes ironiquement) à la Direction des douanes de l'île, bailleur de fonds de ce chantier titanesque (quelques quatre-vingt-sept millions y sont injectés), l'intention de vouloir initier le transfert de la Médina au sommet de la colline. En attendant, il y a les effets immédiats de ce “désenclavement” : “C'est bien d'aménager l'accès à cette montagne ; beaucoup de gens de la ville ont des terres ici. Mais cela ne profitera pas qu'aux seuls propriétaires, mais également aux maraudeurs !”, remarque ce vieil homme, employé du chantier. 
Long, très long... 
 
Se tenir au sommet de Bandra'nkowa procure certes une certaine exaltation. Mais cela offre également une vue exceptionnelle de la ville, presque complète. Et c'est là qu'on aperçoit, ici et là à travers les rues, ces gilets verts phosphorescents des ouvriers de la Compagnie Colas, affairés tous les jours à “mesurer la route”, comme on dit couramment ici. 
En fait, ils effectuent tout simplement les études préalables au traçage ainsi qu'au bitumage des dix-sept kilomètres de routes promis par le gouvernement à l'île d'Anjouan. Mais c'est un ouvrage en phase de démarrage ; ne nous y attardons pas. Par contre, attardons-nous devant le Centre médical urbain (Cmu) de Gungwamwe, et tournons le regard à gauche : ici, le sol est ouvert. 
C'est un égout, long de plusieurs centaines de mètres, qui part de la banlieue est de la ville et traverse latéralement le boulevard de Gungwamwe jusqu'à la mer, qui occupe, depuis juin dernier, les ouvriers de la société de construction Madjikha. Ce caniveau, de près de deux mètres de large et profond d'environ un mètre cinquante, mettra peut-être fin à un calvaire : celui de la rivière de boue entrainée par les eaux dévalant la pente de Magombeni à chaque pluie, et qui a fait du boulevard de Gungwamwe la voie bitumée la plus impraticable de Mutsamudu. Cet ouvrage, dirigé par la Direction nationale de l'équipement et de l'aménagement du territoire, va coûter la bagatelle de soixante-seize millions de francs. 
 
2 milliards
 
Une autre grosse somme d'argent et des coups de pelle encore plus soutenus, c'est à un kilomètre et demi de là, à Hombo. Ici, toutes sortes d'engins mécaniques (excavateur, pelle mécanique, camions...) participent à la reconstruction du terrain de football. 
Un chantier qui a été à un moment interrompu, car il semble que les plans de construction proposés par le bailleur du projet (le Tika, l'agence de coopération turque) n'ont pas été respectés. Et cela se voit bien, car le premier mur de clôture du stade qui avait été dressé, a été démoli pour être reculé de plusieurs mètres et ouvrir ainsi la superficie de l'ouvrage. Deux milliards de francs comoriens ont été donnés par le gouvernement turc pour ce stade olympique qu'on annonce “digne de recevoir des compétitions internationales”, d'après l'ex-chef de l'Etat Ahmed Abdallah Sambi. 
C'est justement lui, Sambi, qui, en juillet dernier, dirigeait la démolition de toute l'aile sud de l'hôpital de Hombo, situé seulement à une cinquantaine de mètres plus bas du stade en reconstruction. C'était à l'occasion de la visite dans l'île de Mohammad Abdullah Al-Roumayh, vice-ministre qatari des affaires étrangères, dont le pays, à travers une de ses fondations d'aide (la fondation Jassim), a promis de remplacer les bâtiments détruits par un complexe hospitalier valant trente millions d'euros. Mais, débarrassé de ses vielles constructions et des arbres, plusieurs hectares de terrain demeurent depuis “en jachère“ : rien n'est entrepris depuis sur les lieux. 
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“Combien ils empochent“
 
Mohamed Salim Hafi, directeur du Centre hospitalier de Hombo, “ne sait grand-chose là-dessus” ; juste ceci : “Les travaux ont arrêté, je ne suis pas en mesure, à mon niveau, de dire quand ils vont reprendre, mais l'on me dit qu'ils reprendront. Sachez cependant que le projet Pasco (Projet d'appui à la santé aux Comores), qui devait financer la reconstruction de notre bloc opératoire, semble vouloir retirer son financement, prétextant que, puisque les qataris ont promis un complexe hospitalier, leur aide n'est donc plus nécessaire.” Faut-il donc penser que nos amis qataris ont été intimidés au point de déserter précipitemment le chantier...? 
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Retour sur Bandra'nkowa : vue imprenable sur une ville repliée sur elle-même, avec la pagaille des maisons séculaires de la Médina (dont certaines s'effondrent d'elles-mêmes de temps en temps), et la cohue permanente dans les étroites ruelles. Plus facile d'y voir le changement depuis le sommet. Mais, comme une goutte d'eau dans la mare de désordre et de précarité dans laquelle beigne la ville du bouvier Moussa Moudou, tous ces travaux d'intérêt public destinés à améliorer le visage du chef-lieu d'Anjouan ne suscite que peu la gaieté de ce jeune mutsamudien : “Et alors, tu sais combien ils [les autorités publiques, ndlr] empochent à travers ces projets ? C'est en pareilles occasions que les poches se remplissent !” 
 
Sardou Moussa
Source : Al-watwan N° 1837 du lundi 17 octobre 2011
Tags : comores, anjouan
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#Posté le lundi 17 octobre 2011 08:41

Modifié le lundi 17 octobre 2011 09:04

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