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Comores : Affaire Combo / Bataille autour de la date du procès

Comores : Affaire Combo / Bataille autour de la date du procès
Alors que le parquet évoque des problèmes de budget pour fixer la date du procès de l'affaire Combo, les avocats de l'ancien chef d'Etat-major actuellement en résidence surveillée et ceux de la famille Combo essaient leurs arguments par presse interposée. 

Aucune date n'a été arrêtée pour le procès de l'affaire Combo; C'est en tout cas ce qu'on nous a laissé comprendre hier, au parquet de Moroni : « le procureur général, Nadhoim Athoumani, n'avait pas encore fixé une date pour ce procès très attendu » 
« Il y a beaucoup de conditions à réunir, notamment financières, et pour le moment rien n'est garanti, » nous a confié le procureur avant d'expliquer : « les billets, l'hébergement et les séjours des magistrats et  des jurés provenant de Mohéli et de Ndzouani doivent être pris en charge. »
Le procureur, haut magistrat, parle aussi de convocations à envoyer et qui doivent « respecter un délai précis » Pour le moment, « aucun calendrier ne peut être fixé » a insisté M.Athoumani. 
La partie civile estime, quant « à elle, que cette lenteur est « injustifiée » et « n'arrange pas » les affaires des plaignants.
« Ce retard est très préjudiciable aux intérêts de la partie civile », déplore Me Ali Abdou El-Aniou,  avocat de la famille de Combo qui s'insurge contre cette absence de calendrier pour le procès. 
Il pense qu'il s'agit d'un « manque de volonté » de la part de toutes les autorités concernées. « On nous parle de charges et des dépenses, ça ne fait même pas 1 million de fc. Que le procès se tienne au plus vite pour pouvoir connaitre qui a tué Combo et que la justice soit rendue », martèle avec insistance l'avocat de la partie civile. Il a, par ailleurs exprimé son « incompréhension » sur le « traitement de faveur » accordé à l'ex-général Salimou, dans sa résidence surveillée. «Déjà, le fait qu'il soit là où il est, est une entorse à la règle », explique Me El-Aniou qui a vivement critiqué la note du procureur général qui demande « une amélioration des conditions de détention de l'ex-général »
Du côté de la défense, Me Harimia Ahmed qualifie de « ridicule » la réaction de son confrère sur les nouvelles conditions de détention de l'ex-général. «Notre client n'est pas libre, il est toujours détenu, pourquoi ce bruit inutile »? Me Harimia veut elle aussi, un  procès au plus vite, mais dans de « bonnes conditions ». La défense demande qu'avant tout procès, leur appel en pourvoi en cassation sur l'arrêt de renvoi de l'officier aux assises soit examiné. « Tant que la Cour Suprême ne statue pas sur cette demande, les assises ne peuvent pas se tenir », a martelé Me Bako, l'autre avocat de la défense. « La tenue de ces assises est illégale, sans la réponse de notre pourvoi », renchérit, la doyenne des avocats. 
S'agissant d'éventuelles tractations entre les parties, comme le laisse croire la rumeur, Me El-Aniou dit qu'il n'en a jamais eu connaissance. De son côté, la défense veut l'acquittement pur et simple de son client tandis que le procureur est formel : « Il n'y a aura pas d'arrangement.»
 
MMADI MOINDJIE
Source : Albalad Comores n° du mardi 12 juillet 2011
Tags : comores
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#Posté le mardi 12 juillet 2011 16:17

