Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

  • Blog
  • Profil

UN OEIL SUR LES COMORES

Photo de wongo

wongo

Description :

Tout ce que vous voulez savoir sur les Comores (news, actualités, informations). Une visite s’impose : http://wongo.skyrock.com/

Le blog est mis à jour régulièrement pour vous informer le plus rapidement possible.
L’Equipe wongo

Wongo

  • Envoyer un message
  • Offrir un cadeau
  • Suivre
  • Bloquer

Ses Honneurs (28)

  • SuperMobile
  • Écolo
  • Je soutiens Skyrock
  • Fans 100
  • Supporter
  • Maître du temps

» Suite

Son profil

Profil de wongo
wongo61 ans
MUTSAMUDU
Comores

Partage

  • Tweet
  • Amis 3

Design by wongo

Signaler un abus

Infos

  • Création : 01/08/2007 à 12:36
  • Mise à jour : 02/02/2022 à 02:52
  • 2 070 311 visites
  • 149 visites ce mois
  • 8 999 articles
  • 32 353 commentaires
  • 855 amis
  • 895 favoris
  • 6 418 kiffs

Son morceau préféré

mohamad liyanle ( foundi souffou said ( ACOUA) , foundi attoumani Bé (mtzamboro)  )

Jouer Naeinmat el kadri de Mtsangamouji mohamad liyanle ( foundi souffou said ( ACOUA) , foundi attoumani Bé (mtzamboro) ) (Moulidi)

Skyrock music Ajouter

Tags

  • Anjouan
  • anjouan
  • comores
  • COMORES
  • Comores
  • dsk
  • DSK
  • Fahmi
  • France
  • france
  • Lybie
  • lybie
  • Marseille
  • Mayotte
  • mayotte
  • MAYOTTE
  • nafissatou
  • onu
  • Sambi
  • sambi

» Suite

Ses archives (8 999)

Ses fans (956)

  • messagesauxfans
  • matteods
  • jeuxturf
  • Sinotables
  • mattdel
  • sos-handicap
  • anis32001
  • matricule326
  • coucou56974

» Suite

Sources (895)

  • Simpson1701
  • simpson090
  • daho023
  • Facefoot
  • tahiry777
  • DALILA-SALEM
  • HilaryDuffWeb
  • simpson39
  • Matzci-Iguel
  • Love4Sound
  • Foot-et-Filles-Stars
  • le-livre
  • NuitDebout-Comoriens
  • soilihali
  • Ndzuwani-2016
  • djackenew

» Suite

Abonne-toi à mon blog ! (21 abonnés)

RSS

Retour au blog de wongo

90 articles taggés Comores

Rechercher tous les articles taggés Comores

SFR pourrait racheter Comores Télécoms

 SFR pourrait racheter Comores Télécoms
Depuis le temps que ça couve, voilà que doucement ça se précise. SFR qui est sur les rangs pour s'implanter aux Comores a engagé des négociations qui sont déjà très avancées pour son implantation à Grande Comores, Mohéli et Anjouan afin d`y installer la téléphonie mobile au carré rouge. Comores Télécoms pourrait tomber tout rôti dans l'escarcelle de SFR qui est sur le point d'acheter l'opérateur historique comorien ce qui faciliterait grandement l'implantation de SFR dans les îles  voisines et le développement de ses réseaux. Pour l'instant, rien n'est encore signé, Mais ça ne  devrait pas tarder d'autant que SFR Mayotte a déjà lancé une offensive pour proposer des offres tarifaires sans précédents vers les Comores via le forfait Massiwa, une offre qui concurrence directement Only, qui avait pris une longueur d'avance sur les offres téléphoniques en direction des Comores. Un créneau qui avait été délaissé par SFR qui se rattrape désormais et en y mettant les grands moyens. L'enjeu étant le rachat pur et simple de Comores Télécom.
 
D.H
Source : Les Nouvelles de Mayotte n°1588 du 6 septembre 11
 (sauf la photo)
 
Commentaire WONGO
 
Dans une interview accordée à Albalad Comores du 6 septembre 11, le secrétaire du gouvernement, Said Mohamed Ali, a déclaré à propos de Comores Télécom : « le capital de Comores télécom sera ouvert aux privés ». Que dira le syndicat de Comores télécom qui était contre le contrat Vocalpad ?
Tags : Comores, SFR
​ 0 | 15 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mardi 06 septembre 2011 19:09

Modifié le mardi 06 septembre 2011 20:05

Comores / Les 100 jours du Dr Ikililou Dhoinine : Peut mieux faire.

Ce 3 septembre 2011, le Président de l'Union Dr Ikililou Dhoinine a fêté ses 100 jours au palais présidentiel de Beit-Salam depuis son investiture le 26 mai 2011. A l' occasion de la présentation des v½ux à la population lors de la fête de la Ide El Fitr, le président a fait le bilan de ses 100 jours en insistant sur le fait qu'il n'a pas bénéficié d'une « période de grâce » compte tenu des difficultés liées notamment a la grève des enseignants, des contractuels d'El Maarouf, au naufrage du navire du bateau « Madjriha »...

100 jours c'est peu pour juger de l'action d'un nouveau Président, mais 100 jours c'est assez pour analyser les orientations du nouvel élu d' autant plus que ce dernier a bénéficié exceptionnellement d'une autre « période de réflexion » de près de 4 mois avant son investiture qu'aucun des ses prédécesseurs n'a bénéficié pour peaufiner son programme, réfléchir sur l'architecture administrative et institutionnelle du pays, dénicher des personnes honnêtes et compétentes pour composer son équipe...

Le nouveau président investi a mis quatre jours pour signer le décret N° 11-079/PR du 30 mai 2011 relatif au Gouvernement de l'Union des Comores et les autres décrets relatifs a son cabinet. Quatre jours de tergiversation et de négociations qui ont donné l'impression de flottement pour le début de son mandat. Les résultats de cette longue attente n'a pas été à la hauteur des attentes puisque certains hommes choisis pour composer son équipe gouvernementale et son cabinet ne sont pas absous de toute reproche. Quelques uns ont eu des affinités avec les anciens séparatistes, d'autres ont tout bonnement fait la détention provisoire. La pléthore de conseiller à la Présidence de l'Union prouve que les critères qui ont guidé ces nominations sont plutôt politiques que techniques.

Le 30 mai 2011, le nouveau président signa également un important décret N° 11-078/PR portant réorganisation générale et missions des services des Ministères de l'Union. Ce décret a déterminé les principes d'organisation et les missions de la superstructure ministérielle du Gouvernement de l'Union. Les dispositions de cet important décret ne sont pas toujours respectées au sein des Ministères, notamment celles portant sur les critères de nomination et les missions des membres des cabinets, des secrétaires généraux et des Directeurs administratifs financiers.

