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COMORES : Après Combo et Kouva, à qui le tour ?

COMORES : Après Combo et Kouva, à qui le tour ?
Il y a un peu plus d'une année, un crime méticuleusement planifié a été exécuté de mains de maître par des individus, jusqu'à l'heure, non identifiés.
L'assassinat du Lt-colonel Combo, puisque c'est de ce dernier qu'il s'agit, reste toujours enveloppé d'opacité, quant aux commanditaires et aux mobiles réels de son exécution. Aujourd'hui, c'est un haut cadre de notre pays qui a subi une sentence dont le mode opératoire, relativement proche de celui de Combo, est encore plus horrible et atroce. Le professeur Ahmed Ali Kouva a été lâchement assassiné mais aussi torturé monstrueusement par des individus encore inconnus et encore une fois non identifiés. Ces deux homicides sont certainement différents en terme de mobiles, et il faut espérer que l'enquête en cours sera, cette fois-ci, dénuée de passion négative et que la justice sera rendue en toute liberté et indépendance. Mais la question aujourd'hui est de savoir comment sommes-nous arrivés là ? Comment notre pays, jadis si paisible et si rassurant, se transformerait-il en un repère de meurtriers, de criminels et d'escrocs de tout bord? Est-ce un prix à payer pour l'ouverture de notre pays vers le monde ?
Certes non et ce, pour plusieurs raisons : De prime abord, ces meurtres peuvent avoir été commis par des comoriens, même si certains éléments laissent supposer une expertise très rare dans le pays notamment en matière de planification, de maniement d'armes et d'usage de la torture. Mais également le fait que la communauté internationale, garant de la réconciliation nationale, dans un souci d'impartialité et de respect de l'équilibre des îles (merci), a inopportunément choisi d'escamoter le volet ramassage des armes dans sa stratégie d'insertion des milices armées à Anjouan, afin de faciliter la circulation des armes à feu et la vulgarisation de leur usage sur l'ensemble du territoire national .... Notre ouverture vers le monde n'est pas une cause, car d'autres pays, même plus petits, plus pauvres et moins peuplés que le nôtre sont ouverts à l'extérieur sans pour autant que cela ait pu dénaturer leur environnement naturel et détruire les valeurs originales.
La vérité est que ce nouveau mal qui frappe les Comores dont la récurrence devient inquiétante pour l'avenir de notre pays, a pour origine celle-là même qui fait de notre pays le chantre de la déstabilisation permanente, l'enclave des stratégies approximatives interdisant l'amorce de tout développement. Cette origine, c'est l'île Comorienne de Mayotte à partir de laquelle la France colonisatrice a décidé de déverser sur les Comores tout individu de race noire harponné sur le sol mahorais. Pour les autorités françaises, tout noir sans papier à Mayotte est comorien et plus vite on s'en débarrasse, mieux on évite de découvrir des choses qui pourraient être embarrassantes pour l'image de cette France, chantre des droits de l'homme.
Aujourd'hui, croiser des génocidaires, des dépeceurs d'albinos, des narcotrafiquants, des mercenaires et des chasseurs de primes dans les ruelles de Moroni ne serait plus surprenant surtout lorsque l'on sait comment fonctionnent nos services de sécurité publique. En cédant trop facilement sur son droit de refuser d'accueillir de Mayotte que ses seuls ressortissants, le système Sambi a offert à la France son plus grand dépotoir de damnés. Que dire de notre ouverture vers le monde arabe qui voit refluer dans notre pays, les investisseurs de toute nature, allant des vendeurs des brochettes, aux épiciers de containers en passant par des marchands de babouches à Volo volo, pour ne citer que les plus productifs pour l'économie nationale !? En choisissant de ne retenir que la langue du prophète comme seul critère d'identification des investisseurs potentiels, Sambi et les siens ont fait des Comores une destination privilégiée pour les aventuriers de tout acabit avec des conséquences inimaginables.
En effet, la pauvreté grandissante aux Comores donne naissance à une nouvelle classe sociale formée des jeunes désillusionnés, sans repères et très vulnérables donc facilement entraînables dans les méandres d'un empire du mal dont l'implantation est facilitée par l'entrée massive et incontrôlée des ténors du monde du crime dans nos îles, cautionnée par le régime de l'Ayatollah comorien. L'agonie dans laquelle est plongée notre économie au cours de ces dernières années et la corruption qui, naturellement en résulte, favorise ainsi l'émergence du grand banditisme, des règlements de compte et des meurtres commandités.
La nature d'un pays se définit par le comportement de sa population, disait l'autre. Aujourd'hui l'Union des Comores a plus d'une population à l'intérieur de ses frontières et la mutation semble enclenchée en matière de comportements. Si l'on se réfère à la chronologie, après l'officier supérieur de l'armée et le haut cadre de l'enseignement, à qui donc serait le tour....... dans les prochains mois ?
 