Comores : Ripvwa zéro

Comores : Ripvwa zéro
L'expression voudrait signifier [ici] que nous avons eu tout faux en matière de gestion-pays. Trente-six années de rêves effondrés. Trente-six années d'angoisses au quotidien, de promesses en paroles, de mensonges éhontés. La liste de nos malheurs mériterait une édition en série non limitée. Elle exige que l'on ferme les portes une bonne fois pour toutes, afin de pouvoir se jeter des tas de vérités amères au visage. Mais nul n'en ressent le besoin. Car si l'on établissait le véritable bilan, allant du 6 juillet 1975 à nos jours, nous serions obligés de reconnaître nos vrais manquements à l'intérêt général. Il est évident que ripvwa zéro sur toute la ligne ! Le pire, c'est qu'il n'y en a pas un pour sauver l'autre. Nous avons appris à vivre au-dessus de nos moyens. A ramper pour mériter notre petite place au soleil des espérances. A se vendre à vil prix pour ne pas sombrer dans la fange. A cesser de penser pour ne plus avoir à reconnaître nos erreurs.
Que dire d'autre que l'on ne sait déjà ? Nous avons tranquillement grillé le destin de ce pays. A croire que tout ce que l'on a appris à l'école n'a servi qu'à ruiner ce qui restait du legs de l'ancien temps. Scandales fâcheux, incompétence notoire, corruption active, impunité totale, autosuffisance et arrogance, remise en question impossible d'un système en crise depuis plus de cent cinquante ans. Bientôt, nous n'aurons pas les moyens les générations qui mendient leur salut sur la place de l'indépendance. Aurons-nous encore besoin de croire en l'au-delà pour goûter aux plaisirs d'un enfer ici-bas ? Qui s'en soucie ? Le mot « citoyen » ne signifie même plus rien dans la langue de nos élites autoproclamées. Se former, se soigner, manger à sa faim, mériter un toit, n'étant plus un droit, nous organisons lentement mais sûrement le suicide collectif, sans la primeur des médias. Primes-times et gros titres nous ignorent sans façon. Ce qui réduit notre champ d'existence à l'horizon limité au silence.
A force, nos cerveaux se fatiguent, nos forces déclinent. Surtout, personne ne s'interroge sur ce que nous serons, lorsqu'il n'y aura plus rien à vendre sur le marché défait des peuples en souffrance. Personne ne sait non plus à quoi servent nos intellectuels et nos cadres. A courir après des 4x4 rutilants et à miser sur le diable en chemin, peut-être. La date du 6 juillet vient d'être célébrée à grands pas de faux frais. Mais ne se soucie de savoir ce que nous allons raconter au peuple légitimement abruti dans cinq années ? Pour le 40ème anniversaire de l'Etat moribond. Et dire que nos vieux parents ont cru que les savoirs nouveaux allaient leur changer la vie, leur permettre de mieux vivre. Après 36 années d'effets d'annonce, ils ont pu se rendre compte du désastre. Ceux qui ont appris les savoirs nouveaux sont ceux-là mêmes qui scient la branche sur laquelle ils étaient assis. La régression est devenue un crédo de bonne gouvernance, à l'heure où le boutre s'enlise dans les cendres du passé. Nous ne devrions pas en rire sur les places publiques, même si le ridicule ne tue pas. Il n'y a aucune gloire à retirer de l'art de griller son propre pays au soleil. En trente-six années d'existence, nous n'avons fait que désapprendre ce qui fonde notre humanité. Nous n'avons même plus d'empathie pour notre semblable, voisin ou cousin, en ces temps de mauvaise vie.
 
Soeuf Elbadawi - Auteur et artiste
Source : comoresdroit
 
Tags : comores
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#Posté le mardi 12 juillet 2011 12:56

Comores : Air Mohéli International a effectué son premier vol commercial.