Le nouveau président a prononcé son discours programme au début du mois de juin au cours duquel il a affichée sa volonté de lutter contre la corruption qui gangrène le pays. Un discours programme suivi par l'élaboration par le gouvernement au mois d'aout du Document de Politique Générale (DPG) intitulé « Bâtir ensemble les Comores ». Pour mettre en ½uvre ce document de politique générale, qui ambitionne la réalisation des objectifs du Document de Stratégie pour la Croissance et la Réduction de la Pauvreté (DSCRP), des lettres de missions ont été signées par le Président de l'Union le 15 aout 2011 et remises aux Vice-présidents et Ministres. Des lettres de mission qui fixent les missions des Vice-président des ministres pendant la période du mandat de 5 ans. Toutefois, ces lettres de mission passent sous silence les pouvoirs constitutionnels des Vice-président et des iles autonomes. Les conflits de compétence qui ont empoisonné les relations entres les exécutifs de l'Union et des iles autonomes depuis 2002 n'ont pas été pris en compte dans ces lettres de mission et il n'est prévu nulle part, l'élaboration des textes d'application de la loi référendaire du 17 mai 2009 pour régler les eternels conflits de compétences. D' ailleurs les arrêtés portant nomination des commissaires des iles des Gouverneurs des iles comportent des appellations qui empiètent les compétences de l'Union.

Tous les nouveaux chefs de l'Etat qui arrivent au pouvoir dans ce pays font de la lutte contre la corruption, leur « cheval de bataille » au début de leurs mandats. Dr Ikililou Dhoinine n'a pas échappé à la règle. Toutefois, contrairement a ses prédécesseurs, il a débuté cette bataille par la mise en place d'un arsenal juridique avec la promulgation de la loi N° 08-013/AU du 25 juillet 2008, relative à la transparence des activités publique, économique, financière et sociale et la signature du décret N° 11 - 162/PR du 25 aout 2011 portant nomination des Membres de la Commission Nationale de Prévention et de Lutte contre la Corruption. Une commission qui risque d'avoir un faux départ compte tenu du peu d'expériences de certains de ses membres qui viennent juste d'entamer leur carrière professionnelle.

Dans le but d'assainir la gestion des sociétés d'état et des établissements publics, le nouveau président de l'Union a donné des nouvelles orientations aux dirigeants de ces établissements pour améliorer leurs gestions. Le Directeur General de la société comorienne des Hydrocarbures a été auditionnée en public. Toutefois les mesures radicales visant à arrêter la gabegie, la mauvaise gestion de ces établissements tardent a venir. La plupart des dirigeants des ces structures sont toujours à leur poste. En signant le décret N° 11-155/PR le 28 juillet 2011, modifiant, remplaçant et abrogeant certaines dispositions du décret N° 07-151/PR du 03 septembre 2007, fixant les modalités de gestion et d'administration des sociétés à capitaux publics et établissements publics à caractère industriel et commercial, le Président de l' Union, a violé la loi N° 06-001/AU du 02 janvier 2006, portant réglementation générale des Sociétés à capitaux publics et des établissements publics, une loi promulguée par décret N° 07-011/PR du 07 février 2007 par l'ancien président de l'Union, Ahmed Abdallah Mohamed SAMBI. Ce décret comporte plusieurs dispositions qui violent cette loi du 02 janvier 2006 et marginalise les Conseils d'administration des sociétés et établissements publics qui en principe devraient nommer les directeurs généraux et régionaux des sociétés nationales et des établissements publics à caractère industriel et commercial nationaux.

Concernant le dossier relatif à l'éducation, le Président a certes réussi à sauver l'année scolaire, mais il a lâché du lest aux enseignants en avalisant les signatures de protocoles d' accord le 13 juin et le 14 juillet 2011 avec l'intersyndical de l'Education comportant des engagements difficilement respectés par le Gouvernement. Et la correction des copies des examens a pris du retard en raison du non respect des dispositions des ces protocoles, notamment le paiement du reliquat du salaire du mois de décembre 2010 avant le 25 juillet 2011, le paiement du salaire du mois d'avril 2011, un mois durant lequel les enseignants étaient en grève, avant le 1er aout 2011... Les résultats catastrophiques du baccalauréat et du BEPC 2011 prouvent que l'Etat continue de supporter des charges d'un système éducatif à l'agonie qui n'apporte pas les résultats escomptés.

Le nouveau président a en outre réussi à assurer la participation des jeunes comoriens aux 8 e jeux des iles de l'océan indien bien que Mayotte ait participé en tant qu'entité a part à ces jeux et que la moisson des médailles a été faible. Justement à propos de l'ile comorienne de Mayotte, le nouveau président propose une nouvelle approche pour régler ce contentieux territorial avec la France : le dialogue avec les mahorais. (Pour les mahorais, "Mayotte française" est non négociable : Ndlr) Une nouvelle approche diversement appréciée par la population dont une partie pense que le vrai dialogue doit se faire avec le Gouvernement français qui administre cette ile.

Dans le secteur de la santé, le nouveau président, issu de ce secteur, a été confronté aux grèves du personnel médical des principaux hôpitaux du pays notamment le Centre Hospitalier National « El Maarouf » qui est confronté à une crise aigüe qui paralyse son fonctionnement. Un Comité de pilotage et de suivi des états généraux de l' Hopital El Maarouf organise en janvier 2008 justement par le Dr Ikililou Dhoinine qui dirigeait à l'époque le Ministère de la sante, le 20 juin 2011 dans le but notamment de réexaminer et réactualiser si c'est nécessaire et valider les conclusions issues des Etats Généraux du CHN El Maarouf. Ce comité de pilotage a élaboré et validé un projet des statuts de l'hôpital qui a été soumis et validé en Conseil des Ministres le 10 aout 2011. A ce jour, le décret validant ce projet de statuts n'est toujours pas signé par le Président de l'Union.

Le naufrage du bateau « Madjriha » dans la nuit du 8 aout au 9 aout 2011 causant la mort de près de 58 personnes et la disparition de plusieurs dizaines de personne a mis en épreuve le nouveau pouvoir qui a géré avec ses moyens cette tragédie nationale. Encore une fois le plan national de préparation et de réponse aux urgences n'a pas été mis en ½uvre par le COSEP et les services de secours de l'Etat n'ont pas pu sauver les vies des passagers d'un bateau qui a échoué sur les cotes du Sud de la Grande Comore. Si des responsabilités humaines sont en causes, le président de l'Union s'est porté garant dans son adresse à la nation à ce que les auteurs soient traduits devant la justice. Une information judiciaire a été ouverte par le parquet et des sanctions administratives ont déjà prises et il reste les mesures préventives à prendre pour éviter la répétition des ces drames. Cet accident soulève encore une la question de la gestion des transports maritimes, de la responsabilité des responsables du transport maritime, des armateurs et du non-respect de la législation en vigueur.