M. Youssouf Ahamada
Source : comoresdroit
Tags : combo ayouba, comores
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#Posté le lundi 04 juillet 2011 15:41

COMORES / Drame du Maria Galanta : Michel Labourdère présenté ce matin devant le juge

COMORES / Drame du Maria Galanta : Michel Labourdère présenté ce matin devant le juge
Michel Labourdère succèdera ce matin devant le juge d'instruction Hakim Karki au capitaine et au matelot qui ont été longuement interrogés hier en fin d'après-midi. Le patron du « Maria Galanta » devra répondre à pas mal de questions du juge notamment semble-t-il sur le silence qui a suivi l'évasion de ces cinq clandestins qui se  sont jetés à l'eau et dont l'un a trouvé la mort noyé par épuisement, alors que l'alerte aurait été donnée depuis Anjouan. Il devra aussi lever le voile sur le pavillon arboré par son navire qui lors de son arrivée, battait pavillon de complaisance. Par ailleurs, l'armateur devra aussi s'expliquer sur la fameuse « boite noire » qui ne  serait pas tout à fait conforme et qui malgré une visite techniques s'est retrouvée conforme. D'autres questions viendront en complément car ce n'est sans doute pas pour rien que la garde à vue a été prolongée hier entrainant une seconde nuit dans les locaux de la gendarmerie pour l'armateur du « Maria Galanta ». 
 
Source : Les Nouvelles de Mayotte n° 1550 du mercredi 29 juin 2011
 
Commentaire Wongo

Comme à leurs habitudes, les autorités et les médias comoriens gardent un silence des morts sur ces crimes et humiliations dont sont victimes certains comoriens de Mayotte.
Plus grave encore, pendant ce temps-là, Nourdine Bourhane un des parrains de la signature de l'accord de la honte, appelé « accord équilibré » rend hommage à Monsieur l'ambassadeur de France à Moroni pour travail bien fait.
Ce dernier dans sa réponse, a rappelé que la France vient d'octroyer une aide budgétaire de 400 000 euros (soit environ 1,1 milliard de francs malgaches pour faire énorme), en oubliant qu'en même temps les frais pour l'obtention du visa Balladur ont été augmentés de 567% (passant de 9¤ à 60¤) pour signifier à ceux qui l'ignoraient, que Mayotte est devenu le 101ème département français.
Et si le gouverneur d'Anjouan refuse d'accueillir les refoulés de Mayotte en conformité avec la constitution comorienne ?
Et si le capitaine du port refuse d'accueillir les bateaux  de Labourdère pour non-conformité aux règles de navigation ?
Dernière question : Le rôle des matelots du bateau Maria Galanta (qui ne se reposent  pas) est-il de s'occuper de ces pseudo-clandestins ? C'est quoi leur boulot ?
http://wongo.skyrock.com/
Tags : comores
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#Posté le mercredi 29 juin 2011 14:46