Le Boeing 737-300, de la Compagnie nationale des transports aériens, Air Mohéli International, a effectué son premier vol commercial ce vendredi 08 juillet 2011.
D'une capacité de 138 places, l'appareil qui est arrivé à l'aéroport international Prince Saïd Ibrahim a quitté Hahaya à 15h ce même vendredi pour son premier vol commercial à destination de Dubaï, avec une escale technique à Djibouti.
En l'absence du Chef de l'Etat qui effectue une visite à Mwali et Ndzouani au lendemain de la fête nationale, l'événement a été marqué par la présence à l'aéroport, du Vice-Président chargé du Ministère des Finances, du Ministre des Relations Extérieures, du Ministre de l'Education Nationale, de la Ministre de la Santé, de la Ministre de l'Emploi, Porte-parole du Gouvernement, du Secrétaire Général du Gouvernement, des membres du Cabinet du Chef de l'Etat et de la presse nationale, qui ont eu le privilège de monter à bord du nouvel appareil où deux pilotes, trois stewards, et cinq membres d'équipage les ont accueillis avec chaleur.
Après cette visite à bord de l'appareil, les membres du Gouvernement et les responsables de la Fondation Fatma et du HSS, partenaires de ce projet, ont donné une conférence de presse conjointe à l'hôtel Itsandra, au cours de laquelle, ils ont encore une fois, manifesté leur ferme intention d'aller de l'avant pour mettre en ½uvre tous les projets retenus par la Conférence de Doha, notamment celui des transports et des ports maritimes après la mise en service d'Air Mohéli International qui est désormais devenu une réalité.
Dans l'attente de l'arrivée d'un second appareil, dans quelques semaines, le Boeing 767-300 de la nouvelle compagnie, d'une grande capacité pout transporter les passagers et le fret, continuera à assurer la ligne Moroni-Dubaï, en 6h30 mn, deux fois par semaine, le vendredi et le dimanche. Le prix du billet Moroni-Dubaï-Moroni, disponible auprès Galaxy-Travell à Moroni, est fixé à 700 Euros.
« Le choix de la liaison Moroni-Dubaï se justifie par la demande sans cesse croissante de la part de la population qui se déplace aux Emirats Arabes Unis pour les affaires. La prochaine route sera celle de Moroni-Marseille pour répondre à la forte demande des Comoriens résidant à dans la région Provence-Alpes-Côte-D'azur. Suivra ensuite la desserte des grandes capitales africaines et des pays de l'Océan Indien » a déclaré le Conseiller spécial du Chef de l'Etat, M. Mohamed Bacar DOSSAR.
Pour faire face à cette perspective, Air Mohéli International, la Compagnie nationale des transports aériens, désormais une réalité depuis ce vendredi 8 juillet 2011, compte avoir, un parc de vingt appareils, d'ici la fin de l'année.
 
Source : Beit Salam
 
Tags : comores
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#Posté le dimanche 10 juillet 2011 06:24

Comores / Conseil de l'île de Ngazidja : Résolution sur l'île comorienne de Mayotte

Comores / Conseil de l’île de Ngazidja : Résolution sur l’île comorienne de Mayotte
“Demande à l'Union européenne de soutenir les positions des institutions internationales et au gouvernement comorien d'inscrire à l'ordre du jour de l'assemblée générale de l'Onu la dénonciation de la départementalisation de l'île comorienne de Mayotte“. 
Le conseil de l'île de Ngazidja réuni en session extraordinaire - “rappelle que conformément aux accords signés le 15 juin 1973..... ; les résultats du référendum du 22 décembre 1974 sur l'indépendance des Comores devaient être considérés sur une base globale et non île par île, - Convaincu qu'une solution juste et durable de la question de Mayotte réside dans le respect de la souveraineté, de l'unité et de l'intégrité territoriale des Comores ; - Convaincu qu'une solution rapide du problème de Mayotte est indispensable pour la préservation de la paix et de la sécurité dans la région : - Rend un grand hommage aux artisans de l'indépendance, - Réaffirme la souveraineté de l'Union des Comores sur l'île de Mayotte, - Salue les positions des instances internationales l'Onu, l'Ua, La Ligue des Etats arabes, la Conférence islamique, etc. et pour les efforts consentis pour l'intégrité territoriale des Comores, - Demande à l'Union européenne de soutenir les positions des institutions internationales en vue de rendre effectif rapidement le retour de l'île de Mayotte dans son giron comorien, Demande au gouvernement comorien d'inscrire à l'ordre du jour de l'assemblée générale de l'Onu la dénonciation de la départementalisation de l'île comorienne de Mayotte. 
 
Adopté le 5 juillet 2011 
 
Source : Al-watwan N° 1782 du vendredi 08 juillet 2011
Tags : comores, mayotte
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#Posté le samedi 09 juillet 2011 02:53