Sur le plan économique, après avoir échoué au mois de juin, la troisième revue des Comores devant le Conseil d' Administration du groupe de la Banque Mondiale et du FMI, le nouveau président a connu la première visite au mois d'aout 2011 d'une délégation du FMI. Au terme de cette visite, cette mission a publie un communiqué dans lequel, il a appelé le Gouvernement à plus de rigueur dans la gestion des fonds publics. Quatre points de performances sont exigés pour réussir le passage à la troisième revue : l'amélioration des recettes intérieures, la réduction des dépenses, la mise en ½uvre de la gestion informatisée des effectifs de la fonction publique et l'application des cadres organique et le suivi des mesures structurelles notamment la relance du processus de privatisation de la société comorienne des Hydrocarbures et de la Société nationale des Télécommunications.

Lors de son discours programme, le Président de l'Union avait annoncé qu'il avait demandé à sa femme, la Première Dame, de par sa vocation professionnelle, " de jouer un rôle dans la protection de la Femme, de l'Enfance, des indigents et des nécessiteux" . Cette fonction de première dame qui ne figure nulle part dans la constitution du pays commence à prendre forme et risque d'empiéter certaines prérogatives constitutionnelles. Lors de la réception des femmes le lendemain de la Ide el Fitr, le 1er septembre 2011, la première dame n'a-t-elle pas déclaré qu'elle se considère comme étant la « députée des femmes » même s'elle ne siège pas au Palais de Hamramba.

100 jours après son accession au pouvoir, le sentiment partagé par la population est que le Président, qui peine à communiquer, contrairement à ses prédécesseurs immédiats, est toujours « à quai » bien que le bateau soit prêt à appareiller pour reprendre l'expression du journaliste Aboubacar M'changama. Un Document de Politique Générale adopté, des lettres de mission signées, le président peut mieux faire en faisant rapidement le ménage sur son entourage pour s' entourer d' hommes et des femmes intègres et compétents qui contribueront efficacement à la réussite de son programme. Le pays qui regorge de compétences inexploitées a réellement besoin d'un pilote qui a de la vision, de l'autorité, respectueux des institutions et des textes en vigueur.
 
source : comoresdroit
 
Commentaire Wongo :
 
En ajoutant à ce bilan, la disparition de 100 personnes dans le bras de mer séparant Anjouan de l'île comorienne de Mayotte dont tout le monde semble ignorer, (soit une personne par jour,) pour l'équipe wongo, le bilan du Dr IKILILOU est calamiteux. C'est un désastre.
 Comores / Les 100 jours du Dr Ikililou Dhoinine : Peut mieux faire.
Albalad Mayotte du 17 août 2011
 
Tags : Comores
​ 0 | 8 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mardi 06 septembre 2011 02:37

Modifié le mardi 06 septembre 2011 03:04

CAN 2012 : ZAMBIE BAT LES COMORES ET REPASSE DEVANT LA LIBYE

CAN 2012 : ZAMBIE BAT LES COMORES ET REPASSE DEVANT LA LIBYE
 Les filles auraient fait mieux
Par Thomas Pitrel


La Zambie s'est imposée en fin de match face aux Comores (1-2) en éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations 2012, à Mitsamiouli ce dimanche 4 septembre 2011. Grâce à cette victoire, les Chipolopolos reprennent la tête du groupe C devant la Libye, qui avait battu le Mozambique (2-1) samedi. La confrontation entre les deux équipes à Lusaka, dans un mois, sera décisive pour la qualification.
 
La Zambie n'aura donc pas été décontenancée par sa défaite en match amical contre le Zimbabwe (2-0), le 10 août dernier à Harare. Les Chipolopolos continuent leur excellent parcours en éliminatoires de la CAN 2012 avec une victoire cruciale aux Comores (2-1), la troisième d'affilée, la quatrième en cinq rencontres.

 
Contre les Comores et leur bilan famélique d'un match nul (contre la Libye, le 5 juin dernier) et trois défaites, les Zambiens ne tardent pas à ouvrir le score par Katongo à la 23e minute, mais sont surpris dix minutes plus tard et ne parviennent à la pause qu'avec un match nul décevant (1-1). Ils doivent finalement attendre les dix dernières minutes pour se rassurer grâce à un but décisif du jeune buteur des Young Boys de Berne Emmanuel Mayuka.
Grâce à cette victoire, les Chipolopolos reprennent la tête du groupe, que la Libye leur avait chipée grâce à sa victoire contre le Mozambique (2-1), ce samedi au Caire. La rencontre entre les deux équipes, séparées d'un seul point, sera décisive pour la qualification à l'édition 2012 de la CAN. A Lusaka, le 7 octobre prochain, la Zambie gagnera son billet pour le Gabon et la Guinée équatoriale en cas de victoire ou de match nul.
CAN 2012 : ZAMBIE BAT LES COMORES ET REPASSE DEVANT LA LIBYE
Source : rfi


Tags : Comores, can 2012
​ 0 | 6 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 04 septembre 2011 14:36

Comores : Différend franco-comorien. IKI a mordu à l'hameçon

Comores : Différend franco-comorien. IKI a mordu à l’hameçon
Après avoir prescrit l'hypnotique GTHN (Groupe de Travail de Haut Niveau)  aux autorités comoriennes pour départementaliser l'île comorienne de Mayotte sans bruit onusien, la France cherche à transformer le différend franco-comorien à un conflit comoro-comorien (donc non onusien) pour cette fois-ci, préparer la rupéisation de Maoré, sans bruit européen, et il semblerait qu'IKI (à ne pas confondre avec KIKI) a mordu à l'hameçon.
En effet, celui qui déclara, lors des campagnes électorales – Cliquez- : « Ce n'est pas être anti-français, comme certains veulent le faire croire, que d'½uvrer pour le retour légitime de notre île. Si mes compatriotes m'accordent leur confiance, je prendrais dans les semaines qui vont suivre mon investiture des initiatives concrètes à ce sujet. Enfin je souscris entièrement au discours que le président de la République vient de prononcer à New York lors de la dernière session de l'assemblée générale des Nations Unies», trahit sa promesse électorale et déclare dans son discours programme, qu' « aucune solution à l'épineuse question de l'ile comorienne de Mayotte, n'est envisageable, sans l'implication de nos frères Mahorais».
 
