
Droit de réponse accordé au consultant Djaffar Ahmed
Trop petit, le comportement de Comores Telecom qui essaie de ramener le débat au niveau élémentaire de cours de récréation, en rappelant l'origine Anjouanaise du consultant, quelques élèves de sa promotion au lycée et ses débuts de carrière militaire à l'Ecole Navale de Brest qu'il a d'ailleurs abandonnée, pour poursuivre des Etudes d' Ingénieur.
Le consultant (DJAFFAR Ahmed) est avant tout Ingénieur Civil des Mines, Formation très sélective, dont les cadres de Comores Telecom peuvent bien être jaloux !
Dans cette Ecole généraliste, il s'est spécialisé dans les nouvelles technologies de l'information et de la Communication, qu'on appelle les TIC, et exerce depuis une quinzaine d'années dans ce secteur. Ce que semble oublier nos amis de Comores Telecom.
Pour résumer le dossier lui-même, le mot à retenir est la SOUVERAINETE retrouvée de l'ETAT en termes de Télécommunications.
Aujourd'hui l'Etat ne sait pas tout ce qui se passe à Comores Telecom, ce qui rentre, ce qui sort, ce qui est signé, les engagements de la société à court, moyen ou long terme, les contrats juteux etc.
NON. C'est fini. A cette passerelle Unique V0calpad-Comores, les opérateurs présents et futurs sont tenus à s'y connecter. Cette passerelle ne fait pas perdre de l'argent à l'opérateur et en fait gagner à l'Etat.
En luttant contre la fraude et le trafic illégal, il va même augmenter les revenus de l'opérateur.
Nos amis de Comores Telecom n'ont pas compris que les huit millions d'Euros annuels que leur apportent les quotes-parts ne sont pas perdus La solution Vocalpad-Comores les garantit, et ajoute même 2 millions de dollars supplémentaires annuels à l'Etat par optimisation du trafic entrant.
Il n'y a pas besoin d'être intelligent pour comprendre cela!
Cette solution permet de lutter contre la fraude et assure des revenus supplémentaires à l'Etat.
Comores Telecom ne veulent pas comprendre, mais le peuple comprendra.
C'est le peuple qui paye le prix le plus fort, avec des communications trop chères et une qualité et un service médiocres.
Comores Telecom ne veulent pas que l'Etat touche à leur "chose". Ils oublient que c'est une société d'Etat et que l'Etat a un droit de regard sur ce qui se passe.
Le peuple a droit à des communications moins chères et de bonne qualité.
Ils doivent bénéficier des nouvelles technologies de l'Information et de la Communication de façon réglementée et sécurisée et prendre le train en marche vers le développement, l'éducation et la réduction de la fracture numérique.
Djaffar AhmedLe consultant (DJAFFAR Ahmed) est avant tout Ingénieur Civil des Mines, Formation très sélective, dont les cadres de Comores Telecom peuvent bien être jaloux !
Dans cette Ecole généraliste, il s'est spécialisé dans les nouvelles technologies de l'information et de la Communication, qu'on appelle les TIC, et exerce depuis une quinzaine d'années dans ce secteur. Ce que semble oublier nos amis de Comores Telecom.
Pour résumer le dossier lui-même, le mot à retenir est la SOUVERAINETE retrouvée de l'ETAT en termes de Télécommunications.
Aujourd'hui l'Etat ne sait pas tout ce qui se passe à Comores Telecom, ce qui rentre, ce qui sort, ce qui est signé, les engagements de la société à court, moyen ou long terme, les contrats juteux etc.
NON. C'est fini. A cette passerelle Unique V0calpad-Comores, les opérateurs présents et futurs sont tenus à s'y connecter. Cette passerelle ne fait pas perdre de l'argent à l'opérateur et en fait gagner à l'Etat.
En luttant contre la fraude et le trafic illégal, il va même augmenter les revenus de l'opérateur.
Nos amis de Comores Telecom n'ont pas compris que les huit millions d'Euros annuels que leur apportent les quotes-parts ne sont pas perdus La solution Vocalpad-Comores les garantit, et ajoute même 2 millions de dollars supplémentaires annuels à l'Etat par optimisation du trafic entrant.
Il n'y a pas besoin d'être intelligent pour comprendre cela!
Cette solution permet de lutter contre la fraude et assure des revenus supplémentaires à l'Etat.
Comores Telecom ne veulent pas comprendre, mais le peuple comprendra.
C'est le peuple qui paye le prix le plus fort, avec des communications trop chères et une qualité et un service médiocres.
Comores Telecom ne veulent pas que l'Etat touche à leur "chose". Ils oublient que c'est une société d'Etat et que l'Etat a un droit de regard sur ce qui se passe.
Le peuple a droit à des communications moins chères et de bonne qualité.
Ils doivent bénéficier des nouvelles technologies de l'Information et de la Communication de façon réglementée et sécurisée et prendre le train en marche vers le développement, l'éducation et la réduction de la fracture numérique.
Source : Albalad Comores n°459 du lundi 7 mars 2011
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