Fête de l'indépendance des Comores : le dialogue avec les mahorais

Fête de l’indépendance des Comores : le dialogue avec les mahorais
Dans son discours à la nation prononcé ce 6 juillet 2011, à l'occasion du 36e anniversaire de l'indépendance des Comores, le Président de l'Union des Comores a plaidé pour des négociations avec les mahorais pour régler l'épineuse question de l'île de Mayotte. Il parle « d'une nouvelle approche » basée sur « la réconciliation des c½urs et des esprits à travers le dialogue entre nous et nos parents, nos frères et nos s½urs mahorais ». Nous devons aujourd'hui créer le cadre et le climat qui puissent nous permettre, nous tous enfants de l'Archipel des Comores de nous parler, sans restriction, dans notre langue commune, pour lever la chape de plomb de méfiance qui s'est abattue sur nous voici trente-six a t- il déclaré.
Toutefois, cette nouvelle approche soutenue par le Dr Ikililou Dhoinine n'est pas nouvelle puisqu'elle a déjà été préconisée par feu le président Said Mohamed Djohar dans les années 90. En fait, cette approche du dialogue entre les « mahorais » d'une part et les « Comoriens » d'autre part est celle voulue et encouragée par la France qui veut réduire le conflit territorial qui l'oppose à l'Etat comorien, en un simple conflit comoro-comorien pour éviter qu'elle soit condamnée sur le plan international. Elle est la voie la plus rapide vers la validation de la division géographique Comores/Mayotte et l'établissement de la fameuse « coopération régionale ».
Le vrai dialogue pour régler cette question doit se faire avec l'Etat français, qui administre cette île en violation flagrante des dispositions internationales notamment celles des Nations Unies qui reconnaissent les Comores en tant qu'Etat composé de quatre îles dont Mayotte. Ce dialogue doit se faire, au plus haut niveau, entre les deux gouvernements avec la pression de la communauté internationale en tirant les leçons de l'échec cuisant du Groupe de Travail de Haut Niveau mis en place en 2007 à l'initiative des Président français et comoriens dont les travaux se sont enlisés avec la départementalisation de Mayotte.
Et pour rapprocher réellement, les mahorais de leurs compatriotes des îles indépendantes, le nouveau président devra commencer par les nommer aux postes de responsabilité de l'Etat en attendant la tournante de l'élection présidentielle qui leur reviendra en principe en 2016.
 
Source : comoresdroit
 
Commentaire Wongo
 
Le  député français Daniel Goldberg, lors de sa visite aux Comores début octobre 2010, avait déclaré: « Mayotte est française tant que les Maorais ne changeront pas de position sur cela, et il n'y a pas de débat », réduisant ainsi le différend franco-comorien en une simple querelle de voisinage
Pour plus de précisions, CLIQUEZ
Tags : comores, mayotte
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#Posté le jeudi 07 juillet 2011 20:23

La femme comorienne après 36 années d'indépendance ?

La femme comorienne après 36 années d'indépendance ?
Tags : comores
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#Posté le mercredi 06 juillet 2011 15:21

Modifié le mercredi 06 juillet 2011 21:35

Discours de Son Excellence Dr IKILILOU DHOININE, Président de l'Union des Comores, à l'occasion de la célébration du 36ème anniversaire de l'indépendance

Discours de Son Excellence Dr IKILILOU DHOININE, Président de l’Union des Comores, à l’occasion de la célébration du 36ème anniversaire de l’indépendance
Palais de Beit-Salam, le 6 juillet 2011
-   Comoriennes, Comoriens,
-   Chers compatriotes,
-   Honorables Invités,
 
En ce jour mémorable du 6 juillet 2011, nous célébrons le trente-sixième anniversaire de l'accession des Comores à la souveraineté internationale.
En ce moment symbolique de la vie de notre Nation, je voudrais d'abord adresser à chacun de vous, mes Chers concitoyens de l'intérieur et de la Diaspora, mes plus chaleureuses félicitations.
J'y ajoute les v½ux ardents que je formule pour vos familles et pour ceux d'entre vous qui, ne peuvent pas participer à cette cérémonie, parce qu'ils connaissent le deuil, le chagrin ou le poids de la maladie.
Je voudrais, également, en votre nom et au mien, associer aux v½ux de ce jour, nos frères et nos s½urs de Mayotte, et prier pour qu'Allah nous guide sur le chemin de l'unité et de la concorde et vers l'idéal de notre destin partagé.
Je voudrais, enfin, remercier nos partenaires bilatéraux et multilatéraux ainsi que tous nos invités, qui ont bien voulu rehausser de leur présence cette fête nationale, témoignage de leur attachement à notre pays et de leur accompagnement au processus de développement socio-économique de nos îles.
Mes Chers Compatriotes,
Nous avons un devoir de respect de la mémoire de nos prédécesseurs et nous devons nous garder de l'oubli afin de ne pas effacer la vérité sur une partie de notre histoire.
Nous devons de la reconnaissance à ces héros de notre indépendance pour leur bravoure et pour les sacrifices consentis, en faveur de l'unité nationale.
Ce serait donc manquer à un devoir de ne pas en citer certains parmi tant d'autres, en ce jour de commémoration : je veux nommer Feu le Président AHMED ABDALLAH ABDEREMANE, les membres de son Conseil de Gouvernement, les élus de la Chambre des Députés, les leaders et les militants des partis politiques de l'époque.
Un pays ne peut tracer la voie de son futur s'il ne s'éclaire dans le présent par la lumière du passé. C'est pourquoi, il faut nous appuyer sur notre histoire pour pouvoir faire face à l'avenir.
 