Comment Ikililou a été corrompu :

Les rencontres incessantes  entre Luc HALLADE et Dr Ikililou Dhoinine (alors en instance d'investiture), c'était pour  préparer l'investiture de ce dernier, plus particulièrement son discours. « J'ai écouté le Président et ce qu'il m'avait dit la fois dernière, il m'a notamment parlé de sa volonté de réformer l'administration, d'essayer de faire en sorte qu'elle puisse effectivement être plus opérationnelle et c'est notamment dans ce secteur là qu'on pourrait essayer de l'accompagner » avait déclaré diplomatiquement M. HALLADE sans préciser la contrepartie de cet accompagnement.
Dans son discours d'investiture, M. IKILILOU ne prononcera pas le mot Mayotte. C'est dans son discours programme, qu'IKI a précisé sa stratégie concernant l'île comorienne de Mayotte, en déclarant : « aucune solution à l'épineuse question de l'ile comorienne de Mayotte, n'est envisageable, sans l'implication de nos frères Mahorais», allant dans le sens des barbouzes comoriennes à la solde de la France, comme un certain Djabir pour ne pas le nommer.  
 
La France apprécie et récompense.

Le 17 juin 2011, les Comores et la France signent une convention d'aide budgétaire d'un montant de 400.000 euros, soit environ 200 millions de francs comoriens. Selon un communiqué de l'ambassade de France, cette aide budgétaire, qui sera versée directement sur un compte spécial ouvert au Trésor par le ministère des Finances, permettra de financer sur une période de deux ans un plan d'action en expertise juridique. ''La mission de cette expertise, intervenant au niveau de la Présidence et du Secrétariat Général du Gouvernement, est d'appuyer l'initiation et la conduite d'un processus de réformes institutionnelles. Leur mise en ½uvre pourra, par la suite, être accompagnée par différents soutiens sectoriels'' dit-on dans ce communiqué. La même aide budgétaire permettra notamment de ''prendre en charge un conseil juridique pour le pilotage des réformes institutionnelles sous la forme de douze mois d'expertise sur une période de deux ans. Elle inclura également des moyens pour initier des études et des propositions d'actions, délivrées sous forme d'expertise internationale et/ou nationale'' 
A l'occasion de la fête du 14 juillet, le chargé d'affaires de l'ambassade de France, M. Dominique HOMA revient sur les 400.000 euros et déclare : « Sensible au contexte d'apaisement qui prévaut actuellement et dans le cadre de la reprise du dialogue recherché par nos deux pays, la France vient récemment de décider de contribuer activement à soutenir le nouvel exécutif comorien en lui attribuant, par un effort budgétaire remarquable compte tenu des difficultés que vous connaissez, et qui concernent d'innombrables pays, un décaissement de 400.000 ¤ dont l'utilisation est laissée à l'appréciation du Gouvernement comorien, en corrélation avec la détermination affichée par Son Excellence le Président Ikililou DHOININE dans son discours du 6 juillet dernier. »
Dans un entretien entre le ministre des relations extérieures des Comores, Mohamed Bakri Ben Abdoulfatah Charif et M. Henri de RAINCOURT, ministre français, chargé  de la coopération pour préparer peut-être le prochain discours d'IKI de la prochaine assemblée générale des Nations Unies, on est encore revenu sur les 400.000 euros qui accompagnent les nouvelles autorités dans l'accomplissement de leur mission au service du peuple comorien (peuple au singulier).
En attendant le premier discours de Bantiti Ikililou à l'assemblée générale des Nations Unies, nous vous proposons celui de l'année dernière, prononcé par le Président Sambi : Cliquez ici
La promesse électorale 
Comores : Différend franco-comorien. IKI a mordu à l’hameçon
 
Toza – Moroni
http://wongo.skyrock.com/
Tags : Mayotte, Comores
​ 0 | 6 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 04 septembre 2011 06:26

Modifié le dimanche 04 septembre 2011 06:51

COMORES / MAYOTTE : ENTRE HONTE ET COLERE

COMORES / MAYOTTE : ENTRE  HONTE ET  COLERE
Le 13 septembre 2011 commencera la 66ème session de l'Assemblée Générale des Nations unies.
La question de l'île comorienne de Mayotte devrait être à l'ordre du jour.
Le Président de l'Union sera au rendez-vous et interviendra à la Tribune des Nations Unies !
Il est donc très important que les Comoriens soient informés du but de ce déplacement et du message qu'en leur nom à tous, leur Président  va adresser au monde entier !
 
Nous n'avons pas l'habitude dans notre pays de nous préoccuper des déplacements qu'effectuent nos dirigeants. Il est temps pourtant si nous voulons suivre le chemin difficile de la démocratie de nous intéresser à ce qui se fait en notre nom et à ce qui se dit !
S'agissant de la question de Mayotte aux Nations unies, l'obligation d'attention est encore plus évidente car c'est notre modeste place sur cette planète qui est en jeu, et tout ce que nous disons à New York à ce sujet reflète exactement notre niveau de conscience nationale, ce que nous sommes, ce que nous voulons être sur cette terre.
Il faut donc nous demander : où en est la question de l'île comorienne de  Mayotte aux Nations unies ?   
Mais voilà qu'avec l'interrogation, ma plume se met à danser, elle oscille entre la honte et la colère !
 
La honte ? oui ! Parce qu'à la lecture des comptes rendus des séances du bureau de l'Assemblée, je constate que la France et ses amis nous ont embarqués dans un vaudeville où les rieurs sont plutôt de leur côté.....
La colère ? oui ! Parce que le scénario burlesque se répète tous les ans ! et tous les ans le monde entier rit à nos dépens !
La colère parce que nous aurions pu faire mieux, nous aurions dû préparer le dossier, oublier les petits intérêts mesquins, échapper au piège grossier, et obtenir la résolution annuelle que nous avions régulièrement, à toutes les sessions de l'AG, depuis 1975 jusqu'en 1995 !
En 1995, quand l'Elysée a pris la ferme résolution de départementaliser Mayotte, elle a eu l'astuce de demander l'omission de la question de l'île comorienne de l'ordre du jour de l'Assemblée, en annonçant des consultations bilatérales qu'elle n'a jamais eu réellement l'intention d'engager, qu'elle n'a fait semblant d'ouvrir que pour gagner du temps et commettre son forfait !
 
Et les Comores ont dit oui !
 
Les vingt  résolutions qui ont condamné l'occupation française de l'île comorienne de Mayotte  l'agaçaient! Elle faisait semblant de s'en accommoder, mais en réalité ces condamnations l'irritaient au plus haut point, et il fit tout pour arrêter la cascade de résolutions qui s'abattaient sur elle, tous les ans, sans appel devant l'opinion internationale.
De fait, aucun pays, quelle que soit sa force économique ou militaire, aucun pays  ne peut vivre dans la réprobation universelle. La France encore moins que les autres, elle qui prétend être la mère des droits de l'homme et des libertés. Il fallait arrêter cette pluie glaciale qui l'empêchait de pérorer sur les places publiques et d'accuser les autres comme elle aime à le faire d'atteinte aux libertés fondamentales des peuples et des individus !
L'objectif immédiat qu'elle visait, la départementalisation, elle l'a finalement atteint dans le silence assourdissant de la communauté internationale ! et KO les Comores !
 