ANJOUAN / MAYOTTE : Le visa de Mayotte passe de 9 à 60 euros

ANJOUAN / MAYOTTE : Le visa de Mayotte passe de 9 à 60 euros
Le consul de France a informé les patrons des agences de voyage que les frais des visas vers l'ile de Mayotte passeront de 9 à 60 euros prochainement car, a-t-il dit, « il s'agit désormais d'un déplacement vers un département français Ce sera les mêmes frais qu'on paie pour se rendre à la réunion ou à un autre département français »
Eric Weiss a fait cette annonce au cours d'un petit déjeuner qu'il a offert à sa résidence samedi aux professionnels du voyage pour « réfléchir sur l'amélioration des  conditions de voyage ». 
Le diplomate français a souligné, à cette occasion, qu'il a amélioré les conditions d'acquisition des visas. Alors qu'avant, les demandeurs attendaient jusqu'à trois jours pour obtenir leur visas. Aujourd'hui, la durée de dépôt et de réception des visas est d'une journée.
Il faut savoir que les demandeurs de visas à Anjouan attendent devant le consulat de France dehors sans aucun abri sous le soleil parfois même  sous la pluie. Une situation qui préoccupe énormément M. Weiss. «J'ai demandé à Paris de construire un hangar pour abriter ces personnes.
 
BEN D. CHABANE 
Source : Albaladcomores n° 540 du 28 juin 2011
Tags : comores
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#Posté le mardi 28 juin 2011 04:17

COMORES : Gouvernance, un pays, deux systèmes.

COMORES : Gouvernance, un pays, deux systèmes.
Par Mmagaza
 
Dans un rapport national sur le développement humain, du Programme des Nations Unies pour le Développement, paru en 2001, on peut lire ceci, concernant la gouvernance : « Il faut, en premier lieu définir ce qu'on entend par « gouvernance ». De manière générale, la « gouvernance » traduit la manière dont l'autorité et le contrôle s'exercent dans un pays. Elle concerne la façon de gérer les ressources disponibles et peut, pour cela, s'appuyer sur des traditions comme sur des institutions. Ceci montre son caractère ambivalent qui prend en compte autant les aspects culturels, support de la tradition, que les mécanismes de gestion moderne, pour construire un mode de gestion optimal.
Cette ambivalence présente aux Comores où cohabitent un système moderne de gestion par l'Etat et un système traditionnel réglementant fortement la vie des individus peut avoir des conséquences positives comme négatives.
Conséquences positives, car on peut rendre la gestion plus performante en tirant parti simultanément des deux systèmes pour imaginer les composantes d'une « bonne gouvernance » propre à la société comorienne.
Conséquences négatives, car elle peut être aussi, malheureusement, source de confrontation permanente entre les valeurs des deux systèmes, et enclencher des décisions inappropriées de « mauvaise gouvernance » et de comportements de corruption. Dans ce cas, il peut y avoir perversion du fonctionnement de l'Etat, et de la démocratie, par le système traditionnel. »
Il est connu que dans les îles de la lune, tous les régimes passés se sont cassés les dents en essayant de trouver le juste équilibre entre ces deux systèmes. En dernier ressort  c'est le système traditionnel qui s'en sort mais avec des mutations qui le rendent toujours plus sournois dans la façon dont il maintient la société sous son emprise. Ce système traditionnel qui est partout, casse toute velléité de sa remise en cause. C'est un  système qui s'auto reproduit  tel un monstre à plusieurs têtes.  Tout ce que le pays compte de cadres et d'intellectuels passe à la moulinette et croit ainsi trouver le salut en devenant un homme parfait « Mdru mdzima ».
Si personne n'a rien à redire à ce qu'une société donnée s'attache à ses traditions, on se doit dans une certaine mesure, à un certain moment, d'essayer de faire la part des choses. Dans un pays où les ressources tant humaines que naturelles sont loin d'être les  moindres mais où la bougie est de rigueur, où plus de la moitié de la population ne mange pas à sa faim et où l'on assiste à des débats sans fin sur la politique, on a l'impression étrange de vivre sur une autre planète.
 
Doit-on continuer à se fermer les yeux et croire que les choses finiront par s'arranger d'elles-mêmes dans le meilleur des mondes ? Ne doit-on pas en finir avec cette mauvaise foi qui nous a toujours caractérisés? Devons-nous continuer à croire que nos querelles byzantines sont la solution à nos problèmes ? Autant de questions qui doivent nous interpeller.
Pour paraphraser le président américain Barack Obama, ayons l'audace d'espérer qu'un jour, la jeune génération abattra ces murs pour ériger une société tournée vers le progrès et la transparence. Et faire ainsi barrage à l'obscurantisme, cette «  attitude d'opposition à l'instruction, à la raison et au progrès». Et sur ce chapitre, le président Ikililou a du pain sur la planche, car la lutte contre la corruption n'est qu'un volet parmi bien d'autres.
 