Ainsi, le moins que nous puissions faire, est de marquer notre reconnaissance à ceux qui sont vivant et à prier, constamment, à la mémoire de ceux qui nous ont quitté.
Mes Chers Compatriotes,
Je suis heureux et fier de présider à cette fête, pour la première fois, un peu plus d'un mois seulement après mon investiture à la Magistrature Suprême de notre pays et l'alternance exemplaire qui a eu lieu à la tête de l'Etat à cette occasion, à l'issue d'un processus électoral, reconnu par nos compatriotes et la communauté internationale, pour son caractère libre, démocratique et transparent.
Je suis également heureux et fier de présider à cette fête à un moment où l'unité nationale s'est raffermie, à un moment où l'autorité de l'Etat s'exerce sur les trois îles indépendantes et que les institutions de l'Union des Comores ont fait la preuve de leur solidité.
Pour toutes ces raisons, cette fête revêt donc un caractère particulier qui donne toutes les raisons d'espérer.
Toutefois, nous ne devons pas oublier que nous célébrons également notre indépendance, aujourd'hui, alors qu'elle reste inachevée.
L'occupation de l'île comorienne de Mayotte reste un handicap à la marche normale de l'Etat et à la construction progressive de la Nation, depuis la proclamation de notre indépendance.
Toutefois, la spécificité de nos relations avec la France fondées sur l'histoire, la langue et certaines valeurs communes fondamentales, ajoutée à la présence de centaines de milliers de nos compatriotes sur le territoire français, nous conduit à aménager un espace de dialogue et à engager des pourparlers en vue de trouver une solution au problème de Mayotte à l'amiable.
J'y ajoute la nouvelle approche que je préconise pour contribuer à la résolution de cette épineuse question de l'île Comorienne de Mayotte, à savoir la réconciliation des c½urs et des esprits à travers le dialogue entre nous et nos parents, nos frères et nos s½urs mahorais.
En effet, tout en poursuivant, sans relâche, la revendication légitime de l'intégrité territoriale de notre pays, par toutes les voies du droit, nous devons aujourd'hui créer le cadre et le climat qui puissent nous permettre, nous tous enfants de l'Archipel des Comores de nous parler, sans restriction, dans notre langue commune, pour lever la chape de plomb de méfiance qui s'est abattue sur nous voici trente-six ans.
Nous devons nous rappeler que les enfants nés en 1975, des deux côtés du mur dressé entre les mahorais et leurs compatriotes des autres îles, ont aujourd'hui trente-six ans. Trente-six ans marqués par toujours plus de méfiance, de séparation et de deuils.
En effet, des milliers des nôtres sont morts, juste pour avoir tenté de joindre une partie de ce qu'ils considèrent, à juste raison, comme une partie intégrante de leur territoire.
Nos frères et s½urs mahorais et nous, qui sommes condamnés à nous retrouver un jour, avons la capacité de mettre fin à cette tragédie si la volonté y est, de part et d'autre.
 