Comment donc s'y est-elle pris ?
 
C'est très simple : c'est le bureau qui propose l'ordre du jour provisoire de la session. Il devient définitif une fois adopté par l'Assemblée Générale qui, généralement entérine les thèmes choisis dès les premières séances de la session.
Chaque Etat membre peut proposer un ou plusieurs sujets et s'il n'est pas représenté au Bureau, l'article 43 du règlement intérieur lui permet d'assister aux débats et de soutenir son dossier.
Dans le cas de la question de Mayotte, c'est à ce niveau que la supercherie a été organisée ! La France demande au bureau d'inscrire la question mais à la condition qu'elle ne sera pas débattue dans la session en cours et qu'elle ne fera  l'objet d'aucune résolution ! je vous restitue les termes exacts de l'intervention de M. ARNAUD représentant de la France que j'extrais du compte rendu de la réunion du Bureau du 15.09.2010
 
Questions diverses
 
27. Le Président rappelle qu'à sa précédente réunion, le Bureau a décidé de différer l'examen de l'inscription à l'ordre du jour du point intitulé
A/BUR/64/SR.24 09-61829 « Question de l'île comorienne de Mayotte », comme il est indiqué au paragraphe 50 du premier rapport du Bureau à l'Assemblée générale. Il propose que le
Bureau examine cette question sans plus tarder.
28. Il en est ainsi décidé.
29. Le Président dit que les négociations entre les délégations comorienne et française ont eu lieu sous la supervision du Président de l'Assemblée générale et qu'il a été convenu, en principe, que la question serait inscrite à l'ordre du jour, étant entendu qu'elle ne serait pas examinée cette année.
30. M. Araud (France) rappelle que les Présidents des deux pays ont institué un groupe de travail de haut niveau pour procéder à un examen détaillé de la question de Mayotte et des Comores. Au début de cette année, le Président des Comores a réaffirmé que la question serait réglée dans un cadre bilatéral. La France est déterminée à promouvoir ce processus
novateur. Toutefois, l'inscription de la question à l'ordre du jour rendrait la recherche de solutions plus complexe. Il propose par conséquent de renvoyer l'inscription de la question à la prochaine session de l'Assemblée générale.

43. M. Araud (France), notant que le Président a reconnu que le Bureau n'est pas encore parvenu à un consensus, dit que, par respect pour lui, sa délégation a fait une concession. L'accord est strictement subordonné à la condition que la question ne sera pas débattue et qu'aucune résolution ne sera envisagée à ce sujet. L'inscription de la question ne constitue pas un précédent pour les sessions futures.
44. Le Président invite les deux pays à engager des consultations dans les meilleurs délais. La séance est levée à 16 h 30.
 
Vous pensez peut-être que l'auditoire a été médusé par ce discours incongru ? Absolument pas ! Et cela pour 2 raisons : d'abord il est dit que les deux parties (entendez la France et les Comores) sont entrain de négocier sur le statut de l'île comorienne de Mayotte, ensuite  parce que cela est dit devant notre représentant aux Nations unies qui......... confirme !!! Et savez-vous de quelles négociations il s'agit ? Ecoutez plutôt :
 
30. M. Araud (France) rappelle que les Présidents des deux pays ont institué un groupe de travail de haut niveau pour procéder à un examen détaillé de la question de Mayotte et des Comores. Au début de cette année, le Président des Comores a réaffirmé que la
question serait réglée dans un cadre bilatéral. La France est déterminée à promouvoir ce processus novateur. Toutefois, l'inscription de la question à l'ordre du jour rendrait la recherche de solutions plus complexe. Il propose par conséquent de renvoyer
l'inscription de la question à la prochaine session de l'Assemblée générale.
 
Ecoutez maintenant ce que disait l'année d'avant, devant le même bureau, sur le même sujet, un autre représentant de la France
 
26. Mme Le Fraper du Hellen (France) dit que son gouvernement comprend la demande formulée par le Président des Comores et que le Président Sarkozy a déjà proposé des solutions permettant d'avancer sur cette question. Il est même à espérer qu''un certain nombre de réunions de haut niveau qui doivent se tenir à Paris dans les jours qui suivent contribueront à résoudre les divergences entre les autorités des deux pays. La représentante de la France propose donc d'adopter une formule analogue à celle utilisée à la soixante-quatrième session de l'Assemblée générale, à savoir que le Bureau déciderait de recommander que le  point soit inscrit à l'ordre du jour étant entendu qu'il ne serait pas débattu à la session en cours.
 
Et c'est ainsi que d'année en année la France reporte l'examen de la question, qu'elle évite une condamnation certaine par l'ensemble de la communauté internationale, et que notre diplomatie encaisse et multiplie les revers.
 
Question : jusques à quand allons-nous collectionner les échecs ?
Réponse : jusqu'au jour où nous déciderons d'avoir une politique comorienne de l'île comorienne de Mayotte !
 
Le jour où nous comprendrons que ce qu'on appelle le Groupe de Travail de Haut Niveau  (le GTHN) est en réalité un attrape-nigauds qui a permis aux autorités françaises de faire croire à la communauté internationale que des négociations étaient en cours pendant qu'en réalité on préparait doucement et surement l'accession de l'île comorienne de Mayotte au statut de «  département français »
Cela a été un succès total pour les stratèges français qu'il faut féliciter d'avoir si bien man½uvré des gens qui sont venus se battre sans armes et sans munitions, anesthésiés, comme pour entrer dans une salle d'opération.... Des gens qui ont fini par entrer, insouciants, les yeux fermés, dans la gueule du loup !
On sait d'ailleurs que ces mêmes stratèges ont fait d'une pierre plusieurs coups : le GTNH a été aussi l'occasion d'envoyer les tomates anjouanaises à Mayotte, ce qui évidemment pour faire joli, a été mis à l'actif du syndicat des agriculteurs comoriens, le SNAC ; on en a profité aussi pour régler les questions de déplacements des biens et des personnes, les jeux de l'océan indien, si essentiels pour le tout nouveau département !!!! Nous y reviendrons un jour peut-être en détails ! Mais d'ores et déjà les chercheurs, les journalistes, les  jeunes et les moins jeunes, pourraient nous rendre un grand service en enquêtant sur ces fameux travaux du GTNH, et surtout sur ces dix ans pendant lesquels la France a préparé minutieusement la départementalisation de Mayotte !!! Que faisions-nous ? Nous dormions ????
 