Source : holambecomores
 
Tags : comores
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#Posté le jeudi 23 juin 2011 23:35

COMORES : MAYOTTE N'EST PLUS DANS LA PATRIE

Depuis l'investiture du président IKILILOU, les médias des Comores hors Mayotte, ne parlent plus de cette île où en ce moment même la France respecte l'accord équilibré à l'envers. (Voir la réaction du syndicat de la police française qui qualifie le CRA de Mayotte de verrue de la république).
Les médias comoriens préfèrent insister sur l'aide de 400 000 euros octroyée par la France pour acheter le silence des autorités comoriennes.
COMORES : MAYOTTE N'EST PLUS DANS LA PATRIE



Tags : comores
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#Posté le jeudi 23 juin 2011 12:44

Les enfants de la rue, une réalité aux Comores

Les enfants de la rue, une réalité aux Comores
Le phénomène des enfants de la rue se développe dans l'archipel surtout dans les centres urbains. Tel est le constat fait hier à l'issue de la célébration de la journée de l'enfant africain a l'IFERE. « Le phénomène est récent aux Comores et la plupart de ces enfants Ont des foyers ou un toit pour s'abriter. Ces enfants fréquentent la rue pour gagner leur vie et participent à l'économie parallèle, en marge du secteur économique structuré », a déclaré la représentante de l'Unicef, Susan Ngongi dans son discours. 
La pauvreté des ménages, l'absence d'encadrement familial, la maltraitance et la déscolarisation précoce constituent les principales causes de ce fléau. « Ces enfants courent des risques de santé élevés en raison du manque d'hygiène et d'une mauvaise alimentation », a insiste Mme Ngongi, soulignant que treize catégories d'enfants vulnérables ont été identifiées  aux Comores, d'après la stratégie nationale de protection de l'enfant adoptée en 2004 par le gouvernement. 
Les enfants de la rue, une réalité aux Comores
Dans les rues, les enfants sont confrontés à des dangers et des dérives qui leurs sont souvent fatals. Ils sont meurtris par les maladies, les accidents et l'indifférence, A cela s'ajoutent la précarité, la violente et les sévices sexuels, la loi du plus fort, qui les expose aux rencontres et influences des plus nuisibles.
« Les petites filles sont sollicitées sexuellement dès leur jeune âge et finissent par se prostituer, C'est inhumain et inacceptable », a dénoncé la représentante de l'Unicef à Moroni. 
Le ministre de l'Education,  Mohamed Issimaila, a rappelé qu'il ne se passe pas un jour sans que l'on entende parler « d'enfants maltraités, d'enfants séquestrés, d'enfants violés, d'enfants abandonnées, d'enfants agressés (...) (Ndlr : Enfants expulsés) ». Il a reconnu, entre autres, la nécessite de « mettre en ½uvre une politique socio-éducative qui favorise non seulement l'accueil des enfants, mais aussi leur intégration dans les écoles et les autres institutions sociales locales ». 
Pour mieux lutter contre ce phénomène, notamment celui de l'enfant de la rue, l'Unicef appelle à mettre l'accent sur la prévention, l'accès aux services sociaux de base, la protection et l'insertion. 
Les enfants de la rue, une réalité aux Comores
A.A HAMDI
Source : Albalad Comores n° 533 du 17 juin 11
Tags : comores, Mayott
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#Posté le vendredi 17 juin 2011 13:19

Modifié le vendredi 17 juin 2011 13:30

CHEZ COMORES TELECOM MPESSI VEUT DIRE « PLUS LENT »