De même, nos frères et s½urs mahorais et nous, avons le devoir de préparer un avenir serein à nos enfants et aux générations futures.
Eux et nous serons alors amenés, tôt ou tard, à ce dialogue qui a été éludé depuis si longtemps. Pourquoi donc attendre ?
C'est pourquoi, j'appelle solennellement nos frères mahorais à ce dialogue qui sera, j'en suis convaincu, fructueux car tout y contribue notamment la géographie, la langue, la culture la religion et nos liens de sang.
Que l'on me comprenne : ce dialogue entre frères, ne signifie nullement l'abandon de notre revendication légitime sur l'île comorienne de Mayotte.
Etant persuadés que la paix, la stabilité et le développement socio-économique durables des Comores et de cette partie de l'Océan Indien sont conditionnés par la résolution juste de ce conflit territorial, nous ne devons pas, nous ne pourrons jamais abandonner notre juste revendication sur Mayotte.
Toutefois, j'estime que nous devons privilégier le dialogue entre nous et l'ancienne puissance coloniale.
Mes Chers Compatriotes,
L'unité nationale restaurée, l'autorité de l'Etat rétablie, l'alternance pacifique réalisée et la recherche d'une solution à la question de l'île comorienne de Mayotte relancée, nous devons nous consacrer au développement de notre pays.
En effet l'½uvre d'indépendance politique, pour être durable et crédible, doit s'accompagner de son complément indispensable qu'est la souveraineté économique. L'une ne va pas sans l'autre.
En comparant notre pays à nos voisins immédiats de l'Océan Indien et à certains pays d'Afrique et d'Asie, qui étaient au même niveau que nous à leur indépendance, nous nous apercevons qu'ils sont allés beaucoup plus vite et beaucoup plus loin que nous.
Certes, nous avons connu des périodes difficiles, marquées par les perpétuelles déstabilisations et des crises politiques. Mais cela ne doit pas constituer un obstacle perpétuel à la relance de notre développement.
Ainsi, le combat pour la libération n'est pas fini. Il se pose aussi en termes économiques et doit se gagner sur le front du développement.
C'est pourquoi cette année, la fête nationale sera dédiée à un thème cher à mes yeux, « ensemble pour le développement du pays ».
Ainsi, je souhaite attirer l'attention de tous les citoyens, sur l'organisation du combat pour le développement du pays engagé ces dernières années et la création des conditions de sa réussite.
 
Ces conditions, j'en entrevois plusieurs, les unes plus importantes que les autres. Toutefois, à mes yeux, une condition reste déterminante, parce que, d'elle, dépend la crédibilité de notre pays et la confiance de nos partenaires multilatéraux, à savoir, la moralisation de la vie publique et une lutte effective contre la corruption.
Avec la promulgation de la Loi relative à la transparence des activités publique, économique, financière et sociale de l'Union des Comores, j'ai donné à l'Etat l'instrument de la politique que j'ai tracée dans mon discours programme, pour moraliser la vie publique et la gestion des deniers de l'Etat.
Pour mettre en ½uvre cette politique nationale de lutte contre la corruption, la nouvelle Loi institue la Commission Nationale de Prévention et de Lutte contre la Corruption (CNPLC) dont la mission est d'assurer la surveillance et le suivi de la mise en ½uvre de la politique et de la stratégie nationale de lutte contre la corruption.
La Loi donne une garantie d'indépendance à cette Commission. Ses membres qui prêtent serment avant d'entrer en fonction, sont protégés contre toute forme de pression, intimidation provenant d'entités politique, économique ou autres.
Je demanderais, alors, à chacun de vous, de prendre ses responsabilités car en ce qui me concerne, j'entends prendre les miennes pour que notre pays soit débarrassé d'un fléau qui entravera tout effort de développement tant qu'elle persistera.
Inutile, alors, de vous dire qu'il ne servira à rien de se tourner vers moi pour trouver une solution pour ceux qui auront enfreint la loi et qui seront poursuivis par la Justice.
Plus que jamais l'indépendance de la Justice sera mon leitmotiv.
Mes Chers Compatriotes,
En célébrant les trente-six ans de l'indépendance de notre pays, je souhaite que, dans un effort à la fois individuel et collectif, nous identifions nos insuffisances pour pouvoir apporter les améliorations appropriées, afin de mieux prendre en charge le destin de nos compatriotes.
La gestion du quotidien, ne doit pas nous empêcher de nous projeter sur le futur et poser, ainsi, les jalons des Comores de demain.
Le combat pour le développement est un combat de longue haleine, une marche difficile, parsemée d'embûches, mais si nous y mettons de la volonté, le succès sera au bout de l'effort. Les pays émergeants que nous connaissons aujourd'hui, ont consenti beaucoup d'efforts et ont accepté de travailler plus.
Et pour bâtir les Comores que nous voulons, nous n'avons d'autre choix que de mener le combat du développement, dans l'unité et au-delà de nos divergences politiques.
Chacun, par son engagement patriotique et citoyen, par son courage au travail et sa réussite personnelle, peut contribuer de façon décisive à la prospérité et au bien-être commun de la Nation.
 