C'est en effet dès 1995 que la France a commencé à parler de négociations dont on n'a jamais vu la couleur ! et qu'elle a mis fin par ce subterfuge aux victoires que nous remportions tous les ans aux Nations Unies !
Il faut peut-être ouvrir ici une parenthèse qui n'en est pas une en réalité, puisque c'est le c½ur même du problème pour rappeler avec force qu'il n'y a jamais eu de négociation entre « les deux parties » sur le statut de l'ile comorienne de Mayotte.
Il ne faut surtout pas se laisser leurrer par les oripeaux du « groupe de travail de haut niveau ! » Le niveau est si haut qu'il n'a jamais été question de rien d'autre que des tomates d'Anjouan et des jeux des iles ! juste ce qui manque aux colons de Mayotte pour faire leur sieste, tranquilles !! !
Quand notre délégation a rencontré celle de Mayotte à Dzaoudzi, savez-vous ce que le président Attoumani DOUCHINA du conseil général de Mayotte a dit à notre délégation ? Ecoutez :
 
"je voudrais rappeler à nos frères de l'Union des Comores que Mayotte a fait son choix en 1975 et qu'elle aimerait que l'Union des Comores respecte ce choix", .............................Nous voudrions vous dire que nous tendons notre main mais à une condition : que le choix de 1975 soit respecté. Les négociations doivent se faire sans l'arrière-pensée de récupérer Mayotte. Les Mahorais ne sont pas des marchandises, quelque chose que l'on peut négocier sans leur demander leur avis."

Et voici la dernière toquade au cours de la même réunion, devant la même délégation comorienne qui venait de diner avec celle de Monsieur DOUCHINA :
 
"les élus de Mayotte ne trahiront jamais leur engagement pour la cause mahoraise, à savoir la marche vers la départementalisation. Si nous sentons une arrière-pensée chez nos amis comoriens, nous arrêterons les négociations et nous partirons", 

Bien entendu nos délégués de haut niveau n'ont pas claqué la porte comme il convenait de le faire, ils sont restés boire le calice jusqu'à la lie et.... parler de tomates, de concombres et de football !!!!
Vous appelez cela des négociations ?
Mais pour nous persuader qu'il faut rester au niveau du « haut niveau » l'occupant nous dit que la discussion aux Nations unies est stérile !oh ! que non ! Elle n'est pas stérile parce qu'elle affirme et confirme notre bon droit ! Et le droit c'est notre seul drapeau ! c'est le seul domaine où nous pourrons gagner ! Notre droit reconnu et proclamé par toutes les nations de la   planète, si nous le prenons et en faisons le bon usage, qui donc, quelle force, quelle puissance pourrait nous l'enlever ! Et si nous renonçons à ce combat, dites-moi lequel nous pourrons mener victorieusement,..... Avec quels arguments nous asseoir un jour  à une table de négociations......Avec quelles armes pourrions nous un jour imposer ces négociations !!!!?????
 
C'est dire que notre Président a bien raison de se rendre à New York pour la session de septembre ! Mais j'aimerais être sûr qu'il n'aura pas honte ! J'aimerais être sûr que cette fois nous aurons un débat et une résolution en bonne et due forme ! J'aimerais être sûr que ce qui devait être fait l'a été !
Car après tant de défaites et tant de traquenards, il faut craindre le pire ! Et le pire aujourd'hui ce serait que « la question soit inscrite à la condition qu'elle ne fasse l'objet d'aucune discussion, d'aucune résolution » encore une fois !!!! alors que les « carottes sont cuites » qu'il n'y a plus d'espoir de revirement dans l'attitude obstinée et cynique de l'occupant, que Mayotte est devenue le 101èmedépartement français !  
Dans ce cas, je le dis très franchement comme je le pense, il faudrait que notre Président n'aille pas à New York. Des belles phrases nous en avons entendu, en français, en arabe et en comorien ! et dans d'autres langues..... Aucune ne nous a sauvés du ridicule.
Au point où on est, nous ne pouvons pas nous permettre d'aller dire aux Nations unies que nous sommes entrain de négocier et qu'il faut arrêter les condamnations !
IL faut faire condamner l'occupant d'abord et parler ensuite de négociation !
A ce prix seulement, il acceptera d'ouvrir enfin des négociations bilatérales sur le statut de Mayotte, à ce prix seulement il consentira à considérer Mayotte comme une terre occupée
Ce qu'il nous faut, c'est une résolution énergique qui dénoncera les supercheries et qui imposera de vraies négociations Il faudrait que cela soit dit aux Nations unies !!!
 
Ce qui devait être fait ?

S'assurer que l'ordre du jour provisoire prévoit bien un débat et une résolutionElaborer un projet de résolution et un mémoire explicatifTrouver les trois orateurs (il en faut 3) qui défendront la résolutionFaire un lobbying serré pour le vote de la résolutionPréparer un discours en phase avec ce dossier 
Si rien de tout cela n'a été fait, ou si tout bonnement il n'est pas question de débat et de résolution, oui, je crois qu'il vaut mieux que le Président de l'Union attende le rendez-vous de l'année prochaine  
 
ALI ABDOU ELANIOU
 
source : masiwamane



Tags : Comores, Mayotte
​ 0 | 4 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le samedi 03 septembre 2011 15:29

Modifié le samedi 03 septembre 2011 16:55

Comores / France : les 400 000 euros et le « Kurani ya chi Mwali * »

Comores / France : les 400 000 euros et le « Kurani ya chi Mwali * »
L'évènement ! 
Hip hip hip hourra! La nouvelle vient de tomber : Le ministre des relations extérieures des Comores, Mohamed Bakri Ben Abdoulfatah Charif a eu un entretien avec M. Henri de RAINCOURT, ministre français, chargé  de la coopération.
Il ne sera pas question de la suppression du visa Balladur, on ne parlera pas donc de choses qui fâchent. Mayotte n'est pas à l'ordre du jour.  Au lieu d'évoquer de la disparition dans le bras de mer Anjouan – Mayotte d'une centaine de personnes il y quelques jours (début août), on préfère revenir pour la nième fois comme le  « Kurani ya chi Mwali » sur l'accident du vol  Y1 626 de la Yemenia Airlines en juin 2009.
Pour la nième fois (cliquez)  comme le  « Kurani ya chi Mwali », les ministres reviendront sur la convention de financement de 400 000 euros signée le 17 juin 2011, pour accompagner les nouvelles autorités dans l'accomplissement de leur mission au service du peuple comorien (peuple au singulier).
Enfin, ils ont abordé les sujets du prochain Conseil des ministres de la Commission de l'Océan Indien (COI), qui se tiendra cette année le 6 octobre 2011.
Ont-ils préparé le discours d'Ikililou pour la prochaine assemblée générale des Nations Unies ? C'est la question.
Lors des campagnes électorales, IKILILOU, le père de l'anticorruption  avait déclaré « Ce n'est pas être anti-français, comme certains veulent le faire croire, que d'½uvrer pour le retour légitime de notre île. Si mes compatriotes m'accordent leur confiance, je prendrais dans les semaines qui vont suivre mon investiture des initiatives concrètes à ce sujet ». Aujourd'hui IKI passe sa 98ème nuit à Beit-Salam, on attend toujours les mesures concrètes.
 