CHEZ COMORES TELECOM MPESSI VEUT DIRE « PLUS LENT »
Les utilisateurs réclament l'amélioration de MPESSI Deux semaines après sa commercialisation, le nouveau produit de la société Comores Télécom, MPESSI, suscite des interrogations quant au rapport qualité—prix. De plus en plus de clients se plaignent de problème de connectivité. 
« Je suis surpris qu'on puisse enregistrer des dysfonctionnements pareils pendant cette période de lancement du produit », a dit Nourdine Abdou de Ntsoralé. 
Outre le problème de connectivité, le produit présenterait d'autres déficiences «Je pensais que Comores télécom a pris toutes les mesures de précaution mais le système connaît d'énormes problèmes de gestion de crédit et de lenteur, On peut, à tout moment, être coupé», a expliqué un autre utilisateur. 
Du côté de la société, l'on explique qu'en phase de lancement d'un nouveau produit, il est toujours fréquent de rencontrer quelques anomalies. «Dans cette phase expérimentale, nous sommes en pleins travaux pour enrayer ces problèmes », a dit Issa Ahmed, chargé de la clientèle à la direction commerciale. 
Le produit MPESSI a été mis en vente il y a un peu plus de deux semaines et offre des services internet à haut débit. Mais selon Said Abdallah Salim, employé de l'aéroport prince Saïd Ibrahim, ce produit répond à des besoins d'entreprises et non aux attentes des particuliers.
 « Je préfère payer la connexion CDMA car c'est inacceptable d'acheter une carte de mille francs et ne pas pouvoir envoyer des données, en une heure, en raison de leurs taille», a-t-il déclaré.
 
BEN D. CHABANE 
(le titre est de l'équipe wongo)
Source : Albalad n°532 du jeudi 16 juin 11
Tags : comores
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#Posté le vendredi 17 juin 2011 09:23

COMORES / Moustoifa Said Cheikh: "Le mercenariat a miné notre armée"

Il y a 33 ans, le 13 mai 1978, le Mongozi Ali Soilihi a été renversé par un coup d'état « commandité » par Ahmed Abdallah à la suite duquel des mercenaires français dirigés par Bob Denard instaurent un climat de terreur et de violences, réprimant tout mouvement de contestation. Le leader du Front démocratique, Moustoifa Said Cheikh revient sur cet épisode du mercenariat.
 
Trente-trois ans après le coup d'état ayant renversé le régime d'AIi Soilih, le 13 mai 1978, quels sont vos souvenirs sur cet événement?

COMORES / Moustoifa Said Cheikh: "Le mercenariat a miné notre armée"
 
 
C'est une date mémorable, C'était à la fois l'annonce d'une libération d'un régime autoritaire et brutal et l'avènement d'un autre régime de triste mémoire puisque C'est Bob Denard qui paraîtra le maitre d'½uvre de ce régime sanguinaire caractérisé par de violences aveugles.
 
 
 
L'ancien premier ministre français. Michel Rocard, avait déclaré que le mercenaire français était en service commandé aux Comores. Comment accueillez-vous cette déclaration?

C'est un aveu de taille. Michel Rocard n'est pas n'importe qui. Ce qu'il a dit est regrettable C'est un discours qui est en déphasage avec ces valeurs que la France dit vouloir défendre dans le monde.
Cette déclaration est la preuve des contradictions qui minent les gouvernements français, Ils se
disent à la fois porteurs de valeurs démocratiques et, en même temps, ils sont commanditaires d'actes ignobles.
 
Concernant votre lutte contre les mercenaires, comment analysez-vous votre échec? 

On était vaincu car le régime était fort. Notre mouvement s'est fait écrasé. Face à la violence, on devait soit baisser la tête soit de se battre. Mais le régime était sanguinaire. 
 
Qu'est ce qui s'est passé en mars 1985? 

Il y avait une crise au camp militaire de Kandani à la suite de laquelle des militaires se sont soulevés contre leur chef. C'est dans ces circonstances que les militaires assimilent cet acte à un coup d'état. Il a eu une répression brutale. Des militants du Front démocratique avaient été conduits et jetés dans les geôles d'Abdallah.
 
Vous étiez l'une des victimes des mercenaires. Quel regard posez-vous sur cette période de votre vie ?

On en parlera un jour, Pour l'heure, il faut tourner la page de cette période triste durant laquelle le pays fut gouverné par des mercenaires. 
 
Si on vous demande de résumer les méfaits des mercenaires français, qu'est-ce que vous pourrez dire?

C'est un phénomène qui a marqué toute une génération. Il ne faut pas perdre de vue que Bob Denard prétendait avoir toute la classe politique dans sa poche. Même l'armée était contaminée par l'esprit mercenaire. Il y avait deux armées, la garde présidentielle et l'armée régulière. Cet esprit mercenaire a gagné les rangs des militaires et a conduit à ces coups d'état. La situation qui traverse l'armée est le résidu de ce phénomène de mercenariat qui n'a pas été résorbé et analyser de manière consciente, Le mercenariat a miné notre armée.
 