Personne, en effet, ne fera à notre place ce que nous ne sommes pas disposés à faire pour nous-mêmes. Aussi, tous ensemble, devons-nous prendre conscience qu'une dépendance économique prolongée nous mènera, inexorablement, vers la faillite de notre indépendance politique.
Dans un monde en profonde mutation, des possibilités de partenariats novateurs, mutuellement gagnant, s'offrent à nous. Nous ne devons pas laisser passer ces nouvelles opportunités.
Ainsi, nous devons continuer à raffermir les amitiés traditionnelles de notre pays. Notre diplomatie doit continuer à explorer la diversification de notre coopération tout en renforçant nos liens traditionnels avec nos partenaires et notamment ceux du monde arabe.
Avec l'Union Européenne, nous poursuivrons la mise en ½uvre du dixième FED et nous renforcerons les nouveaux Accords de Coopération, notamment sur la pêche.
En Afrique, l'Union Africaine qui a fait des Comores sa vitrine depuis la libération de l'île d'Anjouan, nous entendons jouer à notre tour notre rôle, en rendant aux pays frères le bien qu'ils ont fait et en prenant plus de responsabilités, comme nous le faisons au sein de l'EASBRIG et, bientôt, au sein de la MINUAD au Soudan.
De même, nous poursuivrons notre engagement au sein de la Ummah Islamique, pour la défense de ses idéaux et le raffermissement de nos relations privilégiées avec le monde musulman.
Mes Chers Compatriotes,
Si je souhaite que tous ensemble et que chaque comorien, donne le meilleur de lui-même comme si le solde du bilan ne dépendait que de lui tout seul, c'est que les défis à relever sont immenses et nécessitent toutes nos énergies.
Comoriennes, Comoriens, Mes Chers Compatriotes,
Ensemble, la main dans la main, mettons nos forces et notre intelligence au service de la cause nationale pour le développement économique.
Et en peuple croyant, prions Allah Le Tout-Puissant pour qu'Il guide nos pas, toujours vers le bien-être, aussi bien dans ce monde que dans l'au-delà.
Vive l'Union des Comores, Vive la coopération internationale, Je vous remercie.
 
Source : Beit-Salam
Tags : comores, indépendance
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#Posté le mercredi 06 juillet 2011 14:09

Wongo fête le 36ème anniversaire de l'indépendance des Comores

A l'occasion de la 36ème année de l'indépendance des Comores, l'Equipe Wongo vous propose cette question :

Question : Commentez ce document (source : journal Al-watwan) . Bonne chance

Wongo fête le 36ème anniversaire de l’indépendance des Comores
L'équipe Wongo a choisi le commentaire de Chadia qui nous parait très bien argumenté, cela ne veut pas dire que les autres commentaires soient mauvais. La photo des drapeaux a été rajoutée par la rédaction. Encore une fois, Bravo Chadia
 
Chadia :
Il ne faut pas sortir de polytechnique pour voir que la disposition des couleurs de ce misérable gâteau du trente-sixième anniversaire de l'indépendance des Comores ne correspond pas à la disposition des couleurs du drapeau comorien. Vous pouvez le (drapeau comorien : Ndlr) tourner dans tous les sens, la couleur rouge et la couleur jaune ne se touchent pas.
Si on ne respecte pas la disposition des couleurs, quelle serait alors la différence entre un drapeau français et un drapeau hollandais ?
Wongo fête le 36ème anniversaire de l’indépendance des Comores
Tags : comores, indépendance
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#Posté le mardi 05 juillet 2011 13:04