 (*) « Kurani ya chi Mwali » : Mot à mot cela veut dire le coran de Mohéli. On n'avance pas. On lit toujours le même verset coranique
 
Toza – Moroni
http://wongo.skyrock.com/
Tags : Comores
​ 0 | 18 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le jeudi 01 septembre 2011 16:17

COMORES : QUAND LE PETIT JUGE DEVIENT GRAND

Le petit juge de la cour constitutionnelle
 
COMORES : QUAND LE PETIT JUGE DEVIENT GRAND
Par Riziki Msoma
 
Il s'appelle Aboubacar Abdou Msa. Il est juriste de formation et a occupé plusieurs fonctions dont celle de secrétaire général du Conseil de l'île de ngazidja. Le Gouverneur de Ngazidja l'a nommé membre de la cour constitutionnelle conformément au pouvoir que lui reconnait l'article 32 de la constitution. Et M. Abdou Msa pourrait, comme l'exige l'article 33 de la constitution, se prévaloir d'une grande moralité et probité et d'une compétence reconnue en matière juridique. Il peut également comptabiliser aisément plus de quinze ans d'expérience professionnelle. Sur le plan formel, rien n'interdit à ce qu'il officie en tant juge de la haute juridiction constitutionnelle du pays. Là où cette nomination devient critiquable c'est quand on sait que M. Abdoubacar Abdou Msa est un quadragénaire, donc trop jeune pour le job. Car, depuis l'avènement de la constitution de 2001, la coutume voudrait que les postes de juges de la cour soient occupés par des personnalités sexagénaires, généralement des retraités ayant occupé, dans le passé, de poste de hautes responsabilités de l'Etat. D'où l'appellation de « sages ».C'est ainsi que dans l'enceinte de la cour, ce « petit juge »-jeune juge je voulais dire- risque surement de faire figure d'un poussin aux milieux d'éléphants. 
Sérieusement, si un jeune cadre comme Aboubacar occupe à son âge le poste de juge à la cour constitutionnelle, il projette de faire quoi à ses 60 ans. N'est-ce donc pas aller en maison de retraite avant d'intégrer un pensionnat pour jeunes étudiants ? C'est comme jouer de la pétanque à ses 15 ans et s'essayer au foot à 60 ans.
Dans presque tous les pays du monde ces postes de juges sont occupés par des personnalités chevronnés d'un certain âge, généralement des retraités. C'est le cas en France avec les membres du conseil constitutionnel et aux Etats Unis avec la cour suprême.
Alors que de hautes personnalités comme l'ancien député Saidali Kemal, les anciens ministres le Dr Mouhtar et M. Taki Mboreha ou le président sortant M. Abdourazak étaient pressentis pour le poste, M. le gouverneur a préféré nommer un jeunot car au village on exigeait que ce poste ne soit pas occupé par un étranger. C'est donc la raison du village qui a prévalu. 

source : Juriscomores
Tags : Comores
​ 0 | 9 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le samedi 27 août 2011 05:24

COMORES / Huile d'ylang : un chercheur pointe du doigt les méthodes de distillation

COMORES / Huile d’ylang : un chercheur pointe du doigt les méthodes de distillation
La baisse de la production de l'huile d'ylang ylang dans notre pays est due aux techniques archaïques utilisées jusqu'ici par les producteurs, malgré les avancées technologiques enregistrées ces trente dernières années dans le domaine. 
C'est le constat fait. Mercredi soir au centre national de documentation et de recherche scientifique (Cndrs) par le Dr Said Hassane Mohamed, spécialiste en chimie moléculaire et qui étudie les huiles essentielles notamment celles des produits de rente dans le cadre de ses recherches universitaires. Images à l'appui, le chercheur a démontré la vétusté des outils de distillation hérités de l'époque coloniale et qui n'ont, depuis. subi aucune amélioration. Le mur du site ou sont distillés les produits ressemble à une masure et est en état de délabrement avancé. « L'utilisation du bois comme technique de chauffage est un danger, non seulement pour l'environnement, mais aussi pour la qualité de l'huile », soutient Sand Hassane Mohamed. « Les producteurs ignorent le flux et la densité thermique, il y a une baissé considérable de la qualité de l'huile. Les méthodes de récupération sont médiocres ». souligne Said  Hassane Mohamed. 
L'enseignant-chercheur a fait savoir que « l'huile comorienne » ne pouvant pas dans ces conditions, concurrencer sur le marché mondial celles des autres pays, comme l'Indonésie ou l'Ouganda, où les autorités ont déjà pris les mesures nécessaires pour moderniser leurs installations de distillation.
Pour Said Hassane Mohamed, le pays se doit de se doter des technologies modernes « pour extraire vraiment l'huile de la fleur d'ylang, afin d'améliorer la qualité et surtout de lutter contre le déboisement » Les participants ont déploré l'absence d'une politique de  valorisation des produits de rente dans notre pays. La production de Vanille estimés en moyenne à 40 tonnes par an stagne depuis 2009. 
 
A.S.KEMBA
Source : Albalad Comores n° 581 du 26 août 2011
 
COMORES / Huile d’ylang : un chercheur pointe du doigt les méthodes de distillation
 
COMORES / Huile d’ylang : un chercheur pointe du doigt les méthodes de distillation
Tags : Comores
​ 0 | 4 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 26 août 2011 08:08

Modifié le vendredi 26 août 2011 08:23

COMORES / Un livre en arabe sur Mayotte

COMORES / Un livre en arabe sur Mayotte
Une  appropriation des peuples arabes  de la question de Mayotte dans sa dimension, historique, politique et humaine
L'ambassadeur Karihila revient sur l'histoire des Comores, en donnant d'autres faits d'histoires jusqu'ici inconnus et qui démontrent encore plus la dimension historique de la question de Mayotte. Dans son livre, la question de la balkanisation est traitée avec beaucoup de détails, expliquant la position géostratégique, lieu de passage des deux tiers du pétrole du Golfe vers l'Europe. 
Une première. Un livre en arabe consacré à la question de Mayotte. “Parmi nos territoires occupées, l'île comorienne de Mayotte“ de  Dr. Hamidou Karihila, ancien ambassadeur.  Cent quatre-vingt-dix pages qui traitent de la question en revenant sur les aspects historiques, les motivations politiques et géostratégiques, mais aussi les conséquences de l'occupation sur l'instabilité permanente du nouvel Etat comorien et sur les relations avec ses voisins.  
Publié par la maison d'édition Matabi Al Nahda  de Mascat (Oman), le livre  donne un éclairage complet et nouveau sur le sujet.  
 