La France a pris des lois contre le mercenariat. Pensez-vous que les Comores sont à l'abri de ce phénomène? 

Je n'ai pas conscience que la France ait tourné cette page. Il ne faut pas dormir sur les lauriers. Il faut être vigilant et ne pas se laisser tromper.
 
Vous faites partie des hommes politiques qui militent pour le retour de l'île comorienne de Mayotte. Comment avez-vous accueilli la départementalisation? 

Cela ne change rien. La départementalisation est un phénomène franco-français. Pour moi, Mayotte est une île occupée. Cela ne changera en rien au contexte d'injustice. C'est ce qui explique l'agressivité coloniale de la France. Les circonstances internationales rendent également possible la lutte pour la libération et la récupération d'un territoire occupé. Il nous appartient de mettre les atouts de notre côté et mettre à contribution l'assemblée nationale et le peuple. Le combat continuera. 
 
Que pensez-vous des déclarations de certains Comoriens qui proposent d'entrer en négociations directement  avec les Mahorais ?

 C'est un faux débat, Nous n'avons pas un problème avec les Mahorais mais avec des colonialistes. Les Mahorais sont des Comoriens et ils le resteront pour toujours.
 
Quelle analyse faites-vous sur la récente crise diplomatique et surtout le compte-rendu signé par le ministre Djaffar Ahmed Mohamed Mansoib et de l'ambassadeur de France ? 

Je connais la crise mais je n'ai pas connaissance du document signé. Nous avons défendu l'intégrité, nous avons répondu à l'appel sur la journée de solidarité au palais du peuple. Je ne peux pas me prononcer sur le contenu du compte rendu. Mais, je réprouve le comportement colonialiste de Luc Hallade qui, au lieu de se comporter en ambassadeur a, plutôt, pris les habits du commissaire colonial.
 
Et la biometrisation des Comoriens des trois iles vivant à Mayotte. Comment avez-vous accueilli cette initiative ?

 Je ne sais pas comment cela va se passer. J'estime que tous les Comoriens, les Anjouanais, les Mahorais, les Mohéliens et les Grands-Comoriens ont droit à un passeport.
 
Les enseignants viennent de déclencher un mouvement de grève. Le mouvement s'enlise et on assiste à un dialogue de sourds. De loin, comment analysez-vous cette crise ?

C'est un problème complexe qui tombe mal avec la fin d'un régime et l'arrivée d'un autre. C'est donc une crise grave et très délicate. J'espère que le futur gouvernement aura la promptitude de prendre à bras ouvert cette crise pour ne pas compromettre nos engagements avec les institutions financières internationales mais aussi ne pas pénaliser les enfants à deux mois des examens.
 
A.S. KEMBA
Source : Albalad Comores n°506 du 11 mai 11
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#Posté le mercredi 11 mai 2011 10:27

Modifié le mercredi 11 mai 2011 10:52

COMORES : Fahmi va-t-il ou non démissionner?

COMORES : Fahmi va-t-il ou non démissionner?
La montagne a accouché d'une souris. Ceux qui pensaient que l'escalade diplomatique entre Moroni et Paris allait permettre d'aboutir, sinon à la suspension du visa Balladur, du moins à un assouplissement immédiat des procédures de sa délivrance en sont aujourd'hui pour leurs frais. Le gouvernement vient tout simplement de planter un coup de poignard dans le dos du ministre Fahmi Said Ibrahim, qui ne s'était pas économisé en vue d'obtenir de la France des concessions substantielles sur la question de Mayotte. Rien de tel.
A deux reprises, le pouvoir a tenté de l'écarter du dossier pour vider rapidement cette crise avec "notre premier partenaire économique". Lorsque le chef de l'Etat a reçu l'ambassadeur de France pour amorcer des négociations sur le sujet, Me Fahmi était encore à Bruxelles. Et rien ne dit qu'il a été informé en temps opportun. Aujourd'hui encore, c'est en son absence (il était à Dubaï) que le gouvernement a signé "le document de l'ambassade" comme se plaisent à l'appeler certains membres du Comité Maoré.
Quelle sera donc l'attitude de Fahmi de retour à Moroni? Va-t-il rendre son tablier comme cela se murmure dans certains milieux à Moroni.
Au Comité Maoré, on imagine bien la déception. Et certains seraient en train de faire le deuil de la question de Mayotte. "Ce n'est pas le régime Ikililou qui va nous sauver. Il a déjà montré qu'il ne faudrait rien attendre de lui sur Mayotte" entend-on. En effet, selon des indiscrétions, ce sont les deux vice-présidents d'Ikililou, le chef de l'Etat nouvellement élu, qui auraient pesé de tout leur poids pour en arriver à la signature du document.
L'amicale France-Comores, elle, se félicite du dénouement de la crise et a improvisé ce matin un rassemblement Place de l'indépendance à Moroni. L'ambassade de France à Moroni se fait un malin plaisir de remercier le gouvernement comorien dans un communiqué adressé à la presse nationale pour "son ouverture".

Source : inoussa.centerblog.net
Tags : comores, france, mayotte
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#Posté le samedi 02 avril 2011 11:01

Mayotte : Une manifestation suivie mais ternie...

Mayotte : Une manifestation  suivie mais ternie…
Au plus fort de la manifestation, ils étaient 1.200 selon la police. Des hommes et très majoritairement des femmes de tous âges et de tous bords politiques ont répondu présents à l'appel de l'association Solidarité mahoraise à manifester pour le renforcement du visa Balladur, mis en place en 1995 pour les ressoritssants comoriens. La manifestation de ce mardi 8 mars, journée internationale des femmes, avait pour but de demander «le renforcement » de ce visa. Cette manifestation était aussi organisée en réaction à la manifestation du 23 février dernier organisée par la Cimade. Avec des chants de maoulida shengué, les manifestants sont partis du rond-point Mahabou vers le rond-point Zena Mdéré, drapeaux tricolores au vent et plusieurs banderoles dressées. La marche a fait une boucle du rond-point Mahabou vers le centre de Mamoudzou, est ensuite montée vers la préfecture, puis conseil général et sur le parvis du comité du tourisme pour les discours. «Ils ont choisi l'indépendance, qu'ils nous laissent avec notre France», «construire une paix durable c'est refuser la provocation de Cimade », «Comoriens, assumez vos choix», c'est entre autres, ce que l'on pouvait lire sur les banderoles.
Cette manifestation était une aubaine pour les politiciens en cette période de campagne électorale, de Bacar Ali Boto à Ibrahim Boinahéry jusqu'au président Douchina, tous y étaient et ont tenu à montrer leur attachement à la France. Pour Mohamed El Amine, directeur de la DSDS, «le bien que l'on a pu obtenir grâce à ces femmes (les Chatouilleuses, ndlr) s'appelle la démocratie ». «Allah Akbar», chantent les manifestants en choeur, en faisant le tour du rond-point Zéna Mdéré. Mais il ne faut pas croire que tout le monde soutienne le mouvement, un homme sur le trottoir dénonce l'hypocrisie des Mahorais face aux clandestins : «Tous ont des femmes et des maîtresses clandestines, et toutes ces femmes sont mariés à des sans-papiers», dit-il avec colère. A la préfecture, une délégation a été reçue par le sous-préfet Kromwell, mais ça n'est pas lui qu'ils veulent voir, «on veut le préfet en personne ».
Un rendez-vous a donc été fixé avec le préfet à 16h à la case Rocher en Petite Terre. Mais la manifestation a pris une tournure dérangeante quand les manifestants sont arrivés à l'église Notre-Dame-de-Fatima. Des insultes ont fusé à l'égard des demandeurs d'asile. «Rentrez chez vous», «bandes de singes», «assassins», des cris qui ont terni la manifestation. Pour tenter de justifier ce comportement, certains disent que l'on ne connaît pas le passé de ces gens, notamment par rapport aux génocides au Rwanda, mais en pays de droit, n'est-ce pas la présomption d'innocence qui prévaut ?

Source : Flash info du 9 mars 2011
Tags : Mayotte, comores, France, Manifestation
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#Posté le mercredi 09 mars 2011 14:53

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