Modifié le mercredi 06 juillet 2011 05:24

COMORES /CAE : Les candidats reçoivent la correction à la place de l'épreuve

COMORES /CAE : Les candidats reçoivent la correction à la place de l’épreuve
Les examens professionnels, à savoir le Certificat d'aptitude à l'enseignement (CAE) et le Certificat d'aptitude pédagogique (CAP), se sont déroulés ce samedi à l'école primaire application de Moroni. Boinaheri Mlamali, inspecteur et chef du centre, confie qu'"il y a eu un petit problème pour le CAE lors de la distribution des sujets. Au lieu de distribuer les épreuves, ce sont les recommandations des correcteurs qui ont été partagées et ce n'est qu'après quelques minutes que nous nous en sommes rendus compte". L'inspecteur parle "d'un petit incident" et pourtant, un autre enseignant qui était au niveau du secrétariat, indique que "ce ne sont pas des recommandations mais la correction elle-même". En tout cas, l'incident a été vite réparé. "Cette erreur a fait que les candidats du CAE traiteront la pédagogie spéciale en première heure, en attendant le sujet de remplacement de la pédagogie générale qui va être faite ce même jour", a précisé le chef du centre.
250 instituteurs se sont inscrits dans ces épreuves, 127 pour le CAE et 123 pour le CAP. "Par rapport à l'année dernière, l'effectif a doublé. Le pourcentage a augmenté de 40%", a déclaré cet inspecteur. Il faut avoir un CAE avant de pouvoir réaliser le CAP. Ce dernier permet à l'enseignant de devenir un encadreur pédagogique. Quant au CAE, pour un bachelier, il faut qu'il ait 2 ans d'expérience. Pour ceux qui ont un BEPC, il faut être en exercice avant de le faire. Durant ces tests, des candidats du secteur privé étaient présents. Ils représentent 25%. Une formation est prévue après la rentrée prochaine. "Nous espérons organiser une formation en partenariat avec l'Union Européenne, la Coopération française et l'Unicef en vue de renforcer les capacités de la langue française ainsi que la didactique", affirme M. Mlamali. 
 
Source : Flash Info n°2808 du mardi 5 juillet 2011
Tags : comores
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#Posté le lundi 04 juillet 2011 19:23

Modifié le lundi 04 juillet 2011 19:41

COMORES : MARIA GALANTA CONTRE YEMENIA

COMORES : MARIA GALANTA CONTRE YEMENIA
La presse comorienne (hors Mayotte) de la semaine dernière, a consacré la plupart de ces articles sur la deuxième commémoration du Crash de l'A320 de Yemenia et a profité pour dénoncer le manque de sécurité persistant dans les avions de la compagnie Yemenia.
Aucun mot sur le bateau Maria Galanta dont le patron Michel Labourdère, se trouve en ce moment en prison suite à l'évasion des cinq comoriens qui se sont jetés à l'eau et dont l'un a trouvé la mort. Il parait (d'après la presse mahoraise) que même la boite noire de Maria Galanta n'était pas fonctionnelle. Et pourtant le bateau avait obtenu les autorisations pour faire les rotations Mayotte – Anjouan.
Le bateau Maria Galanta qui bat pavillon français, comorien, ou de Saint Vincent et Grenade ( ?) fait payer le billet simple Mayotte – Anjouan à 116 euros (soit environ 57000 francs comoriens) pour une distance de 70 km (sans le café ni le Ushi). Avec une distance de 7643 km, comme Moroni – Paris, on payerait 12 665 euros, l'aller simple et tout le tralala (soit quinze fois plus le billet Yemenia).
De source sûre, le gouverneur actuel de l'île autonome d'Anjouan M. ANISSI CHAMSIDINE a déclaré à une délégation de notables anjouanais qui était allé se plaindre de ces conditions, que cela ne fait pas partie de ses compétences et a envoyé la délégation chez Ikililou (le nouveau président des Comores) qui à son tour a demandé aux notables d'aller voir Dossar qui risque de leur tourner le dos.
 
Toza – Equipe wongo
http://wongo.skyrock.com/
Tags : comores, yemenia
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#Posté le lundi 04 juillet 2011 17:19

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