Révélation 

L'ile comorienne de Mayotte, terre arabo-islamique, fut d'abord gouvernée par des dirigeants arabes et musulmans issus des tribus omanaises Al Nabhan et Al Moundhir avant que l'usurpateur malgache Andrian Tsouli ne se proclame sultan de l'ile en l'an 1836. Le ton est donné et la suite coule de source. 
Ce prince malgache qui avait obtenu asile politique à Mayotte après avoir été chassé de son île, usurpe le pouvoir et cède l'île comorienne aux Français par un traité signé, le 25 avril 1841, entre lui et le délégué de la France, Passot, moyennant une somme annuelle de cinq mille piastres et une  prise en charge de deux de ses enfants pour poursuivre leurs études à Bourbon. 
Dans ce livre, Dr Karihila révèle, en outre, que le Sultan  Saïd Ben Sultan Alboussaidi (1806-1856), sultan d'Oman et Zanzibar, protecteur des princes et sultans musulmans dans la région a protesté vigoureusement contre cette concession auprès des autorités anglaises ayant la charge de faire respecter  et préserver l'unité et l'intégrité territoriale de ses Etats conformément au traité passé en 1839 avec Mascate. 
 
95% pour l'indépendance 

Il a reçu, à sa demande, le consul anglais à Zanzibar Mr.Atkins Hamerton pour exprimer son mécontentement, dénonçant la politique française de démantèlement progressif de son empire sous l'½il indifférent de ses alliés anglais.  
Le ministre anglais des Affaires étrangères s'adressa à son homologue français F.Guizot pour exprimer la contestation de Sayed Saïd et lui rappeler l'engagement de son pays par rapport au respect de l'intégrité de l'empire d'Oman, donnant des instructions fermes au commandant de la station du Cap de mener une enquête sur la politique française aux Comores et sur l'authenticité de la cession de Mayotte à la France. Depuis, la France décide d'étendre son  influence et son hégémonie sur les trois autres îles en vertu des traités imposés aux sultans en 1886. 
Les quatre îles de la lune, devenues une colonie française rattachée à Madagascar en 1912, deviennent une colonie au sein d'une autre. En 1946, après la Seconde Guerre mondiale, l'archipel de Comores a été doté d'un statut de territoire l'outre-mer et on lui a octroyé l'autonomie interne au début des années soixante du siècle dernier, jusqu'à la déclaration unilatérale d'indépendance, le 6 Juillet 1975, après une consultation organisée, en décembre de l'année précédente, dont le résultat a été de 95% en faveur de l'indépendance contre 5%.  
Karihila revient sur l'histoire des Comores, en donnant d'autres faits d'histoires jusqu'ici inconnus et qui démontrent encore plus la dimension historique de la question de Mayotte. Dans son livre, la question de la balkanisation est traitée avec beaucoup de détails, expliquant la position géostratégique, lieu de passage des deux tiers du pétrole du Golfe vers l'Europe. 
Il aborde également les conditions de l'octroi de l'indépendance, les violations répétées du droit international et de la constitution française et le reniement français des accords convenus de Paris. 
Les lourdes conséquences  d'une marche forcée 

Malgré les péripéties et l'usage de la force par la France, l'archipel des Comores est admis aux Nations Unies, à l'Organisation de l'unité africaine (aujourd'hui Union africaine), l'Organisation de la conférence islamique (Oci), au Mouvement des non-alignés, et à la Ligue des États arabes, avec ses quatre iles et sa souveraineté sur Mayotte. Ce livre dénonce les lourdes conséquences de la marche forcée de la départementalisation, et les drames humanitaires qui s'en suivent avec les centaines de morts en mer, les expulsions des milliers de Comoriens dans leur propre pays et les détentions arbitraires dans le centre de rétention administrative (Cra).  Ce livre sort à point nommé. Juste au moment où la question de Mayotte occupe une place de choix dans les conférences des Etats arabes et à la veille de l'Assemblée générale de l'Onu, en septembre prochain. Il permettra aux pays et peuples arabes de mieux comprendre et de s'approprier davantage la question dans toute sa dimension, historique  politique et humaine. 
 
AAA
Source : Al-watwan N° 1809 du jeudi 25 août 201
Tags : Comores, Mayotte
​ 0 | 18 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le jeudi 25 août 2011 09:49

COMORES : Près de 100 disparus dans l'indifférence générale

COMORES : Près de 100 disparus dans l’indifférence générale
En 1975, les autorités de la République ont créé une situation qui est à l'origine de nombreux drames. Pour aller à Mayotte, les habitants de la Grande Comores, d'Anjouan ou de Moheli doivent être munis d'un visa depuis 1995. Cette contrainte est à l'origine des traversées clandestines en kwassa kwassa, entre Anjouan et Mayotte. Des traversées très risquées pour les passagers. (photo d'archives Imaz Press (...)
 
Dans notre région, le bras de mer entre Anjouan et Mayotte vient de connaître deux nouveaux naufrages. Deux embarcations transportant près d'une centaine de personnes n'ont pas donné de nouvelles depuis plusieurs jours.
 
« Deux autres drames viennent s'ajouter à celui du naufrage du bateau Madjriha survenu au Sud-Est de la grande Comore dans la nuit du 8 au 9 août 2011, et dont le bilan s'élève à une soixantaine de morts », écrit le blog Wongo.
« 95 autres personnes à bord de deux kwassas (embarcations de fortune) ne donnent pas signe de vie depuis plusieurs jours. D'après le journal Albalad du lundi 22 août 2011, la première embarcation aurait quitté l'île dans la nuit du 8 au 9 août avec, à son bord, 43 personnes, dont 8 enfants à destination de Mayotte. La deuxième embarcation aurait pris le départ le vendredi 12 août, à Vassy, dans la région de Bandrani, avec à son bord 52 personnes, dont 6 enfants ».
« La plupart de ces victimes sont des personnes expulsées illégalement de Mayotte par l'administration française et qui tentent d'y retourner pour rejoindre les leurs, au péril de leur vie », affirme Wongo.
 
Source : .temoignages

Tags : Comores
​ 0 | 7 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mardi 23 août 2011 19:29

  • Précédent
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • 9
  • Suivant

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile